Avignon: de la Cité des Papes à la cité des islamistes

Francis Gruzelle
Francis Gruzelle
Journaliste 

Ci-dessus, la mosquée Arrhama, dans le quartier Saint-Jean, le 26 mars. Les portes restent fermées aux journalistes et aux policiers. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)

 

Le poids des mots, le choc des photos. Fidèle à sa célèbre formule, l'hebdomadaire Paris Match publie, le 9 avril 2016, une enquête choc. Un journaliste de la redaction a infiltré la mosquée la plus radicale d'Avignon, là où les flics de Bernard Cazeneuve ne mettent plus les pieds. La redaction de l'hebdomadaire souligne sous la plume de son envoyé spécial, Djaffer Aït Aoudia, "Nous avions enquêté au mois de janvier à la Reine-Jeanne, à Avignon. Retour sur cette banlieue provençale où la menace de la charia apparaît déjà.

"Pointer le nez à la Reine-Jeanne est une mauvaise idée quand on a publié une enquête révélant que, vu de ce quartier, Avignon mériterait de s’appeler « république des salafistes » plutôt que cité des Papes…
"Depuis la parution de mon enquête dans Paris Match, j’ai eu droit à toutes les insultes : « Impie… Traître… Mécréant… » J’ai fait l’objet d’un prêche qui a appelé les musulmans à me maudire. Ma photo galope d’un site Internet islamiste à l’autre. C’est l’ensemble des imams d’Avignon qui me voue à l’enfer...".

Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur, dans une France en plein désarroi, où nos paysans se suicident pour échapper aux huissiers, dans une France où des intégristes Egyptiens utilisent le Pays comme base arrière, dans une France où les projets de mosquées ou de centres cultuels musulmans intégristes se multiplient, dans une France où le député-maire PS d’Annonay Olivier Dussopt, en Ardèche, a fait interdire dans sa ville l’islamiste intégriste Omar Erkat, qui entendait donner une conférence médicale, intitulée « Guérir l’autisme », le 14 novembre 2014 en soirée au château de Déomas à Annonay, les révélations sur Avignon constituent un nouveau "coup de tonnerre" en Europe. Dans quelques mois, Avignon va-t-elle remplacer Molenbeck ?

Paris Match a, ces derniers mois, multiplié les reportages dans les milieux intégristes, comme ce reportage à Trappes.

De retour en Avignon, Djaffer Aït Aoudia écrit : "Je viens voir si des mesures ont été prises pour freiner la montée des « émirs » et autres « émirs en chef », qualifiés pour prendre en main petits voyous et gamins perdus. Notre document avait fait réagir les autorités locales, la préfecture avait diligenté une enquête… Sur les trottoirs, pourtant, ce sont toujours les mêmes hommes en pantalon à larges pans, les femmes voilées et même de toutes petites filles drapées dans le linceul islamique...".

Et tout le reportage montre que les habitants de ce quartier d'Avignon vivent la présence des intégristes comme une fatalité, après la grêle et les sauterelles. Les témoignages recueillis par Djaffer Aït Aoudia attestent du découragement : "Un habitant, un Blanc, peut-être le dernier du quartier, balade son chien. Il accepte de me donner une indication : « Si les chefs sont encore là ? Ils partiront quand les poules auront des dents ! Allez voir à la mosquée d’à côté… » C’est la mosquée du quartier Saint-Jean. L’homme qui la dirige, ­Mimoun El-Khoury, reçoit notre photographe dans son épicerie, entre caisses d’oranges et sacs de ­patates. Encore furieux d’avoir été mis en cause, il explique les nouvelles règles : les journalistes ne sont plus les bienvenus chez lui. « Interdiction de distribuer la parole des religieux. La seule ration pour les reporters français, c’est la famine… » Mais il se fait bon commerçant : « Laissez-moi vous offrir une orange ! »...

"Après notre enquête, ­El-Khoury a été longuement auditionné par la police, sommé de contenir les débordements langagiers dans sa mosquée et de se ­défaire d’un encombrant imam, défenseur de Daech, le dénommé Hichem. On l’a prié de veiller à ce que les lois de la République et de la laïcité soient respectées dans sa mosquée, souligne le reporter de Paris Match Djaffer Aït Aoudia".

Pendant la prière à la mosquée Assunnah, carrefour des prédicateurs les plus extrêmes, le 26 mars. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)

 

 

Ce nouveau reportage, haut en couleurs et en saveurs, démonte la mécanique relationnelle entre les islamistes intégristes et les autorités. Djaffer Aït Aoudia relate "Au début, El-Khoury s’est exécuté. Mais, très vite, il aurait repris ses marques, avec l’objectif de trouver l’équation qui concilie la loi et son projet d’alimenter le radicalisme. Un ex-membre de l’association qu’il préside, l’Entente culturelle islamique, ­accepte de me parler. Mais pas question de citer son nom. Trop risqué. Il a rompu avec ses anciens mentors pour protester contre leur nouvelle marotte, la conversion. « Les convertis sont animés par le besoin obsessionnel de faire leurs preuves afin de se faire accepter. Ils sont des proies faciles. Les gourous martèlent, entre douceur paternelle et sévérité, jusqu’à leur vider le cerveau. Et le remplir d’un univers régi par les lois d’Allah. Je les ai vus faire, ça marche… »

"Depuis janvier, la mosquée organise même des « séances de baptême collectif ». Trois personnes sur quatre à avoir plongé du côté obscur et violent de la religion se recrutent désormais parmi les convertis. Rien à voir avec les délinquants, passés directement du ­trafic à Allah. Mais ces anciens chrétiens, ces ex-athées, sont déjà surnommés « les machines à tuer » ou « les déjà morts »… Je me souviens de ma rencontre avec l’un d’eux. C’était après l’assassinat de l’humanitaire américain de 26 ans Peter ­Kassig, en 2014, en Syrie : « Tuer un musulman est un assassinat odieux, qui doit être vengé. Mais tuer un chrétien n’est pas un crime. C’est juste une proclamation, c’est mathématique », m’avait-il expliqué. A la lecture de ce Coran, Mahomet s’arracherait la barbe.

"J’ai maintenant rendez-vous dans l’Avignon du Festival, celui de la place de l’Horloge et du palais des Papes, avec une personne qui peut m’éclairer sur le rôle de ces imams face au radicalisme. « Ici, dans un rayon de 3 kilomètres, il y a dix mosquées. Deux turques, une algérienne, plutôt “light”, et sept salafistes où exercent des imams formés pour la plupart au Maroc, là où la pensée wahhabite [version moderne du salafisme] fait des ravages. »

La mosquée Assunnah, du Pontet, pendant une journée découverte.  (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)

 

 

"Quatorze mille Marocains auraient déjà rejoint les organisations terroristes en Syrie et en Irak poursuit Djaffer Aït Aoudia dans son récit. Au Maroc, les dérapages des personnalités religieuses sont monnaie courante. Prêches radicaux dans certaines mosquées, discours misogynes sur les radios, professeurs d’école partisans d’un islam puritain, Sartre et Descartes interdits de programmes scolaires mais littérature saoudienne librement importée…

"C’est un disciple de ce wahhabisme marocain que je rencontre à la Croix des Oiseaux, à 1 kilomètre de la Reine-Jeanne. La cinquantaine, djellaba, chéchia et longue barbe noire sans moustache, Mohammed El-Bouami Alaoui, président de l’association La Sagesse, à l’origine de la mosquée du quartier, semble arrivé ­directement du VIIe siècle. Un compagnon du Prophète… mais avec sa page Facebook, véritable placard publicitaire pour les radicaux du royaume alaouite. Récemment, j’apprends que ses acolytes ont pris d’assaut une mosquée pour interdire l’enterrement d’un Irakien au motif qu’il était chiite.

"Aujourd’hui, je suis venu l’interroger sur deux convertis. La première, dans sa mosquée, Charlotte Bon. On a retrouvé sa trace en Syrie. « Je ne me souviens plus », dit-il en égrenant son tasbih (chapelet musulman). Pourtant, la jeune fille de 22 ans était proche de son ancien secrétaire général, Kamel Benaicha. Elle a fini par être jetée dans le lit d’un djihadiste de Daech qui l’a engrossée. Il s’emporte : « Arrêtez de m’interroger à ce sujet ! Je n’en sais rien ! Les gens viennent se convertir dans notre mosquée, après, s’ils veulent partir en Syrie, c’est leur problème ! Qu’ils partent ! »".

Abderrahmane Bouaffad, devant la mosquée El-Boukhari,
Abderrahmane Bouaffad, devant la mosquée El-Boukhari, dans le quartier de la Rocade, où a eu lieu le « tribunal islamique » qui lui a donné tort : il s’est fait déposséder des locaux de son association par Mohammed El-Bouami Alaoui, président de l’association salafiste La Sagesse. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)

 

 

Djaffer Aït Aoudia aborde alors avec son interlocuteurs la question de David M., devenu Karim, un jeune Arménien qui, lui aussi, fréquentait assidûment sa mosquée. L'homme lui répond : "Il a été arrêté en se rendant au Maroc. On a retrouvé chez lui 90 téléphones portables dont certains avaient été utilisés par des réseaux radicaux en Belgique et en Syrie. Karim l’Arménien était hébergé par le trésorier de La ­Sagesse.

« Il ne l’hébergeait pas, il lui louait un appartement », rectifie El-Bouami. Djaffer Aït Aoudia livre son diagnostic dans ce reportage implacable : "Quoi qu’il en soit, cet appartement a été perquisitionné après les attentats de Paris. Le trésorier était en possession de la plupart des documents de l’Arménien, y compris les plus confidentiels, comme son code secret de la Caf ou son relevé d’opérations bancaires. Est-ce donc lui qui avait organisé son départ au Maroc ? « Je vous ai dit que cela n’est pas mon problème. De toute façon, je ne peux vous parler de personne. L’islam me l’interdit : je n’ai pas le droit de dénoncer. » Je laisse tomber, ­effondré. Pour lui, les djihadistes seraient donc des résistants…

"Je quitte la mosquée pour retrouver Abderrahmane Bouaffad, un homme pieux, mais qui ne fait pas partie de la ­galaxie salafiste. Il a gardé un souvenir cauchemardesque de sa rencontre avec El-Bouami et sa cour. C’était il y a quelques années ; Bouaffad voulait bâtir un centre culturel dans ce quartier de la Croix des Oiseaux, avec pour objectif, ­dit-il, de promouvoir un islam affranchi de toute idéologie et de ­l’influence des Etats étrangers.

"Des jeunes semblent séduits, parmi lesquels un certain Mohammed El-Bouami, encore inconnu, encore modeste, qui propose ses services. C’est un cheval de Troie. Il va gravir les échelons, profiter de l’hospitalisation de Bouaffad pour bricoler de nouveaux ­statuts, monter l’association La Sagesse et recruter des imams à la réputation sulfureuse ajoute Djaffer Aït Aoudia."

Mohammed El-Bouami Alaoui, président de l’association salafiste La Sagesse. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)

 

 

L'enquête de Djaffer Aït Aoudia révèle "Rapidement, la Croix des Oiseaux fait parler d’elle. Plaque tournante de la drogue, elle devient le sanctuaire du djihadisme, avec des conversions à la pelle, des perquisitions et des arrestations en chaîne. Rétabli, Bouaffad s’affole. ­Légalement, il reste le président de l’association, propriétaire des locaux. Il porte plainte, saisit la préfecture, la mairie, toutes les autorités possibles pour obtenir l’expulsion des « squatteurs ».

"Parce qu’il ne reçoit aucune réponse, il se rabat sur l’arbitrage et contacte un imam affilié au Conseil du culte musulman, pensant qu’il présente toutes les garanties… Mohammed El-Mahdi Krabch exerce à la mosquée de la Rocade, aux portes des remparts. C’est lui qui préside la séance.

"Un véritable traquenard. Face au ­requérant, une dizaine d’imams. A peu près tous marocains. Parmi eux : Mohamed ­Senouci, l’ancien imam du Pontet qui veut « châtier les forniqués et les fornicateurs », ou encore Chikh Souhib, un des lieutenants d’Abdel Hadi Doudi, imam à Marseille, ancien du Fis algérien, la crème de la crème des djihadistes. Le président de la mosquée de la Rocade, ­Mimoun Bellaghzari, ouvre le débat « au nom ­d’Allah, le grand » : « C’est pour vous écouter, vous et votre adversaire, que nous vous avons fait venir. A la fin des débats, nous allons nous retirer pour ­délibérer et prendre une décision. »

"Un tribunal islamique, comme au pays des mollahs ! « Je ne savais pas que cela pouvait exister en France ! » Bouaffad en a encore des frissons. Le verdict tombe : il doit abandonner les lieux aux « ­putschistes », aucune des parties ne devra ­introduire un recours devant les autorités de la République. La décision est retranscrite dans un document officiel (que j’ai consulté), rédigé par l’avocat de l’association La Sagesse, avocat au barreau ­d’Avignon....".

Selon Paris Match, "Bouaffad croit encore qu’il s’agit d’une hérésie islamo-juridique et qu’il suffit, pour obtenir l’expulsion, de porter plainte devant le tribunal de grande instance. Le magistrat lui donne raison et les ennuis commencent : prêches violents, ­insultes sur les réseaux intégristes, campagnes médiatiques. La punition d’un « mauvais musulman » qui n’a pas accepté de courber l’échine. Cette ­cabale est révélatrice : il existe bel et bien une colonne salafo-marocaine dans la région, qui veut noyauter les mosquées, implanter l’intégrisme.

"Mais que fait le Conseil français du culte musulman ? Ma question fait sourire une personne bien informée : « Le CFCM n’ignore rien des salafistes d’Avignon. Ses membres en sont des acteurs. Tout porte à croire qu’il est noyauté par les plus radicaux du réseau marocain. » Je n’ai qu’à me rendre à la mosquée du Pontet « pour constater par [moi]-même »....".

La mécanique est parfaitement rôdée, comme le démontre Djaffer Aït Aoudia, journaliste à Paris Match : "La voilà, cette mosquée du Pontet qui a récemment abrité le conseil d’administration du CFCM. Elle a deux entrées : l’une pour les hommes, l’autre pour les femmes. Et deux visages. Côté jardin, pendant les journées portes ouvertes, ­salamalecs et verres de thé. Côté cour, une piste d’atterrissage pour prédicateurs salafistes. Son ancien imam, Mohamed ­Senouci, n’a jamais caché son ortho­doxie et sa détermination à appliquer la charia en France. Son successeur ne fut autre que l’imam Hichem, qui a prêché à Paris et au Pontet avant de migrer à Saint-Jean, où il a été récemment obligé de rendre sa chaire.

"Il a fini par trouver refuge à la Croix des Oiseaux. Même de la fenêtre, le spectacle est édifiant : parmi une foule d’enfants, les silhouettes de préadolescentes, emmitouflées dans la camisole islamique pour chanter Allah. Face à elles, leur professeur-prêcheur, visage et corps enseveli sous le niqab. Rien ne dépasse. Même pas les mains. Je m’en vais, stupéfait. Les Avignonnais ne voient donc rien de cette vie à leurs portes ?

"La mosquée El-Boukhari, par exemple, celle qui « a abrité le tribunal islamique » de mon interlocuteur. Tous les hommes politiques locaux en ont foulé le sol, même le ministre Cazeneuve. Le président de la mosquée, Bellaghzari, sera bientôt décoré de la Légion d’honneur ! Et la maire d’Avignon, Cécile Helle, travaille en fusion avec l’imam El-Mahdi Krabch, sur lequel elle ne tarit pas d’éloges : « Homme tolérant […] qui respecte nos valeurs et les lois de la République », mais qui préside un tribunal islamique !

"Connaissent-ils Mustapha Abou Oumama, le fondamentaliste parisien qui veut voiler les Françaises, comme il le clamait en 2014 pendant une rencontre ­organisée par l’association de la Croix des Oiseaux, Etude et partage ? interroge avec malice Djaffer Aït Aoudia. Oumama était alors accompagné par un imam belgo-marocain, Il y aussi Azaouaj. Lui a fini par rejoindre Daech, il est mort en Syrie. C’était quelques mois seulement après son passage à Avignon.

"Complaisance politique ou simple ignorance ? Mme la maire n’a pas daigné répondre à notre demande d’interview. Au château de Saint-Chamand, une salle municipale est prêtée à une école d’enseignement de l’islam et de l’arabe.

"Peu après la publication de notre reportage, la municipalité a rouvert gracieusement son château à l’une des stars de la scène islamiste française, Nabil Ennasri. Une rencontre ­organisée (encore) par… Etude et partage ! A l’heure où j’écris, l’enseignement islamique continue de prospérer. Il est vrai que les musulmans, islamistes ou pas, sont aussi des électeurs…"

Dans la Cité des Papes, au cœur de la Provence, des imams intégristes semblent avoir pris le contrôle de quartiers complets. Sans le travail d'investigation de la redaction de Paris Match et de son envoyé spécial Djaffer Aït Aoudia, la France entière ignorerait la terrible réalité d'Avignon, ville plus renommée pour son tourisme, sa cité des Papes, mais qui dissimule une concentration d'islamistes intégristes.

 

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

2 commentaires

  1. Posté par patrice lehmann le

    conquérir les âmes et après la France…

  2. Posté par Michel le

    Prêche en arabe ? non respect des valeurs et les lois de la République ? incitation à la haine du non-muslman:
    1) ON FERME la « mosquée  » et expulsion du prêcheur de haine et de son cercle rapproché, et interdiction de retour.
    2) Si pas d’amélioration DESTRUCTION des bâtiments pour nettoyer le sol national
    3)Expulsion des familles dont au moins un membre se dissimule sous des vêtements du genre poubelle .

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