Discours de Viktor Orban : « le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe». NDLR. Une belle leçon pour tous les « soumis »

Discours de Viktor Orban, Premier Ministre de Hongrie, pour la célébration de la fête nationale du 15 mars, au Jardin des Musées à Budapest avec l’accompagnement bruyant des manifestants gauchistes en marge de cette célébration.

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« Serons-nous un peuple d’esclaves ou un peuple libre ? *

Nous ne permettrons pas aux autres de nous dire qui nous laissons entrer dans notre maison et dans notre pays, avec qui nous voulons vivre, et avec qui nous allons partager notre pays.

C’est pour cela que nous refusons les installations forcées de populations … et nous ne permettrons, ni les chantages ni les menaces. »

Le premier ministre a déclaré que le temps était venu de sonner le tocsin, de se retourner contre les forces hostiles, de résister et de rassembler nos alliés.

« Le temps est venu de brandir les drapeaux des nations fières, le temps est venu d’empêcher la destruction de l’Europe et de préserver l’avenir de l’Europe.

Le temps est venu de demander à tous les citoyens et toutes les nations européennes, quelle que soit leur affiliation politique, d’être unies, … de s’unir ; l’unité de l’Europe doit être rétablie.

Les dirigeants européens et leurs citoyens ne peuvent plus vivre dans deux mondes séparés. »

[…]

Viktor Orbàn a expliqué que le peuple hongrois est fait de gens qui se lèvent pour la vérité, et se battent pour elle s’il le faut, mais il ne cherche pas inutilement des ennuis, car il sait qu’il arrive à un meilleur résultat en vivant en paix que par des temps troublés.

« Pendant 170 ans, nous n’avons choisi que deux fois le chemin de la révolution, ainsi l’histoire moderne de l’Europe a conservé ces deux révolutions hongroises, les événements de 1848 et de 1956. »

[…]

Il a souligné que la vie contemporaine hongroise est l’héritière intellectuelle des révolutions de 1848 et de 1956, cette tradition d’esprit révolutionnaire est le rythme cardiaque qui dirige la vie politique, économique et intellectuelle de la nation. Aujourd’hui encore, l’impulsion de 48 et 56 et ses idéaux coulent dans nos veines et dans l’esprit de la nation. […]

Il a indiqué que l’héritage de 1919 vit toujours avec nous, … bien heureusement en agonisant.

Et si cet héritage ne recevait pas une grande perfusion politique et idéologique, des arrosages de secours de l’étranger, alors, après que les feuilles et les branches se soient desséchées, les racines se dessécheraient également, la terre hongroise deviendrait aséchée pour faire pousser leur internationalisme.

« Nos révolutions ont été conduites par des citoyens respectables, médecins, ingénieurs, artisans honnêtes, agriculteurs et travailleurs qui étaient animés par des sentiments nationaux. Les chevaliers des révolutions hongroises ne sont pas des utopistes aliénés, ni des esprits perturbés par l’idée du bonheur universel.

Un homme sensé, qui élève ses enfants et construit sa vie en travaillant, sait que le désordre, le bouleversement des habitudes de vie amène rarement de bonnes choses.

[…]

Les révolutionnaires de 1848 et de 1956 ne voulaient pas démolir nos églises pour rebâtir sur ses ruines les édifices d’une nouvelle tyrannie. Nos chansons ne peuvent pas être chantées par des foules enchaînées, la révolution de Pest n’est pas le poème du chaos, mais une histoire majestueuse qui révèle les blessures glorieuses de la nation hongroise.

Nous devons nous demander si nous voulons garder l’héritage que nos aïeux nous ont laissé et nos réflexions à ce sujet devront utiliser des unités de mesures appropriées à nos aspirations.

Aujourd’hui les étoiles de l’Europe sont si vacillantes que nous devons envisager d’avoir à faire face à des épreuves qui déboucheront sur la question : « Voulons-nous être un peuple libre ou esclave ?». (citation des lignes bien connues du poète de la révolution de 1848, Petôfi Sandor).

L’UE est si faible, si fanée, sans force, comme une fleur qui est rongée par un ver invisible.

Voulons-nous construire un beau pays libre, digne, respecté de tous ? Le sort des Hongrois est si imbriqué avec le destin de l’UE, que nous ne pouvons pas être libre si l’Europe ne l’est pas.

L’Europe n’est pas libre parce que la liberté commence par pouvoir dire la vérité, ce qui est actuellement interdit.

Il est interdit de dire que ce ne sont pas des réfugiés qui arrivent sur nos sols mais une menace d’invasion.

Des dizaines de millions de personnes sont prêtes à envahir nos pays, ces masses amènent des crimes et la terreur.

Ces masses humaines, venant d’autres civilisations, sont un danger pour notre mode de vie, notre culture, nos coutumes, nos traditions chrétiennes.

Ceux qui sont déjà chez nous, au lieu de s’intégrer et de s’adapter, ont érigé un monde à part, avec leurs lois, leurs idéaux et ils sont en train de faire exploser l’Europe séculaire, millénaire.

Ces masses humaines sont dirigées vers nous, il ne s’agit pas d’une chaîne d’évènements inattendus, mais d’un plan délibéré.

Aujourd’hui, il est interdit de dire à Bruxelles que des dirigeants œuvrent pour acheminer le plus rapidement possible ces masses d’étrangers pour nous coloniser. Cette colonisation vise à remodeler la totalité de l’Europe au niveau religieux et culturel, à transformer ses bases ethniques, à éliminer ainsi le dernier obstacle – les Etats-nations – pour établir « l’ordre international ».

Bruxelles a volé et englouti par tranches les souverainetés nationales des peuples, et beaucoup de ses fonctionnaires travaillent au plan « États-Unis d’Europe », plan auquel personne n’a jamais donné son accord.

Désormais, les citoyens européens ont peut-être compris que notre avenir est en jeu. Non seulement, notre prospérité est en danger mais également notre sécurité, notre existence pacifique.

La migration est comme une cours d’eau qui, par la force du courant, emporte ses rives.

Cette invasion nous a été présentée comme une affaire humanitaire alors qu’il s’agit de la conquête de nos territoires

Ce danger ne s’abat pas sur nous comme une guerre ou une catastrophe naturelle mais d’une manière inhabituelle. Cette invasion nous a été présentée comme une affaire humanitaire alors qu’il s’agit de la conquête de nos territoires, de l’occupation de nos espaces.

Les nations européennes somnolaient dans la prospérité, elles ont enfin compris le danger mortel qui menace les principes sur lesquels l’Europe chrétienne s’était construite :

– la coexistence de nations libres et indépendantes,

– l’égalité en droit des hommes et des femmes,

– la concurrence loyale,

– la loyauté, l’honnêteté, l’humilité, la justice et la miséricorde.

Le troupeau des incorrigibles guerriers des droits de l’Homme ressent une irrésistible envie de nous faire la leçon et de nous accuser. Les Hongrois seraient un peuple isolationniste, un peuple hostile à l’ouverture alors que l’histoire de la Hongrie est également le résultant d’une fusion de cultures et d’influences externes. Celui qui est arrivé comme un nouveau membre de famille, comme un associé, ou pour sauver sa vie, nous l’avons laissé entrer et il a pu trouver une nouvelle maison chez nous.

Cependant, l’arrivant a toujours rencontré des oppositions, s’il est venu dans notre pays dans le but de le transformer à son image, en nous forçant d’accepter sa présence, ou qu’il soit venu contrairement à notre volonté.

« Si vous voulez arrêter l’invasion, alors, tout d’abord, c’est Bruxelles qui doit être freinée. »

Au début, seulement quelques centaines veulent franchir nos portes puis des milliers, mais aujourd’hui, aucun dirigeant européen n’ose jurer sous serment que les uns ou deux milles à répartir ne seront pas plutôt des dizaines et des centaines de milliers. »

Pour Viktor Orbàn, l’avenir de l’Europe n’est pas en danger, en premier lieu, par les envahisseurs qui veulent s’installer chez nous ; ce qui compromet en premier lieu l’avenir de l’Europe aujourd’hui, c’est l’obsession de l’internationalisme de Bruxelles.

Nous ne pouvons pas laisser Bruxelles se mettre au-dessus de la loi

« nous ne voulons pas qu’ils aillent à la chasse de nos femmes et nos filles »

« Nous ne nous laisserons pas forcés à avaler le fruit amer de la politique d’immigration cosmopolite. Nous ne voulons pas importer en Hongrie le crime, le terrorisme, l’homophobie, l’antisémitisme des incendiaires de synagogues, des zones de non-droit, des émeutes de voyous, des émeutes d’immigrés, des gangs, nous ne voulons pas qu’ils aillent à la chasse de nos femmes et nos filles…

Nous ne permettrons pas aux autres de nous dire qui nous devons laisser entrer dans notre maison et dans notre pays, avec qui nous allons vivre ensemble, avec qui nous allons partager notre pays.

Nous savons comment cela se passe avec eux : tout d’abord ils se permettent de nous dire qui nous devons accepter, puis de nous dire que nous serons obligés de servir ces étrangers dans notre propre pays, puis nous arrivons, finalement, à être expulsés de notre propre pays.

C’est pourquoi nous n’accepterons aucune installation forcée et nous n’allons pas céder, ni devant les chantages, ni devant les menaces. »

Viktor Orbàn a encore affirmé :

« les dirigeants européens et les citoyens ne peuvent plus vivre dans deux mondes séparés comme c’est le cas aujourd’hui. »

Il a ajouté que l’unité de l’Europe doit être rétablie, les peuples d’Europe ne peuvent pas être libres individuellement si nous ne le sommes pas ensemble. Le Premier ministre a souligné que si nous travaillons ensemble, nous allons réussir, … si nous tirons chacun de notre côté, nous allons chuter ensemble ; ou nous allons nous en sortir ensemble ou pas du tout. Aujourd’hui, telle est la loi.

« La tâche qui nous attend, nous les Hongrois, et les pays d’Europe centrale qui ont encore leur bon sens – mais aussi les autres peuples européens -, c’est de vaincre, de réécrire et changer le destin qu’ils nous ont réservé. »

Viktor Orban a également parlé du livre du destin dans lequel le sort des Hongrois avait été écrit à l’avance :

« on ne peut rien faire contre l’Empire des Habsbourg, et si les Hongrois s’étaient contenté de cela en 1848, cela aurait signifié que notre avenir aurait été remis à son destin : les Hongrois auraient été dilués dans la mer allemande. »

Il a ajouté que le livre du destin était également écrit en 1956, … il était écrit que les pays occupés et soviétisés restent jusqu’à ce que le patriotisme s’éteigne dans le dernier magyar, et si nous avions acquiescé, nous aurions rempli notre destin : la mer soviétique aurait dilué les Hongrois.

« Les forces mondiales cachées et sans visage vont supprimer les particularités, les spécificités des anciennes nations pour mélanger des cultures »

Il a attiré l’attention sur le livre du destin actuel, … il y est écrit que les forces mondiales cachées et sans visage vont supprimer les particularités, les spécificités des anciennes nations pour mélanger des cultures, des religions, des masses humaines, jusqu’à ce que la fière diversité et de notre Europe devienne un magma anémique et obéissant. Si nous acquiesçons à cela, notre destin sera accompli et nous serons absorbés, digérés dans la panse énorme des Etats-Unis d’Europe.

Viktor Orban a relevé :

« Nous, les Hongrois et les Polonais, savons comment faire pour réécrire notre histoire. On nous a appris que l’homme ne peut faire face au danger que s’il est courageux. C’est pourquoi nous devrions chercher dans notre histoire des leçons de courage. »

Le Premier ministre a souligné la nécessité de s’engager d’abord dans son propre cœur.

Viktor Orban a ainsi conclu son discours :

« Naturellement, nous devons répondre à la question ‘Qui va décider de notre destin ?’ avec une voix si forte qu’elle traverse sept frontières.

Serons-nous des esclaves ou des hommes libres ?

C’est la question qui se pose !

Répondez ! »

 

* il s’agit d’un poème que chaque hongrois connaît par cœur :

Debout Hongrois, la patrie nous appelle !

C’est l’heure : à présent ou jamais !

Serons-nous esclaves ou libres ?

Voilà le seul choix, décidez !

De par le dieu des Hongrois nous jurons,

Oui, nous jurons,

Que nous ne serons jamais plus esclaves !

 

 

Cet article a paru d’abord sur Dreuz.info.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : ©, traduction et adaptation, P. Kandel pour Dreuz.info.

Source : fidesz.hu

25 commentaires

  1. Posté par maury le

    J’ai transmit son discours sur Boulevard voltaire!!! ,ça met du baume au cœur qu’un dirigeant européen a les yeux grands ouverts et qui a surtout conscience du danger et qui en avertit les idiots utiles qui dirigent l’UE et les pays européens élevés au politiquement correct!

  2. Posté par lucie le

    il est vrai que voir Mme Merkel se promener à travers l’Europe en string bleu avec les étoiles dessus est inquiétant, surtout qu’elle offre ses charmes à n’importe qui et ne se soucie jamais des infections sexuellement transmissibles…………….ce qui la rend encore plus indécente, non ?

  3. Posté par CHG le

    Oui bravo M. Orban et merci. (A quand un pareil discours fort et audible de l’UDC?) Mais pour vaincre et pour convaincre, il ne sert à rien de s’en prendre à la banque Rotschild et à la « finance internationale » dénoncés par certains lecteurs aux relents antisémites nauséabonds. Cette banque ne pèse pas 0.00001% dans la finance mondiale et la totalité de la finance est au mains de banques publiques et banques centrales. La victoire de l’Europe que nous souhaitons, celle décrite par V. Orban, est possible mais ne pourra se faire que dans une immense union des forces libres, démocratiques, fortes de leur droit et patriotes rejetant toute alliance avec les tenants de la haine.

  4. Posté par Perrin Gérald le

    Une grande leçon de civisme, de volontarisme et de patriotisme, voilà ce que vient de nous asséner, par son discours, MONSIEUR Viktor Orban qui pourrait se révéler, dans un futur plus ou moins proche, le sauveur d’un Occident aujourd’hui décadent, gouverné par des élites dégénérées, avachies et pas peu enorgueillies du triste état qu’est le leur.

    A l’aune d’un tel homme d’Etat, nos gouvernants, ceux de la partie de l’Europe qui se veut le navire amiral d’un Occident définitivement émasculé par les stakhanovistes du néant, un jour peut-être, ces apprentis sorciers, chantres de l’humanisme à tous crins, notamment, orneront les réverbères de nos capitales. Ce jour-là, si ce jour arrive, les peuples légitimes de ces territoires, eux, seront sauvés !

  5. Posté par claire favretto le

    A Claude Fabre , EUH La Situation est déjà très difficile et chaotique en Europe !!!!
    Il n’y a nullement à attendre quelques petites années . Dans quelques petites années , les européens qui seront encore vivants seront les esclaves des musulmans qui ont envahi l’Europe .

  6. Posté par Franz le

    Tout est dit dans ce Titre d’article : EUROPE, OCCIDENT, DEFENDEZ-VOUS.

  7. Posté par pierre frankenhauser le

    Avec ce magnifique discours plein de lucidité, de vérités et de courage, je bois du petit lait. On peut parier que toutes ces ordures de Wall Street, de Washington et des grandes banques americaines sont dejà à pied d’oeuvre pour fomenter une révolution colorée, un coup d’Etat ou une crise économico-financière majeure en Hongrie. Je suis de tout coeur avec MM. Orban et Poutin et les dirigeants polonais. Leurs peuples libres veulent le rester et on les comprend. L’Europe doit rester l’Europe. C’est non négociable! L’UDC devrait engager des collaborations avec leurs homologues patriotes des pays d’Europe centrale.

  8. Posté par Pierre H. le

    La Hongrie est l’un des 9 pays qui n’a pas de banque centrale Rothschild. Regardez quels sont ces 9 pays. Ca ne vous dit rien ?

    – La Russie
    – La Chine
    – L’Iran
    – La Corée du Nord
    – La Syrie
    – Le Venezuela
    – La Hongrie
    – Le Cuba
    – L’Islande

    Et lisez ça :
    Victoire : La Hongrie ordonne aux Banques Rothschild de quitter le pays.
    http://savoirtoutetplus.blogspot.ch/2015/06/victoire-la-hongrie-ordonne-aux-banques.html

  9. Posté par A. Vonlanthen le

    Cette année tout le monde en vacances en Hongrie !

  10. Posté par Le pragmatique le

    Comment se fait-il que Merkel a pu passer un accord avec les trucs alors qu’il faut la majorité des 28 ?

  11. Posté par Claude Fabre le

    Viktor Orban sait très bien qu’au train où vont les choses, dans quelques petites années, la situation va devenir critique un peu partout en Europe et la seule question sur toutes les lèvres sera : « Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche chrétienne lorsqu’ils deviendront minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ?  » Dixit ouvrage très love story « les corps indécents ». Deux jeunes gens bien conscients de ce problème qui envisagent de fuir la France pour ne pas subir un jour le joug d’une religion envahissante et ses contraintes.

  12. Posté par Géo le

    Bravo monsieur Orban.
    Bravo,les Hongrois,les Polonais,les Slaves.
    Ils ont payé le prix fort dans leur histoire pour comprendre ce qu est une invasion déguisée.
    Ils sont chez eux,aucun traitre de l u.e. pro-atlantiste des grands banquiers ne pourra leur imposer ce qu ils refusent.
    Qu ils retournent au diable,en enfer,là d où ils sortent,avec leur dollar pourri,ces destructeurs corrompus des nations et de leur spiritualité.

  13. Posté par Théodore J Berseth le

    Comme d’hab..ça vient de l’Est !
    1953….Berlin ; 1956….Budapest ; 1968….Prague ; 1989…la chute du mur de Berlin !
    Durant tout ce temps qu’avons-nous fait ? Nous mettre à plat ventre, lécher les bottes de l’Oncle Sam, d’Yvan, les babouche de l’oncle Abdul et bien d’autres innommables..alors entendre des hommes politiques prononcer de tels discours, de tels gouvernements ne pas courber l’échine, oui ça fait plaisir…..mais que faisons-nous pour que cela arrive également chez nous ? Rien, du virtuel…..à quand un « Forum des observateurs », un lobby, une force conservatrice et sociale, un printemps européen, une révolution édelweiss ?

  14. Posté par Un observateur le

    Mille bravo à Mr Orban.
    Il a tout compris du processus de destruction de l’Europe planifié par Bruxelles.
    Oui, sous couvert d’humanisme, de réfugiés politiques , c’est en réalité une véritable invasion/colonisation/islamisation/destruction, puisque nous verrons de plus en plus de mosquées, de communautarisme, de problèmes importés ( djihadisme, racisme ethnique, violence, émeutes, société parallèle , ghettos, halal, foulard, burqa, ramadan, code d’honneur criminel, refus de mixité, prières dans les entreprises, dans les rues, mariages arrangés, etc…)
    Deux informations sur les populations Arabo-Africano-Orientalo-Musulmanes.
    **ayant vécu dans les pays Arabo-Musulmans et fait des jumelages Franco-Africain depuis 40 ans, j’ai appris la fascination qu’exerce l’Europe sur ces populations . Depuis 40 ans, en Afrique noire, dans toutes les familles, la discussion qui revient, c’est : « comment aller en Europe » ? Même les enfants rêvent d’Europe. Prendre ces migrants pour des réfugiés , c’est ne rien connaitre à la question. Leurs volonté ABSOLUE est d’entrer en Europe par tous les moyens, d’obtenir les papiers pour le regroupement familial… et d’y rester….et les évènements actuels sont une chance pour ces illégaux car l’Europe ouvre ses portes.
    Chaque femme qui rentre clandestinement en France sait ce qu’il faut faire pour rester et profiter du système afin d’aider sa famille en Afrique ou en Roumanie. Il suffit de faire un enfant pour passer du statut de clandestine illégale au statut de fille mère isolée, non expulsable, régularisable qui peut demander ensuite la nationalité. La loi interdit d’expulser des parents d’enfants nés sur le sol Français (loi du sol).
    Utiliser un enfant comme une arme, uniquement pour un but inavoué , c’est détourner l’esprit de la loi du sol qui est totalement inadaptée à la situation actuelle d’invasion migratoire ( voir Mayotte , la plus grande maternité de France).
    Cette technique rodée est utilisée par les jeunes femmes d’Afrique noire qu’on voit de plus en plus dans nos villes avec des poussettes…ces jeunes femmes n’ont aucun espoir de trouver un travail vu la crise, d’éduquer leurs enfants, etc… c’est le seul moyen d’obtenir la résidence définitive et de percevoir les prestations généreuses afin d’aider sa famille restée au pays. C’est bien un processus de ghettoisation avec des enfants nombreux , paumés que nous payons avec nos impôts et une bombe à retardement.
    Orban ne veut pas importer chez lui les graves problèmes irréversibles et sans solution que nous connaissons déjà chez nous.
    Ceux qui le condamnent sont des hypocrites qui refusent de regarder la réalité.

  15. Posté par Le pragmatique le

    Magnifique, ne lâchez rien les hongrois.

  16. Posté par Sentinelle le

    Je trouve, par hasard (?), dans la « Schweizerzeit » de ce 18 mars 2016, un autre discours remarquable de Victor Orban, tenu le 28 février 2016, sur l’état de la nation hongroise (extrait en allemand : « Nicht mit uns ! » Pas avec nous !)

    http://www.schweizerzeit.ch/cms/index.php?page=/news/nicht_mit_uns-2614

  17. Posté par Hérodote le

    Soutien total à Viktor Orban!
    Heureusement qu’il reste encore des hommes en Europe.
    Désormais, le vent de la liberté, de la fierté, de l’insoumission souffle de l’est.
    Mesurez le changement énorme qui a eu lieu depuis le 11 septembre 2001: c’est maintenant l’Europe occidentale, qui hier encore donnait des leçons de liberté, reçoit ces leçons.

  18. Posté par Tommy le

    Viktor Orban exprime tout ce qu’une personne, non muselée, non formatée, pense au fond d’elle- même . En Suisse, on est tout de suite taxé de nostalgique du Troisième Reich si l’on affiche les mêmes idées. Et ce ne sont pas nos gouvernants qui vont se mouiller le cul en prononçant de tels propos.
    Je republie, inlassablement, la pensée du philosophe Chamfort.  » En Suisse ( France) , on laisse EN REPOS celui qui MET LE FEU, et l’on PERSECUTE celui qui SONNE LE TOCSIN » .
    Tout est dit.

  19. Posté par lucie le

    bravo à Mr Orban
    quand on dit que probablement que l’Europe souffre d’un syndrome de Stockholm collectif voir d’un énorme complexe d’infériorité ce n’est pas faux ?

  20. Posté par JeanDa le

    Une grande vague d’espoir m’envahit !
    J’espère que tous les autres membres du groupe de Visegrád (à commencer par la Pologne) vont suivre avec des déclarations similaires. L’Autriche pourrait bien leur emboîter le pas. Il faut que nous en parlions à simonetta.
    Evidemment, la bien-pensance europuante va sans délai les qualifier de « NAZIS ». De tels nazis, j’aime.

  21. Posté par Edgard le

    Excellent billet, merci. Il devrait être transmis à tous les Européens, pas à leurs dirigeants, car ceux-ci sont des traîtres des premiers.

  22. Posté par Nicolas le

    Quel contraste avec la fiotte émasculée qui se prend pour un grand diplomate.

  23. Posté par pierre steiner le

    A transmettre au Conseil Fédéral !

  24. Posté par patrick lévy le

    …, bravo à Viktor Orban ! Patrick Lévy.

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