Le soir du 2 mars, une fille de 12 ans sous les ordres de l’Etat islamique a exécuté cinq femmes, dont un médecin qui avait refusé de soigner des soldats de l’EI blessés lors d’une attaque aérienne de la coalition. Cela s’est passé au camp d’El-Razalani (Ghazlani) à Mossoul. À notre connaissance, c’est la première fois que l’EI emploie une fillette comme bourreau.
Mossoul (Irak) est aux mains de l’EI depuis juin 2014.
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Ces femmes n’ont pas été exécutées, ce qui sous entend qu’elles auraient été jugées et condamnées à mort dans un cadre legal. Elles ont été ASSASSINÉES. C’est bien d’utiliser les bons mots qui donnent leur vraie signification aux évènements.
Ce sont ces filles qui demandent ensuite l’asile en Europe, et que les autorités de leur pays de choix considèrent comme des victimes de l’oppression , des mineures non- accompagnées, des victimes du racisme, …. Mais les revendications ne tarderont pas à être formulées.