Ils se plaignent de soucis d'eau potable ou de nourriture, par exemple. Alors, mercredi, Fedasil (l'Agence fédérale en charge des migrants) a mené un contrôle dans cet ancien internat fraîchement réaménagé à Couvin pour les accueillir. Verdict : tout ne serait pas encore parfait mais les 144 points du cahier des charges sont bien respectés.
Il faut revoir la politique d’accueil, pourquoi pas ne pas les éduquer par le travail? Le travail qui occupe les mains, un peu de fatigue physique cela ne fait pas de mal. Il y a les forêts à nettoyer avant la belle saison, les plages etc. Et sans rémunération, qu’ils considèrent cela comme un acte de reconaissance envers le pays qui les héberge. Pendant la II guerre, la Suisse avait interné les soldats polonais après la défaite en 1939, et tous ont travaillé. Ils ont aidé à construire les routes, les tunnels ou d’autres travaux publics. Pourquoi tant d’indulgeance envers ces gens ingrats, mal éduqués, faiseurs de troubles?
Ce qui prouve une fois de plus qu’il ne s’agit pas de réfugiés en danger dans leur pays. Si ils l’étaient vraiment ils seraient contents de ce qu’il leur est offert, un toit, un lit, à manger et la sécurité. Mais non, ça gueule, ça revendique et ça réclame du pognon. Mais on attend quoi pour les renvoyer à l’expéditeur ??
Y a-t-il un pays du Tiers Monde où l’eau soit potable?
Tout est dit dans les deux commentaires précédents. J’ajouterai que, lorsqu’on vit de la charité publique, on n’ a pas de revendications à formuler.
Chez nous, en Suisse, ils sont logés, nourris, vêtus, soignés sans limite budgétaire. Ceci ad aeternam sans avoir à fournir la moindre contrepartie.
Ma foi, certains peuples, les Occidentaux, savent lever la main. D’autres, ceux du sud, ne savent que la tendre, et ceci depuis des siècles.
@ sergio : mais exact ils ne sont pas contents, c’était mieux chez eux, mais qu’ils se barrent… on a encore jamais vu les clochards manifester que les états ne font rien pour eux et pourtant c’est leur pays et les états ne font pas le 10ème de ce qu’ils mettent en place pour les migrants illégaux. Non mais vraiment la coupe est pleine et même si on n’était pas raciste, on l’est tous devenus avec cette immigration imposée.
Rien ni personne ne les oblige à rester. Quand on pense dans quelles conditions vivent certaines familles européennes, c’en est honteux. Faut-il dire que nous avons d’autres préoccupations que le confort de vie de ces gens-là? Il est vrai que tant que les médias seront focalisés sur les clandestins, on ne parlera pas des insuffisances de ceux qui nous gouvernent.