Berne: Le requérant d’asile a tu la mort de sa femme pour toucher 200’000.–. Il avait aussi profité de l’aide sociale.

Christian Hofer: On notera qu'il peut rester dans notre pays après avoir abusé de notre argent et s'être moqué de notre système. Voilà le genre d'individu qu'il convient d'expulser sans le moindre état d'âme! Bien entendu, les services sociaux très à gauche politiquement distribuent notre argent sans la moindre retenue lorsque les protagonistes sont étrangers, preuve que les "lois" et autres "règlements" peuvent facilement être détournées. Et après cela on prétend que les caisses sont vides...

PROCÈS - Un homme de 64 ans comparaît depuis ce lundi devant la justice pour ne pas avoir informé les services administratifs de la Ville de Berne du décès de sa femme. Il aurait indûment touché plus de 200'000 francs.

Un homme de 64 ans comparaît depuis lundi devant la justice pour n'avoir informé ni la caisse de pension ni les services sociaux de la Ville de Berne du décès de sa femme. Selon l'accusation, le prévenu aurait ainsi indûment touché plus de 200'000 francs.

L'épouse de l'accusé est décédée en novembre 2008, mais la supercherie n'a été découverte que six ans plus tard. Le sexagénaire doit maintenant répondre devant le Tribunal régional de Berne de faux dans les titres et d'escroquerie par métier.

Devant la justice, le prévenu a expliqué qu'il était confronté à une situation financière très difficile après le décès de sa femme. Il a souligné qu'il avait d'autant plus besoin d'argent que sa rente invalidité avait été supprimée.

L'accusé avait averti différents offices du décès de sa femme. Mais la caisse de pension n'a, elle, pas été informée et a donc continué à verser chaque mois une rente vieillesse. A deux reprises, il a contrefait la signature de sa femme.

Arrivé en Suisse en 1985 comme requérant d'asile, le prévenu a aussi perçu de l'argent des services sociaux. Selon le Ministère public, il ne l'a pas utilisé pour payer ses dettes, mais l'a envoyé au Sri Lanka, son pays d'origine.

L'accusation a requis une peine de 24 mois de prison avec sursis. La défense a estimé que la caisse de pension aurait dû faire preuve de davantage de vigilance. Les services sociaux auraient aussi fait preuve de légèreté selon l'avocat qui a demandé une amende avec sursis pour son client.

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9 commentaires

  1. Posté par Tommy le

    Le jour où j’aurai pour 200 000 CHF d’arriérés d’impôt, je demanderai une amende, meme sans sursis, pour solde de tout compte. C’est le meilleur placement financier que je connaisse.
    Problème, je suis suisse et blanc, alors ce « gentlemen’s agreement  » ne fonctionnera certainement pas.

  2. Posté par aldo le

    Pour confirmer l’état totalitaire de la presse-pravda-tamedia, 20 minutes à totalement passé sous silence la « qualité » de réfugié de l’intéressé… ce qualificatif étant porteur d’information, sauf pour ceux qui veulent la tuer au nom de la liberté de presse évidemment. On peut noter aussi que cette censure ne vise qu’à empêcher les citoyens de s’informer et de voter pour la loi d’application proposé par l’Udc relative au renvoi des criminels étrangers. Écrémer et dénaturer l’information dans ce seul but est le moteur des medias. Qu’ils perdent tous leurs clients ils s’en foutent. La RTS avec Billag à toujours la caisse pleine et les autres vivent sur le dos d’annonces d’emplois et des propagandes multiples, fournies et payées par des administrations publiques complaisantes, sous la coupe des socialo-fascistes.

  3. Posté par Cenator le

    Il serait salutaire que les contribuables puissent connaître également ce que ce couple a coûté pour son entretien durant tout son séjour en Suisse (assistance, rentes diverses, frais de justice, …), sans parler des personnes lésées par ces dettes accumulées impunément.
    Des comme ça, les services sociaux en regorgent dans toute la Suisse. Contribuables, si vous saviez !….

  4. Posté par Bussy le

    Et bien sûr, on ne va pas l’expulser… et bien sûr, il n’y aura pas de sursis pour les multiples allocations que les travailleurs paient à cet assassin !
    Notre société « bien-pensante » nous mène tout droit au gouffre !

  5. Posté par Un observateur le

    C’est cette facilité de se faire entretenir au social et continuer à faire des enfants qui attirent les vautours étrangers qui savent que la Suisse est riche et un bel Eden … c’est aussi cela qui va l’apauvrir et la décomposer …

  6. Posté par Marcassin le

    @ Chouette,
    Il est vrai que ça vaut la peine de frauder en Suisse, mais il y a 2 conditions :
    – ne pas être blanc
    – ne pas être suisse

  7. Posté par Chouette le

    24 mois de prison AVEC SURSIS, il n’y a pas à dire, ça vaut la peine de frauder en Suisse.

    Combien de mois AVEC SURSIS pour le personnel administratif ayant mal géré l’argent du contribuable? Personnel qui, par ailleurs, est payé par le même contribuable pour ne pas faire son travail correctement.

  8. Posté par Tommy le

    Avoir d’un côté une amende avec sursis et de l’autre la certitude de pouvoir arnaquer les services sociaux pour un montant de 200 000.-, moi, je veux bien aussi.
    Ça rapporte davantage que de jouer à la bourse, et avec la garantie d’Etat en plus!

  9. Posté par Franz le

    Et pour un Suisse ? Que se passe-t-il ? Le cas cité se répète à des milliers d’exemplaires Nous les cons de Suisses, les salauds, les xénophobes ! Il faut nettoyer les écuries d’Augias.

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