4 commentaires

  1. Posté par Stéphanie A. le

    Il ne faut pas fuir. Ils gagnent du terrain !!!

  2. Posté par Tommy le

    Ce qui est étonnant, c’est que ceux qui quittent les quartiers « kebabisés » sont traités de neo-nazis, alors que ceux qui sont contraints de cohabiter avec les « chances pour l’Europe » ne sont entendus de personne, et surtout pas de la gauche qui, curieusement, vit dans les beaux quartiers et place ses enfantés en école privée, loin des remugles de couscous avarié.
    Défendre les droits des enturbannés, d’accord, les côtoyer, vous n’y pensez pas!

  3. Posté par Nicolas le

    Bien que l’expérience ait échoué à de nombreuses reprises et dans de multiples pays, des apprentis-sorciers aux ordres d’instances extranationales malintentionnées prétendent qu’il est possible de faire cohabiter des population aux valeurs fondamentalement différentes. Le résultat catastrophique de cette politique irresponsable est la ségrégation géographique à laquelle adhèrent tôt ou tard même les plus convaincus du multiculturalisme, comme ce brave Mathias. Le communautarisme ainsi créé aboutit invariablement à des relations conflictuelles entre ces populations. Un terreau fertile pour l’avènement d’une guerre civile, lorsque la mutilation d’une petite Gerda ou le viol d’un petit Fritz auront fait oublier l’image scandaleusement exploitée du petit Aylan. Cette issue funeste n’est pas une fatalité. Il suffit que les citoyens des nations européennes reprennent leur destin en main. Ils en ont la volonté, il ne leur manque que le courage.

  4. Posté par Sergio Morosoli le

    Oui, pour ceux qui en ont les moyens. Les Allemands comme les Français et tous les autres qui peuvent se le permettre quittent les quartiers subitement devenus prioritaires ou sensibles et inscrivent leurs enfants dans des écoles privées. C’est pas beau le socialisme ?

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