Votations 28.2.2016. Expulsions des criminels étrangers. Editorial de R. Koeppel, Die Weltwoche

Editorial

Mise en œuvre

L'élite s'oppose à ce que le peuple mette quelque chose en œuvre qui ne convient pas à l'élite.

Roger Köppel, Die Weltwoche,  Editorial, 3 février 2016,

En quoi consiste l'«initiative de mise en œuvre» de l'UDC? Son premier objet est d'expulser les auteurs de crimes graves ainsi que les récidivistes étrangers. Cette exigence semble objectivement justifiée quand on pense que nos prisons sont peuplées d'étrangers et que la plupart des crimes graves et violents tels que l'assassinat, l'homicide, le viol ou le vol avec violence sont commis par des étrangers.Mais ensuite cette initiative de mise en œuvre porte sur une question fondamentale de la démocratie, et c'est en cela que le sujet est explosif. Qui, en fin de compte, fait les lois en Suisse? Est-ce que ce sont les gouvernants, les politiques, les juges, les représentants des autorités? Ou bien est-ce que ce sont les élections et les électeurs, les Suissesses et les Suisses, le peuple et les cantons? La réponse est claire: en Suisse, les citoyens ont le dernier mot. Ils sont le constituant suprême. Ils décident des lois.Au-delà de la lutte contre la criminalité, l'initiative de mise en œuvre a mis sur le tapis cette question politique fondamentale, avec une clarté brutale. Qui décide? Cela explique la véhémence de la protestation des autorités et les actions menées maintenant contre l'initiative populaire avec force soutien médiatique de la télévision publique et de la plupart des éditeurs privés. Conseillers fédéraux, anciens conseillers fédéraux, parlementaires, juges, juristes et, depuis peu, même des dirigeants de nationalités étrangères résidant en Suisse s'unissent contre une décision populaire. Voilà qui en fait un rassemblement assez insolite.

Les étrangers criminels intéressent peu les opposants. Leur rébellion vise plus fondamentalement à empêcher le peuple de s'immiscer dans des sphères du pouvoir perçues comme domaine réservé des autorités. Le mot qui fâche est «mise en œuvre». L'élite s'oppose à ce que le peuple mette quelque chose en œuvre qui ne convient pas à l'élite. Voilà pourquoi il faut stigmatiser, et empêcher, l'instrument qui exige cette mise en œuvre, «en mobilisant toutes ses forces», comme l'indique un courrier des «parlementaires contre l'initiative de mise en œuvre». Nous voyons se dérouler ici une lutte pour le pouvoir des élites contre le souverain démocratique.

L'affaire ne pourrait être plus claire en la matière. Le peuple et les cantons ont adopté il y a plus de cinq ans l'initiative de l'UDC sur le renvoi.

Cette initiative populaire exigeait l'expulsion automatique des étrangers criminels à la suite de certains délits graves. Le pouvoir d'appréciation des juges a été fortement restreint par les électeurs, et ce, tout à fait délibérément. Un contre-projet du Conseil fédéral qui voulait éviter l'expulsion automatique a été clairement rejeté le jour de l'adoption de l'initiative.

Juristes, fonctionnaires et adversaires affirment aujourd'hui qu'il n'y avait pas à l’époque d'automaticité de l'expulsion. Cette affirmation est inexacte. L'automaticité de l'expulsion était déjà la pierre d'achoppement de l'initiative sur le renvoi. Dans son message, le Conseil fédéral indiquait par conséquent très clairement: «La marge d'appréciation des autorités pour ordonner de telles mesures doit disparaître.»

On peut le déplorer, on peut le juger erroné, voire blâmable. Il n'en demeure pas moins que l'initiative sur le renvoi avec sa funeste automaticité a été adoptée, tandis que le contre-projet sans automaticité était rejeté. On n'a pas attenté à l'État de droit démocratique, mais on l'a simplement appliqué dans le cadre de la démocratie directe.

Les perdants de la votation l'ont vu autrement. Sous la conduite chevronnée de la ministre de la Justice Sommaruga, ils se sont tout simplement refusés à traduire en acte une décision populaire. Leur premier projet de loi calquait le contre-projet rejeté, comme si de rien était. Les auteurs de l'initiative ont alors lancé l'initiative de mise en œuvre parce qu'un référendum n'aurait fait que revenir à la situation juridique antérieure à l'adoption de l'initiative sur le renvoi.L'UDC aurait retiré l'initiative de mise en œuvre si le Parlement avait adopté l'article sur le renvoi, comme décidé, avec un mécanisme d'expulsion automatique. Or précisément, cela ne s’est pas passé ainsi. Une clause pour les cas de rigueur, de nouveau sur le modèle du contre-projet rejeté, a été ajoutée à la loi approuvée l'an dernier, clause qui pourrait empêcher les renvois, même en cas d'assassinat.

Désormais des juristes bardés de distinctions appellent à ne pas appliquer l'article de renvoi même s’il était adopté. Un professeur de droit est même allé jusqu'à faire une déclaration grotesque dans une émission de télévision affirmant qu'en Suisse c'est la Constitution qui institue le peuple. Or, c'est justement l'inverse, le peuple est le sujet de la Constitution et le constituant suprême.

Ces déconnexions de la réalité confirment ce que les partisans de l'initiative sur le renvoi ont pressenti voilà cinq ans: d'éminents juges et juristes suisses croient en une sorte d'absolutisme – «legibus solutus» – être au-dessus des lois. Il est grand temps de les faire revenir à la raison et sur le terrain de notre Constitution.

Il est faux de prétendre que l'initiative de mise en œuvre est contre la séparation des pouvoirs. Si le Parlement contourne la Constitution, le peuple est en droit d'intervenir pour corriger la situation. Les politiques ne se situent pas au-dessus de la population, mais en dessous.

Or, cela ne semble plus aller de soi. Les opposants à la mise en œuvre crient à la «dictature de la majorité» parce qu'ils veulent imposer la dictature de leur minorité. Les temps troublés sont des moments propices, les choses se déformant jusqu'à la limpidité.

Roger Koeppel, Die Weltwoche, Editorial, 3 février 2016, lien vers la source, ici

10 commentaires

  1. Posté par Benito le

    Un magistrat dénommé Audéoud sauf erreur, a pondu une lettre de lecteur dans la Tribune de Genève particulièrement infamante à l’égard de Christoph Blocher, qui a parlé d’une dictature pour décrier la manière dont est maltraitée par les pouvoirs, la votation sur l’expulsion des criminelles étrangers et sa mise en applications aux allures dirigistes par faute des tergiversations visant à ne pas l’appliquer correctement. Or cet Audéoud, dans le but de protéger les avantages de sa corporation et donc ceux des avocats, n’a pas hésité une seconde à affirmer que c’était Christoph Blocher l’instigateur d’une dictature avec cette loi d’application.

    Après Chr. Blocher une seconde voix célèbre cette arrogance dictatoriale des pouvoirs à la solde de l’Europe et des usurpateurs de la démocratie, c’est celle du général Piquemal. https://youtu.be/myPhsRbBWSI qui a aussi fait référence à une dictature contre les peuples, ce qui est loin d’être un hasard.

    Mais revenons à ce magistrat au nom de famille Audéoud. Qui vient de déoud étant lié à Daoud qui doit finalement correspondre à David pour une meilleure compréhension de son cas. Or ses vraisemblables ancêtres ont manifesté à l’égard de notre pays d’un sérieux mépris. http://data.bnf.fr/15089665/maurice_audeoud/ … Un nommé Maurice Audéoud « …Fils du banquier Jules-Paul Audéoud d’origine genevoise. Riche amateur, il réunit d’importantes collections artistiques. En 1899, institua l’Etat français son légataire universel et légua ses collections au Louvre…  »

    Comme nombre d’anti-Suisses, il y a dans cette famille un pied à Genève pour se remplir les poches et un pied sur la France pour y faire vraiment preuve d’allégeance, au point de léguer une bonne partie de sa fortune. C’est ce pédigrée ancestral là, qui fait qu’on comprend de mieux en mieux ses propos anti-Blocher et son souci que la dictature de la France sur Genève puisse un jour perdre pied, par la volonté d’un Suisse alémanique certainement traité de fasciste, du moins en pensées.

    Et cette page d’histoire est aussi symptomatique de cette curieuse famille que certains n’hésiterait pas aussi à qualifier de fasciste. https://books.google.co.id/books?id=tC5CAAAAcAAJ&pg=PA343&lpg=PA343&dq=aud%C3%A9oud+origine&source=bl&ots=fnfO3pMwGg&sig=_tfQd0mWxeIC-SHA0XUmB-3zc18&hl=fr&sa=X&redir_esc=y
    Comme quoi l’amalgame a certaines vertus éclairantes qu’on ne saurait négliger. Vous pouvez commenter!

  2. Posté par Oliver le

    Que dire de plus que « OUI » à cette initiative de mise en oeuvre d’une mesure déjà tellement claire ! « Si tu veux rester chez nous, t’assimiler, c’est ok, bienvenu. Cas contraire tu te tires et cas échéant on te renvoie de force ».
    La gouvernance suisse insulte son peuple. Jamais la criminalité n’a été aussi importante. Pour une très large part, de par le fait civilisationnel dégradé d’étrangers à moeurs différentes, insultantes aux droits de l’Homme. Point barre. Il y a aussi la mondialisation qui contribue à cette dégradation, dont les migrants, les mafias affiliées profitent largement des grandes portes ouvertes européennes et notamment suisses.
    Cela commence par la fraude éhontée à l’aide sociale à faveur d’intrus qui entendent nous coloniser théocratiquement, fraude connue mais tue par le socialisme en place, mais aussi par les marchands d’esclaves qui tirent profit d’une main-d’oeuvre à très bas coût.
    En ce moment, dans ce pays, la Suisse, nombreux sont couples, les femmes, les hommes qui travaillent à 100%, se lèvent très tôt, se taisent, espérant pouvoir payer leurs charges, éduquer leur progéniture, alors que simultanément des migrants, faux réfugiés, profiteurs se goinfrent de prébendes sociales en dénigrant notre pays. Les vrais étrangers, ceux dont nous avons besoin et qui surtout nous apportent une plus-value intellectuelle, matérielle, sont scandaleusement salis par les intrus que la gouvernance ne veut pas renvoyer. Sans aller en Syrie, prenons les Balkans, notamment le Kosovo : pays reconnu par la Suisse à coups de millions annuels, pays dans lequel d’anciens travailleurs encore vivants mais aussi déjà morts touchent des rentes indues. Ces gens-là doivent rentrer dans leur pays pour assurer sa construction !
    La générosité, l’accueil suisses sont honteusement détournés au détriment du peuple suisse. Devant l’Histoire, nos gouvernants seront jugés ultérieurement comme des ennemis de la nation, de son peuple.
    L’aspect plus qu’agaçant réside dans cette terminologie débile, « merdeuse » revenant bientôt dans chaque ligne d’écrit, à savoir la « stigmatisation », l »amalgame », la « …-phobie ». Les médias sont complices de ce discours pourri, insidieux. Quand ces pseudo-élites et maints dégénérés comprendront-ils enfin que l’islam prosélyte, conquérant, totalitariste, est un ennemi juré et féroce du multiculturalisme ? OUI, violer une femme est un crime, promouvoir l’assassinat du mécréant est un crime contre l’Humanité ! Contre ces crimes, il n’y a qu’une unique réponse : OUI le 28 février prochain.
    PEUPLE SUISSE, SECOUE-TOI.

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    Prison de Genève: 93% de criminels étrangers, dont 53% de criminels mahométans…et seulement 7% de criminels Suisses! (chiffres d’il y a 2 ans, mettre svp les chiffres actuels!)

    Si les 93% des étrangers criminels, ayant payé leur crimes, sont ensuite expulsés en avion vers le pays de leur choix (240 pays à choix, mais plus la Suisse), Maudet pourra alors réduire de moitié sa prison!

    J’ai beau lire et relire le texte de l’initiative, je ne vois nulle part la condition qu’on doive les expulser « dans leur pays d’origine »: ils ont payé leur crime, ils sont donc libres d’aller où ils veulent, mais simplement plus en Suisse!

    Et que nos avocats de cette libre circulation imbécile commencent par nous montrer l’exemple, et remplacent chez eux leur portes d’entrées par des portes tournantes!

    Les juristes anti UDC nous embobinent et nous manipulent, car ils nous croient incapables de lire les textes pourtant très clair des initiatives UDC.

    Les ex-taulards, exclus de la Suisse, perdront donc seulement un 240ème de leur liberté de voyager dans le monde entier: juste plus en Suisse!

    Et s’ils sont mahométans, et qu’ils souhaitent s’envoler dans un pays mahométan, là où la charia de Mahomet leur donne officiellement le droit de:
    voler les judéo-chrétiens, tuer les judéo-chrétiens, violer les judéo-chrétiennes, épouser 4 gamines mahométanes de 9 ans achetées à leur papa, avoir autant d’esclave sexuelles non-mahométanes qu’ils peuvent saisir avec leurs armes:
    il y a 50 pays mahométans à choix, tous régis par la charia de Mahomet, et donc pas uniquement leur pays d’origine!

    Ils seront évidemment entièrement libres de choisir leur destination et leur billet d’avion première classe, que notre pianiste SS socialiste se fera un plaisir de leur offrir, aux frais des contribuables Suisses…

    http://ripostelaique.com/prison-de-champ-dollon-7-de-detenus-suisses-53-de-musulmans.html

  4. Posté par Michel Piccand le

    « Un professeur de droit est même allé jusqu’à faire une déclaration grotesque dans une émission de télévision affirmant qu’en Suisse c’est la Constitution qui institue le peuple. Or, c’est justement l’inverse, le peuple est le sujet de la Constitution et le constituant suprême. »

    Mr Koeppel a parfaitement raison de soulever ce point, il va être au coeur de tout le débat qui va survenir ces prochaines années. Ce qu’il ne dit pas cependant c’est que cette thèse – que c’est la Constitution qui institue le peuple – est justement celle qui est enseignée dans toutes les facultés de droit et de science politique en Suisse, dans le plus parfait mépris de notre réalité historique.

    Mais que croyez-vous qu’il va se passer ? Tous les professeurs enseignent cette [fausse] théorie dans les universités, 70 % de l’appareil politique les soutient, les fonds des partis pro-européens sont sans limites [nous savons aujourd’hui avec certitude que lors de l’entrée de la Grande-Bretagne dans la CEE la Commission européenne a versé des dizaines voire des centaines de millions pour emporter la campagne]. Que croyez-vous qu’il va arriver ? Que l’UDC toute seule va arriver à faire le contrepoids ? Contre le PS et les Verts, le PLR/PDC avec toute la droite économique derrière eux, avec en plus les soutiens économiques venant de toute l’UE ? Si c’est ce que vous croyez alors autant vous le dire vous êtes en train de rêver…

    Ce qui est en train de se passer est extrêmement grave, nous allons perdre notre souveraineté. Seule une alliance des Suisses de droite et de gauche confondus peut nous permettre de résister. Si vous vous divisez la bataille est perdue, c’est d’ailleurs justement ce que cherchent certains, c’est à diviser les Suisses.

    Un livre a précisément été écrit pour vous aider à comprendre tout ce qui est en train de se passer, pour vous donner les explications et les arguments en dehors du conflit gauche/droite pour que vous puissiez les expliquer à votre tour à votre voisin de gauche… et de droite.

    Continuer à lancer des invectives est la pire des choses à faire, la division des Suisse ne fera que croître. A l’inverse comprendre pourquoi notre Constitution de 1848 (dont on parle si peu) est le fondement de notre pays, pourquoi et comment cette Constitution ne peut permettre que le peuple comme souverain, est aujourd’hui de première importance. Le livre « Suisse années 2015… Un Peuple Qui Disparaît » a justement été écrit pour que les Suisses-romands aient enfin un livre politique qui défend la démocratie directe. Il n’y en a aucun autre.

    Bien sûr j’entends déjà les voix qui disent « oh il essaie de vendre son livre », je l’ai déjà entendu. Alors il faut que vous sachiez que j’ai passé plus de dix ans à écrire mes livres, je ne suis ni de droite ni de gauche mais j’ai à coeur de défendre mon pays, la démocratie directe et la souveraineté du peuple. Je n’ai reçu aucune aide de personne, pas un centime, alors que je vis dans un pays où si vous faites une exposition en carton où un acteur pisse sur la tête de Mr Blocher vous recevrez des dizaines de milliers de francs de soutien.

    Mais c’est aussi à vous de savoir qui vous voulez aider. Pour ma part il est déjà certain que si un jour notre démocratie directe disparaît, ceux qui n’auront pas lu ce livre ou ne l’auront pas fait connaître à d’autres s’en mordront les doigts, et ça j’en mets ma main au feu.

    Certains diront : Il y avait un livre qui montrait aux électeurs socialistes et du PLR/PDC pourquoi et comment ils étaient en train de se faire avoir par leurs organes dirigeants et qui n’aurait pu que les convaincre. Mais bien évidemment les médias n’en parlèrent jamais, et de ceux qui prétendaient défendre la souveraineté il ne reçut aucun soutien.

    Michel Piccand

    Le livre est ici : http://lc.cx/ZinT

    P.S. J’étudie la possibilité de faire imprimer ce livre sur papier. Si un imprimeur suisse était intéressé je le prie de bien vouloir me contacter sous adimante [at] bluewin.ch

  5. Posté par Le pragmatique le

    La pianiste aime bien être dessus, dommage moi aussi.
    Vote en ma qualité de sale gamin garanti. Je n’ai toujours pas trouvé dans le texte UDC d’où sort son six pack de bières pour pianistes vertueuses.

    Le mal pensant

  6. Posté par Marie-France Oberson le

    merci Monsieur Windisch de nous faire connaitre ces articles en les traduisant. il m’arrive de regretter de ne pas savoir lire l’allemand , juste pour pouvoir lire ce journal !
    Je souscris donc à la proposition de Dominique Schwander
    Un excellent entretien avec M.Koeppel sur l’initiative UDC,dans le dernier Bilan sous le titre:
    « La Suisse est un petit pays vulnérable »
     » Le rédacteur en chef et conseiller national UDC Roger Koeppel raconte son attachement à l’indépendance de la Suisse et son admiration pour Christophe Blocher »
    « Nous n’avons pas à endosser des risques d’autres pays »
    <

  7. Posté par Gregoire Blanc le

    Bravo et merci, M. Koeppel. On aimerait que cet editorial fut celui de « Le Temps » !

  8. Posté par Rikiki le

    Les suisses feraient sensation s’ils faisaient une révolution contre tous ces traitres à la démocratie.

  9. Posté par Dominique Schwander le

    Excellent comme le sont toujours les éditoriaux de R.Koeppel. Il décortique si bien et simplement combien ces élus qui s’opposent au Souverain sont de vulgaires bolchéviques trahissant nos valeurs et nos vertus.
    Comme j’aimerais voir une Weltwoche en français. Pourquoi ne pas commencer à l’imprimer avec un choix d’articles bilingues, par exemple les éditoriaux et quelques articles de fond?

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