Mohamed Abdeslam, qui avait déclaré «n'avoir jamais eu de problèmes avec la justice», a menti.
Non, Mohamed Abdeslam n'est pas tout blanc. Le frère de Salah, fugitif le plus recherché d'Europe et de Brahim, kamikaze qui s'est fait sauter café Voltaire, court les plateaux de télévision depuis quinze jours pour clamer haut et fort son innocence. Non, il n'aurait rien à voir avec les attentats sanglants commis par ses frères à Paris.
«Nous sommes une famille correcte, nous n'avons jamais eu de problèmes avec la justice», déclarait-il le lundi 15 novembre sur le perron du domicile familial de Molenbeek, après avoir passé le week-end en garde à vue dans le cadre de l'enquête. Faux, selon La Dernière Heure, qui a fait état ce week-end du passé trouble de Mohamed Abdeslam.
«Gang des ambulanciers charognards»
En 2005, alors âgé de 18 ans, le frère de Brahim et Salah dépouillait les cadavres à Bruxelles. Son nom apparaît en tout cas dans l'affaire du «gang des ambulanciers charognards». Ces ambulanciers privés volaient les défunts, des proches des victimes, et des victimes grièvement blessées. Le mode opératoire était rodé: ils agissaient durant les transferts des corps.
«Portefeuille, argent, cartes de banque, appareils photo, GSM, bijoux». La liste des valeurs volées entre août 2004 et avril 2005 est longue. Le quotidien belge s'est procuré le jugement de la condamnation en 2010 du frère Abdeslam à deux ans de prison avec sursis pour «actes odieux». On y découvre que Mohamed Abdeslam a été condamné pour neuf des dix-neuf vols sur cadavres qui ont été établis. Il est aussi celui du gang qui a utilisé toutes les cartes bancaires volées.
Caractère de sacrilège
Si Mohamed Abdeslam s'est défendu en prétextant n'avoir fait que suivre le mouvement, arguant que d'autres avaient bien plus profité que lui encore, la juge de l'époque est sans pitié sur son cas. Il est «particulièrement dénué de scrupule et de sens moral, n’apercevant pas la lâcheté de (son) comportement outre le caractère sacrilège des actes commis au préjudice de personnes décédées, dont certaines dans des circonstances dramatiques», relate Dh.be.
Le quotidien belge relève que le jugement de 2010 n’a étonnamment jamais été signifié au délinquant. Mohamed Abdeslam a été condamné à indemniser les victimes à hauteur de 5'000 euros. Pourtant, celles-ci n'en ont jamais vu la couleur.
Source
On mesure combien les peuples de ces « démocraties vieillissantes » d’ Europe démasquées comme telles en son temps par le Pape Jean-Paul II ( Mémoire et identité ) , payent au prix fort la trahison de leur mission politique par leurs représentants. C’est abject !
Il est ėvident que la condamnation de deux ans de prison AVEC SURSIS et une indemnisation des victimes à hauteur de 5’000 euros est persuasive à reprendre le droit chemin!
Le laxisme de la justice est intolérable!
Si ce Monsieur n’a aucun sens moral, la justice, elle, manque totalement de respect envers les victimes.
On en viendrait presque à penser que c’est génétique.
Belle démonstration d’une certaine forme de mentalité et de moralité, mais bien sur, ça n’a rien à voir avec le monde musulman et l’islam. On ne dira rien de plus sinon on risque d’être taxé d’islamophobe.
Il est aussi fiable et honnête que la soeur de Merah celui-là! Bah tout est permis dans le Dar-el-islam. Un bon avocat islamo-collabo rompu à la culpabilisation de l’occident et le tour est joué.