Allemagne, l’industrie de l’asile

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Selon un avis de droit de l’avocat général de la Cour de justice de l’Union européenne, les immigrés en Allemagne ne peuvent pas être exclus des prestations Hartz-IV (assistance au chômage).

Bien que l’immigration ait été reliée constamment à « enrichissement » par les politiques, en réalité,  là où vivent de nombreux requérants et migrants, l’enrichissement annoncé n’a pas eu lieu - au contraire. Les villes et communes ploient sous les charges financières de plus en plus lourdes. Chaque requérant coûte par année entre 13 000 et 25 000 euros au contribuable, au minimum.

Quelques autres faits politiquement incorrects : 1 immigré sur 5, bénéficiaire de Hartz-IV, refuse d’apprendre notre langue, 75 % des immigrés bénéficiaires de Hartz-IV n’ont aucune formation professionnelle et beaucoup d’autres prétendent ne pas pouvoir travailler plus de 3 heures par jour.

En 2010, Gunnar Heinsohn avait évalué les coûts de la migration à charge de chacun d’entre nous à 40. 000 euros : « En 2007 déjà, l’Allemagne avait mille milliards d’euros de dettes spéciales pour les migrants. Ceux-ci prélèvent davantage des systèmes d’assistance qu’ils ne peuvent y contribuer pour cause de mauvais résultats scolaires et autres handicaps. Les 25 millions de contributeurs travailleurs à plein temps sont chargés d’une dette de 40 000 euros chacun. » Entre temps, la somme est significativement plus élevée – et s’élèvera davantage encore au vu de l’afflux massif des requérants.

Die Asylindustrie, Udo Ulfkotte, Kopp Verlag

Extraits traduits pages 82/83/85/86/87

Kopp Verlag de

Un grand merci à Caroline

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