« La Jungle est devenue une zone de non-droit où les migrants nous font bien sentir que nous ne sommes pas les bienvenus ».
D’autres affrontements ont également eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi. « Il y a eu plus d’une dizaine d’attaques de camions, de 23 h 30 à 3 h 30 », explique Gilles Debove, représentant du syndicat SGP Police Force Ouvrière.
C’est poli de dire pas « bienvenu » profitez de cette politesse ça sera bientôt « nous sommes chez nous ».
Et bien je puis vous affirmer avec certitude qu’en mettant au placard les balles en caoutchouc et en les remplaçant par des balles de 9mm, et bien non seulement ça ne sera plus toutes les nuits, mais ça sera de moins en moins et de moins en moins…
Lorsque dans un reportage d’octobre dernier, sur les « migrants », Temps Présent ne nous montre que des familles syriennes, et se permet la comparaison avec les réfugiés hongrois en 1956 (suite à la décision de Viktor Orban de fermer les frontières), la RTS est clairement à côté de la plaque, once again. Elle ne recule devant rien pour chercher à nous culpabiliser.
Ayant dans le cadre de mon boulot, livré du matériel dans plusieurs abris PC avec des requérants, je n’y ai jamais une seule femme, un seul gosse ou un seul vieillard. Systématiquement que de jeunes hommes venus seuls. Une véritable armée pitentielle. Qu’ils cessent de vouloir nous faire avaler des couleuvres. On n’est pas dupes.
De soi-disants pauvres réfugiés en danger de mort dans leur pays qui se permettent tous les outrages une fois arrivés en Occident: violences diverses, intimidations, vols, viols, incivilités, revendications injustifiées et j’en passe.
Questions pour les bobos-socialos: est-ce que les refugiés européens des deux guerres mondiales, qui eux étaient vraiment en danger de mort, étaient aussi détestables et malhonnêtes que les immigrants clandestins d’aujourd’hui ? Je crois que tout le monde connaît la réponse.