Perquisitions, assignations à résidence… Le Collectif contre l’islamophobie en France lance un guide pratique

 

Perquisitions, assignations à résidence, fermetures administratives : autant de mesures élargies dans le cadre de l’état d’urgence.  Afin d’aider à y voir plus clair, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) propose un guide pratique (à télécharger ici), rédigé par l’un de ses avocats, sur les mesures prises sous le régime de la loi du […]

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4 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Ceci est la démonstration que l’islam et ses troupes aboient pour protéger leurs libertés de semer la terreur au détriment de nos libertés d’exiser et qu’ils ne sont pas solidaires d’une Patrie qui les a nourri contrairement à leurs pays d’origine.

    Refuser ce qu’une grande majorité de citoyen admettent aujourd’hui (peut être pas demain) c’est vouloir se soustraire à l’état de droit qui a engendré l’état d’urgence pour garantir sa pérennité à long terme au détriment d’un coup d’Etat pour imposer une république islamique.

    Quand on sait que les imams de la mosquée de Genève habitent à Ferney Voltaire (le grand Genève…) et qu’il y a un ou des titulaires d’une fiche de police S parce qu’un lien existe avec Toulouse et les attentats de Merah, qu’ils viennent d’être l’objet d’une descente de gendarmerie, on peut penser qu’à Genève les socialistes bisounours et leurs médias à la botte ont anesthésié la population et les gouvernants.
    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaques-du-13-novembre-a-paris/etat-d-urgence-en-france/des-perquisitions-menees-aux-domiciles-francais-des-imams-de-la-mosquee-de-geneve_1193655.html

  2. Posté par Vautrin le

    Il ne faut pas oublier que si les circonstances ont poussé la « gouvernance » à prendre des mesures, son idéologie n’a pas changé d’un iota. En dépit d’actions spectaculaires dont la majorité sont des coups d’épée dans l’eau, ce n’est pas la lutte contre le nazislamisme qui constitue la priorité de ces gens-là, c’est au contraire la lutte contre un peuple qui en a assez d’être écrasé d’impôts, réduit au chômage, privé de sa souveraineté et de ses frontières. Il n’est donc pas étonnant que les fascistes du pouvoir profitent de l’état d’exception pour tenter de réduire une opposition nationale, patriote.
    Il est très instructif que les traîtres du CCIF couinent en raison inverse de la retenue des forces de l’ordre : moins les islamonazis sont dérangés, plus ils hurlent. Les gauchistes, cette vermine, arrivent à la rescousse. Rien de changé, la preuve, la réponse enragée de la dame Taubira à Marion !

  3. Posté par Myrisa Jones le

    Il n’y a pas que les islamistes potentielles, les délinquants armés etc. qui sont actuellement perquisitionnés. Pour certains, l’occasion est trop belle pour ne pas en profiter…
    L’exemple ci-dessous montre que le virage « sécuritaire » prit en France et qui peut être justifié dans un premier temps, cache d’autres intentions moins avouables.

    Perquisition administrative chez des maraîchers bio : « Ils s’attendaient à quoi, des légumes piégés ? »

    Le 24 novembre, le préfet de Dordogne a ordonné la 870x489_policeperquisition d’une ferme du Périgord vert. À la recherche de « personnes, armes ou objets susceptibles d’être liés à des activités à caractère terroriste », les gendarmes ont fait chou blanc. Sur les 1 233 perquisitions administratives menées en France, les abus commencent à s’accumuler.
    La ferme d’Elodie et Julien, à mi-chemin entre Périgueux et Angoulême, figure dans une plaquette de l’office de tourisme au chapitre « vente directe de fruits et légumes ». Il faut croire qu’on la trouve aussi dans les petits papiers du préfet de Dordogne. Mardi matin à 7 h 20, depuis sa chambre avec vue sur l’arrière de la maison, un ami hébergé par le couple entend des claquements de portières et aperçoit la lumière de lampes torches. C’est une perquisition administrative. « Quand on est descendus, les gendarmes étaient déjà dans la cuisine », raconte Elodie, 36 ans. Elle ne sait pas si l’ami « a ouvert ou s’ils sont entrés tout seuls », de toute façon « la porte était ouverte ». Devant elle et son compagnon Julien, 34 ans, s’alignent « une dizaine » de gendarmes de Nontron, Ribérac et Verteillac.
    « Comme les maraîchers bio demandent des explications, les forces de l’ordre invoquent l’état d’urgence et leur montrent un ordre de perquisition signé par le préfet Christophe Bay (voir ci-dessous). Selon ce papier, faisant référence aux attentats du 13 novembre et à « la gravité de la menace terroriste sur le territoire national », « il existe des raisons sérieuses de penser » que, chez eux, « peuvent se trouver des personnes, armes ou objets susceptibles d’être liés à des activités à caractère terroriste ». « Ils s’attendaient à quoi, des légumes piégés ? », plaisante Elodie après coup. Installés depuis trois ans et demi en Dordogne, Julien et sa compagne ont une fille de deux ans, vendent des légumes de saison à Biocoop et le samedi au marché.

    « Le G8, les manifestations pour l’environnement, ça ne vous dit rien ? »

    Pendant deux heures quarante, les gendarmes fouillent chaque pièce en regardant « dans les placards, les coffres, la bibliothèque, les recoins, les boîtes », détaille Elodie. Ils semblent « très intéressés par les petits carnets, les coupures de presse. Les livres, moins. » Et demandent quelle surface fait la ferme, s’il y a des appentis. L’un d’eux prend les choses particulièrement au sérieux. « Il nous dit : “le G8, les sommets européens, les manifestations pour l’environnement, ça ne vous dit rien ?”, et mentionne aussi la COP 21. Visiblement, la perquisition a un rapport avec nos activités militantes. »
    (…)
    http://lesmoutonsenrages.fr/2015/11/26/perquisition-administrative-chez-des-maraichers-bio-ils-sattendaient-a-quoi-des-legumes-pieges/
    Cette impression se confirme lorsque les gendarmes évoquent enfin « un truc tangible », une action à laquelle Elodie et Julien ont participé il y a trois ans contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes : le blocage du péage autoroutier de Mussidan. « Je ne pense pas avoir fait une seule manif depuis », résume la maraîchère. »

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