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…et dire qu’il y a des gens qui osent comparer Freysinger à un Le Pen suisse!!
En voilà un qui en a une belle paire de c.., sa langue n’est pas de bois et il la porte bien haut avec brio, hors de sa poche et à la cime des toits.
Merci Oskar pour tant d’amour et de passion, continue ainsi où que nous allions, et nous te soutiendrons à fond, sacré lascar!
Merci aux Observateurs.ch pour avoir mis sur son site ce remarquable interview.
Toutes mes félicitations Oscar Freisinger pour cet interview remarquable. J’imagine que bien peu de nos journaleux merdiatiques ont dû prendre connaissance de cette émission, ou alors, s’ils l’ont vue ils se garderont bien d’en faire état dans leurs « canards » respectifs afin de ne pas se faire taper sur les doigts par leur rédaction gauchiste comme eux. Ahh, la triste information à laquelle nous sommes soumis bien malgré nous.
Avec mes félicitations réitérées professeur Freisinger.
Oui BRAVO et merci Monsieur Freysinger !
Ah si seulement nos conseillers fédéraux pouvaient de temps à autre s’exprimer ainsi pour clamer haut leur amour de notre pays !
Malheureusement, le tableau idyllique que vous dressez a tendance à se faner et, comme vous, je le regrette infiniment. En effet, vous n’avez pas dit un mot de nos petits compatriotes (on peut ôter le « patriotes ») qui ne se lassent pas de faire pipi dans la soupe au lait.
Le but évident de ces socialauds et confrères est de saboter la machine démocratique et ses institutions que vous décrivez avec tant de passion. Leur immense mépris de la population les rend impropres à participer à la vie de notre pays autrement que par leur simple vote (oui, je reste démocratique).
Vous n’en avez pas parlé, sans doute pour ne pas vous les mettre plus à dos qu’ils ne le sont déjà avant l’élection du conseil fédéral, je vous comprends, parfois la fin (et l’importance de l’enjeu) justifie un oubli temporaire.
Je formule mes meilleurs voeux pour votre candidature.
Grand Bravo à Oskar Freysinger pour ce cours magistral et intelligible (même pour nos voisins) ce qui est malheureusement trop rare. On en redemande…
Merci aussi à: http://lesobservateurs.ch, de diffuser beaucoup de contributions très intéressantes qui font l’effet d’une douche rafraîchissante dans ce désert d’informations desséchées par la bienpensance des élites et les médias à leur botte.
Merci surtout à Monsieur Uli Windisch qui tient ce projet à bout de bras, contre vents et marées. Son succès et celui de ses idées lui donnent raison!
Oskar Freysinger explique en effet remarquablement bien le gouffre institutionnel qui existe entre , notamment, la France et la Suisse. Ce gouffre implique qu’en France le système est
fatalement de plus en plus « rejeté » par la peuple , alors qu’en Suisse le système n’existe que par l’expression de la volonté populaire.Cela induit d’un côté la révolution permanente avec ses conséquences désastreuses sur le bien commun et l’économie , de l’autre, un esprit civique affirmé, participatif , source d’harmonie sociale et de prospérité. Cette différence fondamentale explique pourquoi suisses et français ont beaucoup de mal à se comprendre lorsqu’ils parlent politique, vivant chacun sur une autre « galaxie ». Cependant et comme le note justement Oskar Freysinger, pèse tout de même sur la Suisse toute la pression anglo-saxonne via l’UE. Et il n’est pas surprenant dès lors que dans bien des domaines, bien des suisses, media en tête, se trouvent contaminés par les idées nihilo- mondialistes en vogue, cela d’autant plus que votre fier pays présente malheureusement à mon sens une réelle faiblesse identitaire sur le plan de la méta politique.
@François : Cet interview exemplaire est à diffuser dans toutes les écoles, dans tous les partis politiques, dans toutes les TV, bref partout et surtout à l’UE.
Absolument, mais il faut se rendre compte d’une chose une fois pour toute. L’UE n’est pas incompétente, elle veut détruire délibérément les nations en Europe et pour ça, elle s’y prend bien. Donc, l’UE ne veut rien avoir à faire avec des gens comme O. Freysinger. Les gens comme O. Freysinger sont dangereux pour l’UE. C’est un peu comme si vous alliez dire à Staline que vous avez trouvé une politique fantastique pour libérer les peuples et que vous vous attendiez à recevoir une tape amicale sur l’épaule et lui vous disant que c’est fantastique et qu’il ne peut plus attendre de voir ça. Vous finirez plutôt dans un fossé avec un sac en plastic sur la tête. Ne comptez absolument pas sur les oligarques de l’UE pour faire quoique ce soit de bien pour les populations. Avez-vous remarqué que les seules choses qu’édictent l’UE sont des taxes, des lois contraignantes, de l’austérité, des menaces, des diktats… Avons-nous jamais vu quelque chose en faveur des populations ? Cette Europe là va s’écrouler, malheureusement en entraînant beaucoup de vies avec elle. Je ne comprends pas comment il y a encore des Suisses qui veulent adhérer à ça.
Oskar Freysinger est absolument excellent, lumineux, brillantissime dans cet interview, quelle honnêteté, quelle intelligence, quelle justesse, quelle pédagogie, quelle connaissance, quelle aisance, on ne peut rêver meilleur embassadeur de nos institutions suisses. Cet interview exemplaire est à diffuser dans toutes les écoles, dans tous les partis politiques, dans toutes les TV, bref partout et surtout à l’UE.
@Nicolas : en effet « De toute évidence il dépasse de la tête et des épaules les sept nains qui squattent le Conseil Fédéral depuis quatre ans. ».
En conclusion : il est indispensable, que dis-je vital pour le pays qu’Oskar Freysinger soit élu Conseiller Fédéral !
Nicolas,
C’est là que nous saurons si notre peuple mérite un tel chef, ou non.
Penser que son intégrité est une erreur stratégique, c’est perpétuer et ériger l’hypocrisie et le mensonge comme seule option de gouvernement !
Mais c’est vrai qu’on a beaucoup dégénéré depuis Nicolas de Flüe 😉
De toute évidence il dépasse de la tête et des épaules les sept nains qui squattent le Conseil Fédéral depuis quatre ans. Un réel danger pour les rats de couloir, donc peu de chances d’être élu en décembre. Trop de sincérité, trop d’intégrité, relèvent d’un manque de réalisme. Il doit encore comprendre qu’il convient de faire le bobet et de cacher son jeu pour être dans les bonnes grâces des faiseurs de rois. Suffisamment intelligent pour apprendre de ses erreurs, il saura se couler dans le moule et son heure viendra, à n’en pas douter.
Superbe interview avec un Freysinger qui connait parfaitement son sujet et la Suisse 🙂