Médias suisses. Propos scandaleux du directeur de la SSR/SRG et homme de gauche R. de Weck

Uli Windisch
Rédacteur en chef
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Médias suisses. Monopole du Service public, recherche orientée et propos scandaleux du directeur général…Et personne ne proteste !

 

Le lundi 26 octobre  2015 au journal du matin, à 6 h, Roger de Weck, directeur général de la SSR/SRG, a tenu des propos scandaleux sur la presse en Suisse, et plus particulièrement sur celle de  Suisse alémanique. Tout le monde sait que les médias sont massivement de gauche en Suisse et encore davantage en Suisse romande, qui ne connaît pas comme la Suisse allemande, plusieurs journaux libéraux, dits de droite, mais qui en réalité sont beaucoup plus ouverts que ce que prétend une gauche furieuse de cette concurrence à succès.

Dans cette émission, il était question des difficultés financières de la presse et du fait qu’elle serait pour cette raison sous influence, entendez soumise à des pouvoirs économiques et financiers, donc tirée à droite, comme cela ressort aussi du dernier  rapport annuel Annales Qualité des médias, édition 2015.

Oui, il y a eu un début de rééquilibrage par rapport à l’orientation générale de gauche et politiquement correcte en Suisse alémanique avec notamment  Die Weltwoche de Roger Koeppel, en plus brillamment élu sur la liste UDC zurichoise au Conseil national (de quoi faire enrager tous les bien-pensants), et la Basler Zeitung.

Commentaire de Roger de Weck, homme de gauche donc (je cite de manière synthétique) :

cette présence d’une presse de droite n’est pas malsaine s’il s’agit d’un simple rééquilibrage mais si elle cherchait à prendre le contrôle de l’opinion publique, il y aurait danger de berlusconisation !

De tels propos sont tout simplement indignes, scandaleux. Visiblement le mainstream de gauche ne gêne pas R. de Weck puisque c’est son idéologie. Mais imaginer que  2-3 journaux puissent « prendre le contrôle  de l’opinion publique » montre quelle image méprisante il a de nos citoyens, qui seraient donc susceptibles de se laisser influencer aveuglément et unilatéralement par la presse, alors que les critiques sont de plus en plus virulentes envers elle. Mais lui  prend visiblement ses propres publics pour des imbéciles culturels taillables et corvéables à merci par des médias dont le moindre article laisse pourtant deviner où l’on veut amener le lecteur, et ce dernier s’en rend parfaitement compte.

Honte et irrespect profond.

Rappelons la réponse du père de Roger de Weck qui répondait à un interlocuteur étonné par l’orientation politique de gauche de son fils : « Mon fils a fait beaucoup de progrès. Maintenant il est de gauche. Avant il était d’extrême gauche ». ( voir sur notre site,  John Longeole qui relate ces dires : https://lesobservateurs.ch/2015/09/26/medias-nos-lecteurs-au-regard-decapant-sur-levolution-de-la-presse-et-des-medias-romands/).

Au nom de quoi devrions-nous continuer à tolérer de tels propos de la part d'un directeur général de la SSR/SRG aussi orienté idéologiquement ? Totalement à l’opposé de la très large majorité de la population. Suffit-il encore d’un nom à particule et d’une orientation à gauche, pour se faire pardonner ses origines, pour être nommé aux plus hautes responsabilités du pays ? Car c’en est vraiment une de responsabilité.

Pour moi ça suffit, et la demande d’une direction générale moins idéologique, après tant d’autres prises de position idéologiques, toujours à gauche, voire même à l’extrême gauche ! (souvenons-nous par exemple de son éloge dithyrambique de Cohn-Bendit lors d’une cérémonie de reprise de prix en Allemagne), ne me semble nullement excessive.

La radio nous rappelait, après cette envolée idéologique socialisante de son directeur général, que la Commission fédérale des médias allait publier sous peu un rapport qui servira de base à la discussion générale sur le  rôle du Service public médiatique, discussion tant promise avant et après la votation sur la Révision de la Loi sur la Radio-Télévision du 14 juin 2015; votation qui a failli être refusée, ce que personne n’imaginait quelques mois avant la votation, et qui constitue un signal clair de la révolte d’une grande partie de la population envers nos médias officiels, quoi qu’on en dise.

Je peux déjà affirmer que ce rapport confirmera très probablement quelques représentations stéréotypées et, elles aussi, très orientées idéologiquement. Lors de la votation susmentionnée il est apparu très clairement que les chercheurs qui produisent ces rapports annuels des Annales Qualité des médias (ça ne s’invente pas), sont très majoritairement de gauche et certains reçoivent des crédits énormes de la SSR/SRG, du FNRS, etc., et n’ont cessé d’affirmer, je caricature à peine, que seuls le Service public et quelques rares journaux offraient des produits de qualité.

L’on retrouve certains de ces  chercheurs, de même que le directeur de la TSR , etc. dans cette Commission fédérale des médias. Ce ne sont pas eux qui vont militer pour une vraie pluralisation des médias, autrement que verbalement, se contentant de souligner en permanence leur grande diversité, alors que l’on sait depuis longtemps que la diversité n’assure en rien un vrai pluralisme. A cela ils ajouteront tout aussi rituellement que sans un Service public puissant et très riche la Suisse va s’effondrer, comme ils l’ont fait avant la votation.

Il faudra donc absolument que nos politiques prennent conscience de ce problème. Bien des acteurs politiques au plus haut niveau sont toujours surpris quand je tente d’attirer leur attention sur cette situation, avant de devoir reconnaître qu’il y a bien là un vrai problème. Certains auraient-ils peur de ne plus être invités dans ces médias s’ils font preuve d’esprit critique et exigent eux aussi davantage de pluralisme et de démocratie. Ce serait un comble.

Roger de Weck passe d’ailleurs un temps considérable à défendre les mêmes thèses sur l’absolue nécessité d’un puissant service public ( je suis aussi pour un vrai service public mais pas pour un monopole aussi scandaleux et présent dans aucun autre pays démocratique). Lui aussi affirme  rituellement et partout que sans un Service public aussi puissant, riche et monopolistique, l’identité nationale et l’entente confédérale  seraient en grave danger !

Ce mensonge, en fait une volonté aussi de créer et de jouer sur la PEUR, tendance toujours dénoncée par ailleurs et attribuée « aux populistes », doit être rappelé, également de manière continue et sans fin.

En attendant, les milieux politiques officiels concernés, devraient protester énergiquement contre ces  propos du directeur général, « proche » de la gauche, voire de l’extrême gauche,  et envisager de  remplacer le plus tôt possible Roger de Weck,  par une personnalité plus compétente, indépendante, ouverte et neutre. Rappel : un salaire annuel de  frs 560.000.- Ce montant pourrait sans problème être réduit.

Autant de mesures à prendre au plus vite afin de rapprocher à nouveau la population du Service public et des médias en général, plutôt que de laisser le fossé continuer à se creuser dangereusement.

Le danger n’est pas la berlusconisation des médias mais bien l’orientation générale idéologique à gauche et le monopole anti-démocratique, insuffisamment pluraliste et concurrentiel, de ce Service « public » médiatique, et cela à tous les niveaux, également chez une grande partie des milliers de fonctionnaires embarqués massivement dans ce bateau ivre du politiquement correct.

Uli Windisch, 31 octobre 2015

 

Articles parus sur Lesobservateurs.ch en rapport  avec la thématique traitée :

Médias. Le mammouth du « Service public » suisse. Votations populaires du 14.6. 2015. Une vraie tricherie et un but inavoué.

Médias. NON catégorique…Last call! NON catégorique à un «Service public» monopolistique, non pluraliste et à une propagande officielle mensongère (votation fédérale 14.6.2015)

Médias. R. de Weck, directeur de la SSR (Mr 560.000.-frs) s’invite chez lui à la RSR pour ronronner de contentement…

 

 

 

16 commentaires

  1. Posté par John Longeole le

    Allez-y gaiement Uli Windisch : tirez à boulets rouges sur Herr von Fünfer und Weckli.

    C’est une bonne cible pour la noce à Thomas. Les petits bourgeois francs maçons qui l’ont mis à ce poste, en bonne partie par snobisme idiot, sont déjà en train de comprendre la kolossale erreur de casting qu’ils ont commise. A mon avis le rejeton de Philippe de Weck est sur un siège éjectable en ce moment. D’ailleurs c’est sa marque de fabrique: partout où il a passé dans sa carrière (Die Zeit, Tages Anzeiger) il a toujours énervé tout le monde et fini par se faire saquer comme un malpropre. Nur warten, le fuit est mur, il va bientôt tomber. Pouf!

    Roger de Weck a subi un énorme camouflet à cause du quasi échec de la redevance. Ce flop inattendu était du principalement à l’agacement profond qu’il suscite parmi les Suisses allemands, avec ses grands airs et son idéologie de gauche prétentieuse et euroturbo. Le conseil d’administration de la SSR ne peut pas ne pas s’en être aperçu.

    Autre faiblesse de Herr von Fünfer und Weckli : son cousin Raymond Lorétan s’est éliminé lui-même du jeu politique fédéral. Il était issu exactement du même milieu que Roger de Weck, à tous égards (la Grande Société de Fribourg, agence matrimoniale de l’aristocratie fribourgo-valaisanne, et les mêmes « affinités philosophiques »). C’était très fort d’avoir réussi à manoeuvrer pour avoir ce garçon comme président de la SSR : un chef de tout repos, qui lui permettrait de faire toutes les conneries possibles et imaginables, et qui lui passerait tout.

    Malheureusement pour Roger, Raymond vient de se saborder lui-même de manière spectaculaire en se présentant malencontreusement au conseil des Etats, et en rendant lui-même impossible son élection à cause de son ostracisme ridicule envers le MCG-UDC. C’était un véritable suicide politique, pitoyable, que chacun a pu observer en gros plan à la TV. Fascinant de bêtise. Et en plus, avant de se présenter il avait du démissionner du conseil d’administration de la SSR, à cause du conflit d’intérêt. Par conséquent le Lorétan a fait doublement pschiiitttt. Il a perdu une lucrative sinécure à la SSR, et il s’est planté en politique. C’est curieux pour un fils et petit fils de grands manitous conservateurs catholiques valaisans habitués à la combine politicarde. Le sens politique se perd dans la famille Lorétan, dommage.

    Bref, je résume :

    a) Herr von Fünfer und Weckli a gravement démérité aux yeux des maîtres de la SSR,
    b) il a perdu son complaisant président potiche du Conseil d’administration, issu du même moule que lui: Lorétan,
    c) il énerve tout le monde. Ca, ce n’est pas de sa faute. C’est sa nature.
    d) il s’est mis à dos, depuis longtemps, les grands éditeurs de journaux comme M. Supino de Tamedia, qui ne peut pas le voir en peinture et le méprise profondément.
    e) en plus il a même Uli Windisch contre lui maintenant. Ca, ça lui sera fatal.

    Der Herr von Fünfer und Weckli hat sich im Abseits manövriert. Er hat die Schmerzgrenze überschritten. Er ist für Bundes Bern untragbar geworden ! Ses jours, politiquement, sont comptés. Plus personne ne le soutiendra. Il va être lâché de partout, comme EWS. Taïaut ! Taïaut ! Allez-y Uli Windisch, tapez ! tapez dur ! Donnez vous-en à coeur joie, le Roger branle au manche. Encore un petit effort et vous réussirez à le « déguiller » pour de bon.

  2. Posté par aldo le

    Plusieurs de ces spécimens louches, aussi au sens général, nagent à gauche et au centre gauche mais pas vraiment au centre, et c’est bien normal. Leuthard, Mettan, de Weck et ce ne sont certainement pas les seuls. S’ils venaient d’Afrique du Nord ils s’appelleraient tous Lellouche. Les langues sont d’une richesse infinie et nous fournissent la substance à nos interrogations. Louche c’est déjà d’entrée très négatif. Ce louche de Hollande n’est pas prêt de l’admettre lui qui s’autoproclame normal…

    Pensez à Baudelaire et ses paradis artificiels. Syphilitique à cause de ses frasques, vraisemblablement au contact de deux loucheuses, Sarah la louchette, juive et Jeanne la louchette. Un vrai pervers ce Baudelaire, pour collectionner des louchettes , (attention à Mettant qui n’aimait pas du tout « Madoff le Juif ») . Baudelaire, un quarante-huitard de deux siècles en arrière qui n’aurait pas démérité comme soixante-huitard du siècle passé. Quand même curieux que dans ces cas il ne s’agisse pas d’un problème visuel.

    Ceci démontre si besoin était, qu’il s’agit d’une question beaucoup plus subtile. Le louche vient du visuel et pas le contraire. Donc les loucheurs visuels sont encore doublement plus louches. On peut les comparer à ces alcooliques bourrés qui voient doubles pendant un temps limité. Mais les loucheurs visuels c’est vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Quelle légèreté de les mettre au pouvoir. Dans ces conditions ils sont prêts à nous envoyer dans le précipice. Normal, ils le feraient pour eux-mêmes.

    Avec ces questions sommes-nous en présence de louchophobie ? Très certainement… ! Mais croire que des siècles d’analyses puissent être poutzés d’un tonitruant : « espèce de louchophobe » est-ce suffisant pour nier l’existence de loucheurs louches et malfaisants.

    Droit dans ses bottes, droit dans les yeux c’est bien autre chose. On sent une rectitude de bon aloi qui tranche fortement avec un hôtel louche. Un hôtel de passes par exemple ou l’on invite une louchette. Mais attention à l’amalgame ! Pourquoi donc ? Il ne s’agit pas d’un problème dentaire ! Louche c’est devenu dans la bouche d’un censuré, chelou, tellement la bonne conscience est là pour nous couper de nos racines et nous imposer la dictature des malfaisants qui jouent avec le monopole de la bien-pensance. Inutile d’ajouter de gauche, évidemment. C’est évident les loucheurs sont aussi des bien-pensants qui pensent en tout premier lieu à leur nombril, le seul moment où ils peuvent avoir le droit de se situer au centre.

  3. Posté par François Etienne le

    Ici, une fois de plus, le site UW rééquilibre les forces en présence, par la Ré-information, pour celles et ceux qui auraient encore quelque doute sur la puissance dirigiste des Médias. Le cirque désolant autour de Mme EWS est significatif : des heures de bla-blas pour essayer de justifier un échec retentissant au niveau suisse, un Pays fort mis à genou par les USA et l’UE, un pays qui doit se redresser et évincer le socialisme rampant, inquisiteur, corrompu. Mais, de grâce, contemplons l’Histoire ! Et alors nous savons que le changement est inéluctable vers une société de l’effort, de l’excellence !

  4. Posté par François Etienne le

    S’appeler « de Weck » et être de gauche, c’est être un sosie de Macron France… Cela étant, il est vrai que la SSR est gauchisante, aux frais de la redevance et en contradiction avec la Constitution et la Neutralité de l’information officielle.

    Mais … l’auditeur, le téléspectateur savent opérer la distinction. C’est le chant du cygne, car les événements démontrent non seulement l’impopularité du socialisme, mais, pire, sa totale inutilité néfaste. Pourquoi l’Europe de Droite s’éveille-t-elle sur notre continent ? A Calais (eh oui), en Hongrie, en Croatie, en Slovénie, en Autriche … des murs de barbelés s’érigent pour stopper un flux envahisseur, non pas de petits soldats UDC idiots, mais de conquérants, futurs martyrs islamiques. Du Bengla-Desh au Mali, quelque cinq millions de ‘migrants’ se préparent au grand départ vers l’Europe HOLMERK.

    Soyons cependant rassurants : le Château et les terres de Monseigneur de Weck seront protégés de ces manants du Levant. On respire pour lui.

  5. Posté par Pehem Veyh le

    Virons ce service public corrompu et ce ramassis de gauchos qui n’ont même plus la vergogne de s’en cacher un peu! On y va gaiment, style propagande. Le résultat, pour le moins serré (et pour lequel on aurait dû procéder à un recomptage) n’a en fait rien changé chez ces abrutis. Mais encore fallait-il en avoir une once de volonté.
    Ne nous reste plus, en ce moment, qu’à passer son chemin, boycotter ces merdias et à se forger une opinion sur Internet ou un vrai choix nous est donné…
    @ Roger: ah ah ah ! Elle est bonne, je vais la retenir.

  6. Posté par Jean-françois Dupont le

    Il y aurait bien des séquences RTS récentes pour illustrer et confirmer cette analyse simplement lucide d’Uli Windisch.
    Exemple :
    Jean_Marie Crettaz /50 ans au barreau de Genève, termine une longue interview au micro de Mélanie Croubalian dans l’émission de la RTS « Entre-nous soit dit » en évoquant l’UDC en ces termes :
    « Je crois que ce sont des inconscients, des gens qui marchent avec des slogans, des milliers de petits soldats qui suivent aveuglément les slogans d’un grand manitou que vous connaissez, que nous connaissons, un capitaine d’industrie financière…
    Ces gens devraient se souvenir que la métaphore qu’ils aiment bien, la métaphore des moutons, pourrait se retourner contre eux. Les moutons ne sont peut-être pas ceux que l’on croit. C’est en tout cas mon espoir…
    Cerise sur le gâteau, Mélanie Croubalian ajoute, admirative :
    « C’est le mot de la fin, on boit vos paroles… »
    Source :
    http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/entre-nous-soit-dit/7173105-jean-marie-crettaz-50-ans-au-barreau-de-geneve-30-10-2015.html?f=player/popup#
    (Curseur temps sur 53 :05)

  7. Posté par Jacques le

    @ Pépé le Moko et Vuillomenet… bravo, vous m’avez fait bien rire. Mais je ris moins en pensant à la RSR: j’ai renoncé à écouter La Première, dont la propagande gauchiste me donne des boutons. Couleur 3 se vautre dans une constante vulgarité . Il ne reste plus que le refuge d’Espace2, peuplé de collaborateurs compétents et cultivés. Les informations de RSR sont trop superficielles pour qu’on s’y attarde. Mieux vaut aller sur les chaînes de radio de SRF, qui sont largement supérieures au niveau des informations et de l’analyse.

  8. Posté par aline le

    La Weltwoche publie une liste avec tous les programmes de la TV étatique Suisse allemande. Selon l’analyse seulement 40% sont des infos = service publique et 60% divertissements. Les infos sont aujourd’hui disponible partout, donc nous n’avons même plus besoin du service publique.

  9. Posté par lerat le

    Ayons la lucidité et le courage d’abolir ce service public inutile obsolète et gangréné de gauche jusqu’à la moelle des os !
    Ce de Weck est un danger public mais on ne s’en rend pas encore réellement compte !
    Basta, donnons-lui une canne à pêche pour pêcher le goujon !

  10. Posté par François le

    Merci Monsieur Uli Windisch pour cette analyse édifiante concernant le comportement de monsieur R de Weck à un poste à ce point stratégique. Il apparaît à l’évidence que l’absence totale d’objectivité et de lucidité de monsieur R. de Weck est scandaleuse et inadmissible et exige qu’il soit remplacé dans les plus brefs délais.

  11. Posté par Andrea le

    Suppression du mandat de service public, tout de suite!!!!

  12. Posté par pépé le moko le

    OUI, Mr. Vuilliomenet, on lui adjoint Madame Schlumpf et ça nous fait le bal des vampires !

  13. Posté par pépé le moko le

    Comment un homme se disant de gauche peut-il accepter et justifier un salaire aussi indécent ?
    Il a peut-être aussi droit à une voiture de fonction ?
    Fiat panda entrée de gamme ou Dacia sandero avec vitres électriques à l’avant ?

  14. Posté par Roger le

    Avec le regard qu’il a on ne peux pas lui demander de suivre une ligne qui va de gauche à droite

  15. Posté par Pierre Frankenhauser le

    De Weck et sa clique de petits scribouillards de gauche confondent diversité et oligarchie socialiste. Sur le torchon que Billag envoient à celles et ceux qui n’ont pas payé leur redevance, il est écris en bas de page « La diversité suisse, à regarder et écouter ». Pourquoi serais-je forcé de soutenir financièrement cette oligarchie de gauche ? Quand on n’aime pas un média, on s’y désabonne, tout simplement. Je l’ai fait avec Le Temps et l’Hebdo. Il n’est pas question que toute la population suisse continue de sponsoriser de manière forcée ces laveurs de cerveaux, ou plutôt ces laveurs de carreaux.

  16. Posté par G. Vuilliomenet le

    Excellent choix de la photo surtout en cette veille d’Halloween!

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