Lolita Morena: «Je ne pardonnerai jamais les années Schwarzenbach. Mon regret est de n’avoir pas su partir plus tôt de la Suisse»

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ND Ch. H. On notera que cette femme n'a pas un seul mot de remerciement pour la Suisse alors que c'est ce pays qui a pu lui donner un avenir, une visibilité médiatique et un confort matériel bien supérieur à ce qu'elle aurait pu avoir en Italie. Si les Italiens ont aidé, en contrepartie, ils ont aussi pu bénéficier d'un futur pour leurs familles et leurs enfants, d'un niveau de vie élevé, d'écoles de bonne qualité et de soins médicaux de pointe. Ce n'est pas à sens unique. D'autant plus que sa famille n'aurait eu que peu d'avenir dans l'Italie actuelle. De plus, elle mélange toutes les populations étrangères comme si toutes les immigrations étaient équivalentes, ce qui dénote le peu d'intelligence de cette femme. Certaines immigrations sont positives, d'autres non. La situation de la France en est la preuve. En tant qu'ancienne Miss Suisse, elle érige l'Italie en pays de référence. On se demande bien à quel titre elle a voulu présenter la Suisse puisqu'elle déteste autant notre pays! Enfin, il semblerait que le trait commun à tous les collaborateurs de la RTS soit la haine de la Suisse.

Quel rapport entretenez-vous avec l’Italie, votre pays d’origine?
J’en suis extrêmement proche. Pour moi, c’est le plus beau pays du monde, avec une culture infinie. J’aime sa cuisine, sa mode, ses voitures, la façon de vivre des gens, les sourires, les paysages. Ma famille vient des Marches, près de Rimini. Je me souviens des odeurs, du goût des tomates du jardin, des couleurs.

Vous aviez 10 ans lors de la première initiative Schwarzenbach. Vous en souvenez-vous?
Oui, j’en ai un souvenir horrible. C’est un épisode que je ne pardonnerai jamais.

A qui en voulez-vous?
A Schwarzenbach et sa clique. Et à ces 49% de votants qui se sont laissé séduire par leurs idées sans savoir ou vouloir admettre que les Italiens avaient grandement participé à la construction de la Suisse. Les étrangers ont construit ce pays. Petite, on me lançait des cailloux, on me crachait dessus, c’était l’horreur. Je me souviens aussi de ces panneaux devant les restaurants: «Interdit aux chiens et aux Italiens.» Alors oui, j’en veux à ceux qui ont fait preuve d’un tel manque d’ouverture et de vision. Et surtout ça recommence, c’est ça que je ne pardonne pas. 

(...)

Après mon élection, j’étais contente de voir les journaux titrer que Miss Suisse était Italienne.

Enfant, comment imaginiez-vous votre vie?
Je n’étais pas très claire, j’étais un peu dans mon monde. Enfant, je n’avais pas du tout envie d’être une fille. Je tapais sur tout le monde, je ne traînais qu’avec les garçons.

Quels regrets avez-vous?
De ne pas avoir su partir plus tôt de ce pays. J’aurais aimé rentrer en Italie. Aujourd’hui ça me semble trop difficile matériellement de franchir le pas.

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45 commentaires

  1. Posté par Chris T le

    Moi en tant que mezzo mezzo (père italo-autrichien et mère Ashkénaze-suisse), c’est des gens comme vous qui me font honte ! A l’école, dans ma classe, la majorité était italienne ! Etant mezzo mezzo, j’étais de par mes origines considéré comme un « venduto », une sorte de collabo, les brimades étaient journalières, quant aux suisses « de souche » ils avaient droit eux, très souvent non seulement à des brimades, mais à de la violence physique ! Mais au contraire de vous, je n’ai pas de haine pour mes anciens camarades italiens, qui du reste pour la plupart, sont devenus de bons citoyens suisses, et ne vous en déplaise ont en majorité votés pour l’UDC ! Par contre, une petite bourgeoise comme vous, qui ne doit son succès qu’à son physique, et qui crache dans la soupe, car c’est à la mode, çà fait plus « people », ne m’inspire que du dégoût !

  2. Posté par Elisabeth H. le

    Mais qui croit une seconde à son délire ? A 10 ans elle comprenait les enjeux politiques ? Mais c’est un génie ignoré ! 🙂 Quant à l’histoire des cailloux….si elle était déjà aussi mauvaise langue que maintenant (voir son perpétuel lavage de linge sale vis à vis de ses ex dans la presse…) je chercherais plutôt de ce côté.
    Mais qu’elle quitte donc son petit coin privilégié pour retrouver l’Italie, en quoi le pas est-il trop difficile à faire aujourd’hui ? Il y a des gens bien plus âgés qu’elle qui partent s’installer en Espagne ou en Grèce rien que pour le climat !

  3. Posté par José.G le 28 octobre 2015 le

    que fait-elle encore ici.Je n’ose pas dire ce que je pense de ces égoïstes qui ont une belle vie ici et ne sont jamais content.

  4. Posté par François le

    Qu’elle dégage, on l’a déjà assez vu dans les médias. Et qu’elle cesse de pleurnicher la mytho!

  5. Posté par Martina Marietta le

    Madame Morena,
    Moi qui suis née d’un père Suisse et d’une mère Italienne, qui ai fréquenté l’école du primaire du Lignon dans le début des années 1970 – ce qui fait que j’ai à peu près le même âge que vous – qui était un quartier Suisso-Italo-Espagnol, et aussi loin que mes souvenirs le permettent, jamais je n’ai vu un de mes camarades recevoir ou lancer des pierres sur un autre parce qu’il était Italien ou Espagnol. On s’est lancé des cailloux bien sûr, moi aussi j’en ai lancé, mais pas pour ça.
    Quant aux années Schwarzenbach, je me rappelle que mon père en avait parlé, une fois pas plus. Il a dû en parler plus souvent certainement; mais je NE PEUX PAS m’en souvenir ni même expliquer ce que pouvait représenter ce personnage si je me reporte en ce temps là. J’étais trop jeune. J’avais entre 5 et 10 ans.
    Et je ne pense pas que j’étais une enfant stupide, j’étais toujours dans les premières de classe.

  6. Posté par Marie le

    Barlie, votre com sur la ménopause m’a fait pleurer de rire! Excellent! Pôvre Lolita…….Quand le physique s’éteint…… Que l’on a jamais eu des choses très intéressantes à dire…… Il reste ce genre de conneries…… Misérable!

  7. Posté par Ueli Davel le

    Affligeant! Je ne suis pas sûr que l’Italie soit si chaude pour la reprendre!

  8. Posté par hubert le

    Ah!Ah!Ah!Si vous saviez ce que je sais sur cette sinistre personne,vos commentaires seraient ABRASIFS et demain elle irait se cacher dans un coin secret de son pays qui lui est si cher!Sachez que j’ai travaillé 18 ans avec des Italiens, des gens respectueux, aimables, reconnaissants et plein d’humour.C’est clair que ces gens avaient une ouverture d’esprit!Enfin on ouvre que ce que l’on peut suivant son stade évolutif.

  9. Posté par Rainier le

    Cessez tous de commenter, en le faisant vous lui donnez de l’importance, après ce quelle dit ne vaudrait il pas mieux l’expulser…..

  10. Posté par Théodore J Berseth le

    Toi pas, moi oui !
    Nous sommes arrivés pratiquement en même temps…tes parents pour raison économique…les miens politiques ! Tu ne pardonnes pas, mais moi je n’ai rien à pardonner…J’ai pu suivre mes formations post-obligatoires, j’ai pu vivre en paix, avoir du travail, m’intégrer…je pourrai avoir cinq passeports mais le Suisse me suffit amplement et j’en suis fier….Dire un petit merci pour tout ce que tu as serait plus que correct. Et, chère pauvre « immigrée », tu pourras bientôt rentrer te la couler douce dans ton Italie natale avec ta retraite suisse….tu vivras bien mieux qu’ici. Par contre moi, les révolutions nous ont pris le peu qu’on avait et le retour est impossible…tu vois Morena, t’est pas à plaindre…le climat italien et bien meilleur que celui de l’Helvétie, fait ton choix…je te pardonne, par avance, ta re-migration !

  11. Posté par Jac Etter le

    L’Italie a porté en son sein, tout au long de sa longue histoire, pléthore de femmes merveilleuses de vérité, de lucidité, d’intelligence, de force, d’amour, de beauté, de courage et parfois même d’une virilité qui faisait trop souvent défaut à ses mâles. Voir par exemple une Mme Oriana FALLACI.

    Mme MORENA devrait aller puiser dans son capital génétique. Cela permettrait, à elle, d’enfin transmuter ses douleurs construites dans l’enfance et à nous, de ne pas avoir encore à subir l’énième pseudo politico-analyse de notre pays déformée par des prismes égotiques non soignés.

    A 55 ans, il est temps de s’affranchir des prisons émotionnelles construites dans son enfance. Car la compassion pour les animaux ne suffit pas à elle seule à dédouaner une amertume que l’on perçoit envers le genre humain, en particulier « l’homo helveticus ».

    Tout adulte souhaitant porter un regard vrai sur lui-même, sur sa vie et son environnement doit un jour prendre son courage à deux mains, plonger dans le gouffre et faire enfin le travail. Haut les cœurs Lolita, nous sommes avec vous.

    En cela l’article est très intéressant, car il démontre concrètement comment des schémas émotionnels douloureux empoisonnent le cœur et l’esprit, obligeant l’ego à chercher un soulagement au travers de prismes déformant, d’idéaux déconnectés de toute vérité. En résumé, tout le socialisme.

  12. Posté par Christian Hofer le

    Que pense Lolita de l’abattage halal, elle qui se prétend défenderesse des animaux?

    Elle n’a rien à dire à ses potes musulmans qu’elle veut imposer dans notre pays « au nom de l’ouverture »? Elle en est certaine?

    https://www.youtube.com/watch?v=Qchz720x9ZU

    Ce qui me fait rire c’est que ces populations qui justement s’imposent chez nous sont exactement à l’opposée d’une quelconque ouverture d’esprit, elles sont communautaristes à l’extrême. Leurs pays sont intolérants face à la venue d’étrangers. Mais nous, avec nos 25%, nous sommes encore et toujours des « salauds renfermés sur nous-mêmes ».

    Combien d’étrangers en Algérie à votre avis? Même pas 1%

  13. Posté par Patrick Stocco le

    Pauvre chérie. Qui veut bien la consoler ?

  14. Posté par François Etienne le

    Cette Beauté blonde a besoin d’un soutien psychologique. La Suisse peut le lui offrir à titre gracieux.

  15. Posté par François Etienne le

    Lolita se rebelle ! Voilà le spécimen de la démagogue profiteuse de la Suisse, la Melgar au féminin. Pourquoi n’a-t-elle pas fréquenté Berlusconi ? Et sa « réussite » avec la Belle Allemagne et son bel allemand ? Que cela est risible, risible, gamin, bref … nul !

    Lolita, quittez chiens et chats et retournez dans votre belle Italie ! Margo, à 09h16, a bien résumé la situation !

  16. Posté par Burnand le

    Elle ne « pardonnera pas » ? C’est une copine à Melgar ? J’aimais bien Lolita Morena pourtant elle s’est dévouée pour les animaux et semblait sympathique. Je voudrais lui dire d’aller vivre six mois dans son lieu natal. D’autres l’ont fait, le « grand retour » et en sont bien revenus : ils se sont ennuyés de la suisse, là-bas rien n’avait changé dans les mentalité, ici ils préfèraient, mais c’était un idéal, un rêve, de retourner chez eux. Malheureusement, ils ont commis l’erreur de tout résilier ici et de partir définitivement. Donc revenir après c’est difficile, plus d’appartement, plus rien.
    Donc il faut aller vivre là-bas un certain nombre de mois, et bien vous rendre compte de ce que c’est.
    Je vous encourage à retourner chez vous si c’est un rêve et que vous ne vous pardonnez pas à vous-même de ne pas avoir suivi votre souhait. Car vous avez encore de nombreuses années à vivre, donc cela vaut la peine de prendre une fois LA décision, mais avant : faites l’essai quelques mois.

  17. Posté par Aude le

    La gauche a exagérément tendance à comparer l’immigration européenne à celle africaine que nous subissons aujourd’hui.
    Ces années 60 ont eu une immigration voulue.. adaptée à la demande.
    Il y a eu les saisonniers qui arrivaient avec un contrat déterminé. Ils logeaient souvent dans des baraquements, ne pouvaient prendre leur famille…avaient des conditions de travail bien difficiles. Je n’ai personnellement pas approuvé ces traitements.
    Puis il y a eu des familles espagnoles, portugaises, italiennes qui se sont installées. J’ai eu dans ma parenté..des oncles d’origine italienne, française..On rencontrait les familles restées au pays ou en vacances chez nous…C’était vraiment un enrichissement.
    Chacun a vécu, à sa manière ces échanges..pour certains plus faciles ou plus difficiles..
    La première génération a travaillé dur..ils ont fait des travaux certes que les Suisses ne voulaient pas faire.
    Néanmoins quant à dire que seuls eux ont fait la richesse de ce pays..ce n’est pas exact. Car..de part et d’autre chacun y a trouvé son compte..
    J’avoue cependant, que je n’ai pas accepté l’initiative Scharzenbach qui me semblait injuste.
    Il est important de rappeler que cette immigration intra-européenne, outre les échanges culturels, partageait les mêmes racines chrétiennes et valeurs européennes.
    Comparer cette dite immigration à ce que nous vivons aujourd’hui, une hémorragie migratoire, c’est faire preuve d’une grande malhonnêteté intellectuelle.
    Ces actuels migrants arrivent s’imposent à nous, imposent leur religion, leurs us et coutumes. Ils sont reçus, nourris, logés..souvent de manière prioritaire face aux pauvres de nos pays.
    Le 80% ne sont pas des réfugiés et viennent en conquérants..
    On ne peut accepter cette situation …d’autant qu’une partie de ceux-ci ont un comportement de petite ou grande délinquance.
    Un clin d’oeil à Lolita…qui semble bien ingrate..d’autant qu’elle a eu une jeunesse plutôt dorée..à ce que je crois..
    Quoiqu’il arrive dans la vie, un coeur rempli de miel (douceur) est plus sain et agréable qu’un coeur rempli de fiel (aigreur)…

  18. Posté par Palador le

    Mais qu’ont-ils tous ces segundos à qui le pays à tout donné et qui vivent comme des nababs à vouloir toujours cracher sur leur pays d’accueil ? Après Melgar maintenant Lolita. Pourquoi tant de haine ?

  19. Posté par Ephraim le

    Moi, la seule fois où l’on m’a craché dessus à l’école, c’était le fait d’Italiens. Mes meilleurs copains étaient italiens et espagnols, mais il ne faut pas idéaliser. Ils se sont en général très bien intégrés, mais déjà à l’époque, ils étaient responsables de la plupart des bagarres et des différends dans les cours d’école. Il est clair qu’après, les Kossovars et autres Turcs nous les ont fait regretter…

  20. Posté par Marie-France Oberson le

    « J’aurais aimé rentrer en Italie. Aujourd’hui ça me semble trop difficile matériellement de franchir le pas. » Trop difficile matériellement… .. le courage a ses limites…
    « Oui, j’en ai un souvenir horrible. C’est un épisode que je ne pardonnerai jamais. »..
    à 10 ans comment a-t-elle pu avoir un souvenir horrible ? Y avait-il eu des exactions contre les étrangers, des pogroms dont elle ou sa famille auraient souffert ?

    Si Madame Lolita reproche à la Suisse ses années « Schwarzenbach » elle ignore certainement ce que l’on peut reprocher de bien pire à son pays d’origine: les années Mussolini , le fascisme; la Suisse n’a jamais eu de gouvernement fasciste, elle ! Elle ignore aussi très certainement  » « le coup de poignard dans le dos » que l’Italie donna en juin 40 à la France alors en pleine déroute devant l’avance allemande au Nord.
    J’ai souvent entendu ma famille qui avait vécu la guerre 39-45 , en France , rappeler la traitrise des Italiens . « pendant qu’on se battait au Nord, les Italiens nous prenaient par surprise à l’Est. »
    Je crois que la Lolita a perdu une occasion de se taire…
    Mais je me demande si dans ces déclarations, il n’y a pas une volonté de soutien à Melgar ?

  21. Posté par Carole le

    Mais qu’est-ce qui lui arrive à la lolita ? Elle a joué à la flambeuse toute sa vie, en voulant nous faire croire que le flous n’était pas important pour elle… Il fallait la voir la jetsetteuse à l’époque à Genève… Il n’y a pas de mal à venir d’une famille pauvre Lolita, votre mère ne doit pas être fière de ce que vous dites, elle, si fière de sa petite boloise… Encore une qui n’a aucune reconnaissance. Au lieu d’être fière d’être sortie de la misère et de l’anonymat. Elle utilise son titre de « miss Suisse » pour exister et trouver des hommes avec de l’argent et aujourd’hui, elle nous la joue frustrée…poverina

  22. Posté par silvanaC le

    Lolita me déçoit, comme me déçoivent tous ceux qui crachent dans la soupe. Surtout des personnalités médiatisées.
    Mon expérience est tout autre!
    Née suissesse à l’étranger, je suis arrivée en CH au début des années 80. Je peux vous assurer que JAMAIS je n’ai eu à subir des méchancetés, quolibets ou autre comportement malveillant à mon encontre de la part des autochtones.
    J’ai un seul regret: ne pas être une suissesse de souche physiquement car de coeur je le suis. Double nationale, si je devait choisir une seule nationalité je choisirai celle de mon coeur, rouge à croix blanche.
    Honte à tout ceux qui profitent de la Suisse pour ensuite dire qu’ils regrettent de ne pas être partis. Il n’est jamais trop tard, la porte n’est jamais cotée.
    @ Hermione et Barlie: 😀

  23. Posté par François le

    En effet Andrea, « cette femme a construit sa vie autour de son apparence » en Suisse, de plus, compte tenu de la nature de ses propos, on comprend que chez elle l’apparence est un principe généralisé et qu’elle prend ses fantasmes pour la réalité, sa vision de la Suisse à laquelle elle doit tout est à ce point irréaliste, absurde, qu’on en vient à craindre pour sa lucidité. C’est fort ennuyeux car elle s’est engagée dans une très belle, très noble et très importante cause, à savoir La Défense des animaux … il y a au moins cette action à mettre à son actif. Pour le reste, les commentaires associés à cet article participent bien à cerner la personnalité de cette dame.

  24. Posté par Hermione le

    @ barlie : merci pour cet instant de franche rigolade sur les p’tits cailloux 😀

  25. Posté par Barlie le

    « Petite, on me lançait des cailloux, … »
    Une question me taraude:
    Le petit Hani R. était-il en classe avec la petite Lolita M. ?

  26. Posté par historien le

    Pour ceux qui s’intéressent à l’histoire: voici un texte tiré du Dictionnaire Historique Suisse, raconantant la manière dont la famille Orelli de Zurich, originaire comme Lolita de l’Italie du Nord, a du attendre longtempos avant de recevoir les droits politiques. Ils ont du attendre 150 ans et bien qu’ils aient créé l’une des principales entreprises du canton, on leur a refusé obstinément la bourgeoisie. Ils ont ont du menacer de transférer leur entreprise à Berne pour enfin être acceptés.

    On devrait revenir à cette méthode de naturalisation. On y perdrait Freysinger, ce qui serait dommage, mais on ferait l’économie des Morena, Mara, Cesla, Hodgers, Neyrinck, & Co dont on se seraient bien passés.

    Orelli [Orell, de Orello, da Locarno]
    http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F20179.php

    Famille noble attestée à Locarno dès le XIIe s., descendant probablement des Besozzo, nobles lombards du comté du Seprio, qui reçurent le Locarnais en fief vers l’an mille. Au XVIe s., plusieurs membres adhérèrent à la Réforme et furent contraints à l’exil (1555), donnant naissance à la branche des O. de Zurich.

    2 – Branche de Zurich

    Aloisio ( -> 1) est l’ancêtre de la branche zurichoise, aussi appelée Orell. Ses fils Franz et Johann Melchior Aloys ( -> 23) exportèrent des filés et des tissus de laine et de coton vers l’Italie du Nord. Tous deux furent admis en 1592 à la bourgeoisie de Zurich, mais sans droits politiques. Johann Melchior Aloys et ses descendants fondèrent au XVIIe s. les sociétés commerciales de soieries, nommées d’après leurs différentes maisons familiales (zum Mohrenkopf, im Tiefenhof, zum Spiegel, zur Sonne, zur Stelze et zum Gemsberg). Selon la statistique des exportations, elles étaient à la tête du commerce zurichois en 1700, au milieu du XVIIIe s., elles se trouvaient encore au troisième rang et en 1797 au neuvième. Conséquence de la tendance à fermer l’accès à la bourgeoisie à l’époque moderne, les O. se virent refuser son octroi sans réserves en 1606, 1639 et 1673. Ce n’est qu’en 1679 que le Grand Conseil accorda à toutes les branches de la famille un droit de cité complet, après que les O. eurent envisagé de transférer leurs entreprises à Berne; lors du vote, 124 des 212 membres du Conseil durent se retirer en raison des liens de parenté (parfois jusqu’au troisième degré), les O. ayant conclu au XVIIe s. des mariages avec plusieurs familles dirigeantes.

  27. Posté par Barlie le

    Franchement, qu’est-ce qu’on s’en fiche de ses états d’âmes, dus probablement à une ménopause médiatique mal vécue. Passons à un autre sujet !

  28. Posté par aldo le

    Curieuse déchéance d’une idole d’une époque plus que révolue. Un exemple à méditer pour toutes ces nulles qui pensent conquérir le monde à coup d’émotions et de séduction. Rien qu’en comparant les photos on sent bien que l’amertume a marqué ses traits, sous le burin du comportement et des ambitions démesurées de la donzelle. Déjà pour vouloir être miss, en abandonnant des études d’architecture… C’est bien là une ambition digne d’une soubrette de l’immigration, croyant naïvement que la façade et le popotin mène le monde. Quelques avocats à son carnet de chasse vraisemblablement plus que fort encombré, ça pouvait bien servir à ses ambitions par toujours très claires. Rappelez-vous ses combats judiciaires multiples, notamment avec un ex, bijoutier pas un chômeur…, qui aurait gardé quelques bricoles ou avec la Ferrari de son ex, footballeur, qu’elle voulait s’approprier sans droit et sans raison autre que d’en faire du fric.

    Elle veut faire parler d’elle ? Besoin de fric ? Qu’est-ce qu’elle veut nous vendre ? Un bouquin de souvenirs arrangés avec une cotation des performances de ses jules ? Avis adressé exclusivement au vieux argentés, la proie risque d’être vous-mêmes. Ne vous laissez pas abuser par lolita murena. http://goo.gl/mPXuu Qu’elle reste dans l’anonymat des profondeurs abyssales qu’elle n’aurait jamais dû quitter. Cracher sur la Suisse ? Non, mais ! Vade retro satanas.

  29. Posté par Philippe le

    bravo Jefferson…….bravo hermione……

  30. Posté par Raymonde le

    Pauvre Lolita…. Si elle n’est pas bien ici, elle peut repartir…. Elle est assez friquée pour ça …. Mais elle reviendra vite fait les oreilles en bas et la queue entre les jambes. Ma grand-mère était une immigrée du nord de l’Italie, elle a vécu dans la pauvreté en suisse, elle a bossé jusqu’à son dernier souffle. Mais jamais je ne l’ai entendue râler sur la Suisse. Au contraire. Alors chère Lolita, soyez humble et quittez notre pays. Nous n’avons pas besoin de gens aussi matérialistes que vous. Raymonde

  31. Posté par Pierre Müller le

    L’Italie pour les vacances :

    une merveille touristique, une évasion intemporelle agrémentée de clichés adorablement délicieux, un plaisir des sens toujours renouvelé, la facilité, la légèreté, la superficialité, la perfection omniprésente de l’art et de l’esthétisme, l’ostentation lascive, la douceur de vivre, des architectures saisissantes et des paysages époustouflants. Et j’en passe.

    L’Italie au quotidien :

    le chômage pour les jeunes, des régions entières sinistrées économiquement, la généralisation du travail au noir, à tous les échelons de la société, le garagiste qui vous demande si vous voulez votre facture avec ou sans TVA, le grand chirurgien qui vous pose exactement la même question à l’hosto, votre voiture qui se fait « vider » à toute occasion, le code de la route, tu oublies, le crédit à la consommation dans une fuite en avant éperdue (slogan des années 60 « poveri ma belli » comme miroir du mode de fonctionnement local) ou la poussière « sous le tapis » pour continuer d’ « avoir l’air de », l’invasion de milliers de migrants arrivant par la mer, souvent violents et au bord de l’émeute…

    Mieux vaut ne pas entretenir sa nostalgie à fond perdu avec des mirages et des chimères.

    Prendre la vie comme elle vient. Etre content de ce qu’on a et en « remercier le ciel ».

    Et ne pas s’épancher en plaintes et en récriminations sans fin.

    Rien de moins intéressant que le cas particulier.

    Et rien de plus pénible que d’écouter quelqu’un exprimer son insatisfaction et sa frustration en boucle.

  32. Posté par Germond le

    Elle vieilli très mal et pas seulement physiquement, aussi dans la tête

  33. Posté par Pehem Veyh le

    Ah oui! Lolita dit: « ne pas avoir su partir plus tôt de la Suisse » !!!
    Il n’est jamais trop tard pour bien faire…

  34. Posté par Pehem Veyh le

    Lolita Morena est une menteuse ! Elle affirme avoir, avec horreur, découvert des écriteaux aux entrées des cafés avec l’inscription: « interdit aux chiens et aux italiens ». C’est un mensonge éhonté. Cet écriteau a bien existé, mais à l’entrée d’un seul café à Zurich. Où elle n’habitait visiblement pas. Comme pour un préavis, la Radio Suisse Romande à l’époque, s’était étranglée d’indignation. Peut-être que ses coulisses étaient déjà pas mal occupées par des italiens d’identité ou de souche à qui la Suisse ne donnait pas d’avenir, qui sait ? Ce panneau, par ailleurs raciste et gratuitement méchant, avait été ôté aussitôt sur ordre de la police. Donc, cette pouffe ne raconte que des on-dit qu’elle a entendu et qui ont été, comme d’habitude, montés en épingle par des gauchistes toujours autant bourrés de bonnes intentions. Elle ment, et ça, même pour Lolita Morena, c’est vilain aussi…
    PS: quant à l’histoire des cailloux, elle repassera. Je n’en crois pas un mot.

  35. Posté par aline le

    Elle a terriblement besoins de la publicité; cette sotte sort n’importe quoi pour faire parler d’elle. Il y avait un temps elle se plaignait des habitants de Crans, qui n’étaient pas assez gentil avec elle, elle menaçait les Jurassiens de s’installer chez eux. Qu’elle quitte la Suisse immédiatement et pour toujours.

  36. Posté par Hermione le

    Dame Lolita, j’ai honte. Honte pour vous, honte pour moi qui suis, comme vous, une « secondos ». Les Suisses vous ont élue Miss Suisse, signe tangible de leur ignoble xénophobie. Pendant des années, malgré votre maigre talent, on vous a vu très souvent sur les plateaux télé suisses romands. Preuve encore de la xénophobie ambiante. On vous jetait des cailloux à l’école ? Peut-être….Mais était-ce vraiment parce que vous étiez Italienne ? Quant à moi, j’ai eu quelques démêlés à l’école primaire mais cela n’avait rien à voir avec mes origines. Ma copine de l’époque aussi était Italienne, une fillette adorable appréciée de tous, et je ne me souviens pas qu’elle ait été ostracisée; au contraire, on l’aimait beaucoup. Les problèmes de famille que vous avez connu enfant, les Suisses n’en sont pas responsables. Si votre maman est venue en Suisse, c’était pour essayer de vous offrir une vie meilleure, ce qu’elle a réussi semble-t-il. Moi aussi j’aime l’Italie, mais mon pays c’est la Suisse où je suis née et où j’ai fait ma vie.
    On vous jetait des cailloux à l’école, peut-être…mais écoutez bien ça : mon fils, dont le père était Suisse (et oui, il y a des Suisses racistes qui épousent des Italiennes), qui était blond comme les blés à l’époque de son enfance, a peut-être bien plus souffert que vous à l’école où des enfants extra-européens lui criaient « sale Suisse »; et manque de chance, il était plutôt intelligent ce qui actuellement est une grosse tare dans certaines classes du pays où le niveau baisse chaque année et où pour être bien vu, mieux vaut ne pas avoir la tête qui dépasse et surtout, être Suisse ou européen…
    Qu’en pensez-vous ?
    Je suis persuadée que de très nombreux Italiens venus travailler en Suisse et devenus plus Suisses que les Suisses (j’en connais beaucoup) enragent quand ils constatent que des imbéciles comparent l’immigration italienne, espagnole et portugaise de l’époque à l’invasion actuelle de gens venus de cultures et de régions totalement incompatibles avec les peuples européens. Nous savons parfaitement qu’une grande partie des gens arrivant chez nous maintenant (je mets à part les VRAIS réfugiés) ne s’intégreront JAMAIS et nous imposeront leur culture et leur religion. Ces gens n’ont absolument RIEN de commun avec nos immigrés de l’époque et beaucoup ne travailleront jamais et seront à la charge des travailleurs suisses, italiens, portugais….

    Pour terminer, je vous conseille de rester décente quand vous parlez de votre porte-monnaie. Je ne pense pas que vous soyez dans le besoin, même si le père de votre fils ne paye pas sa pension.
    Je vous rappelle que beaucoup de Suisses, d’Italiens, de Portugais, etc… tirent le diable par la queue pour boucler leur fin de mois, car tous n’ont pas eu votre chance. Mais eux travaillent dignement, se lèvent tôt et ne viennent pas pleurer leurs larmes de crocodile dans l’Illustré.
    Vous êtes pitoyable, madame.

  37. Posté par Andrea le

    Il ne sert à rien de se venger de cette sotte femme qui a construit sa vie autour de son apparence, le temps s’en charge…

  38. Posté par Jeferson le

    Bonjour,

    On ne crache dans la soupe qu’après s’être rassasié, lorsqu’elle est trop copieuse.
    Les Cesla, Ada, Lolita, Fernando etc. sortent tous du même moule. On nous accuse d’être des vieux cons nostalgiques, mais eux ont la nostalgie de ce qu’ils n’ont même pas vraiment connu. Père absent et idéalisé, pays d’origine traversé lors de trop courtes vacances, ils souffrent de ce manque de repères qu’ils ont pourtant toujours entretenu.
    Et lorsque la souffrance est trop grande, ils crachent sur la Suisse, forcément responsable de tous leurs maux puisqu’eux-mêmes refusent la moindre part de responsabilité.

    Quoi de plus triste que de se mentir à soi-même ? Quoi de plus lâche que de refuser de voir la réalité en face et de reconnaître ses responsabilités ?
    Ils mènent tous une vie oh combien confortable et bourgeoise, titularisés, défrayés, subventionnés, mais se plaignent au point de s’inventer des sympathies gauchisantes.

    Je ne le vois même pas comme une trahison de ces secundos. Ils se trahissent et se mentent à eux-mêmes. Tout seuls. Comme des grands. C’est bien la seule « grandeur » qu’on peut leur reconnaître. La pathétique Lolita joue désormais les Nabilla grand-mère (allo quoi !), s’imagine une vie de rêve en Italie alors qu’elle n’y serait qu’une étrangère. La pitoyable mémère à ses chiens-chiens préfère nourrir des regrets, ça demande moins de courage que de se lever et de mettre les voiles.

    J’ai connus des Italiens qui étaient venus en Suisse. Des voisins, des bosseurs. Devenus au fil des ans plus suisses que des Suisses. De ceux qui avec leur accent inimitable juraient et crachaient sur les « SSSales-Z’étranZers » que nous envoyait la guerre en ex-Yougoslavie ! Pendant des années, profitant des vacances et de de leurs petites économies, ils avaient construit une maison en Italie, pour leur retraite. A 65 ans enfin, ils y sont allés. Ils n’y sont pas restés 6 mois. Les copains d’enfance étaient en Allemagne, aux Etats-Unis, ou morts. Pour tous les autres, ils étaient « les Suisses », les étrangers. En décalage complet, et pas seulement au plan administratif. Les enfants et les petits-enfants vivaient en Suisse, là où était leur vie. Nonno et nonna ont revendu vite fait et sans regrets leur maison en Italie, et sont revenus en Suisse.
    Ils sont reconnaissants. Ils ne crachent pas sur la Suisse. Ils savent et ne se mentent pas.
    Et ils ont droit à mon respect.

    Jeferson, octobre 2015.

  39. Posté par Murtenschlacht le

    Encore une quinquagénaire qui vit harmonieusement sa retraite médiatique.

  40. Posté par Yves le

    La Suisse ne lui convient pas ? Il y a plus de 190 autres pays où elle peut aller !

  41. Posté par Margo le

    Pauvre lolita, bien ingrate avec le pays qui l’a accueillie, et son fils loris qui ont vécu dans un grand et beau chalet à Montana, femme de ménage, etc.. et côtoyé les plus friqués du de la station et du monde…. C’est facile de dire moi je…. moi si… quand on est blindé et non concerné par l’immigration sociale car dans sa petite tour dorée, entourée de plein d’animaux dans son petit paradis de Crans… Qu’elle aille vivre en banlieues populaires alors elle comprendra…

  42. Posté par Bilou le

    J’adore !!! On a enfin trouvé une concurrente à Nabilla…

  43. Posté par C. Donal le

    Comparer les années Schwarzenbach à la situation actuelle relève de la méconnaissance de la situation actuelle. La pauvre Italie n’est plus la même. Malheureusement.
    https://www.youtube.com/watch?v=W8as-3m-XZ8

  44. Posté par JeanDa le

    Dans ce cas, il faut qu’elle reparte chez elle. MAINTENANT !

  45. Posté par Pierre H. le

    Il n’est jamais trop tard pour partir ! Bon vent !

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