France: « A trente, ils ont attaqué n’importe qui ». La police répond qu’elle n’a plus assez de moyens

Une victime témoigne « Nous sommes en plein cauchemar ! »

La voiture a été entièrement détruite. La jeune femme, victime est “ressortie” de ce cauchemar, le visage tuméfié. La marque d’une soirée inimaginable dans une ville où jusqu’alors, elle se sentait en sécurité, assure-t-elle. Elle a choisi de jeter sur le papier ses angoisses et son traumatisme. Cette jeune femme d’une vingtaine d’années, a été une des victimes du déchaînement de violence opéré le week-end dernier aux abords du quartier de La Monnaie. Révoltée, elle a choisi de nous confier son témoignage.

Nous allons porter plainte. Nous apprenons qu’il n’y a pas suffisamment de forces armées pour contrôler ces déboires, nous ne comprenons pas.

« Nous sommes cinq dans la voiture, ma cousine, mon cousin, ma mère, mon père et moi-même. Nous prenons la route. Minuit et quart, nous arrivons aux abords d’un rond-point. Au loin, nous distinguons une bande d’une trentaine de jeunes. J’ai le sentiment que quelque chose ne va pas. Mon père, au volant, s’avance doucement puis finit par s’arrêter au niveau du carrefour pour, “les laisser passer” dira-t-il après. La voiture à l’arrêt devient la cible de tous les regards. Je me rappelle avoir vu cette foule nous fixer avant de se rejet sur nous, armée de pierres, de bâtons et de battes de baseballs.

Telle une meute de loups enragés ils déversent sur nous une rage indomptable. J’entends les gros cailloux choquer la voiture, une fois, deux fois, trois fois, les vitres explosent, les bouts de verres éclatent sous mes yeux, le bruit est affreux. En face de moi, il y a cet homme, anonyme, sous sa capuche, qui se trouve devant notre voiture et qui ne dévie pas sa trajectoire malgré les tentatives de mon Papa pour redémarrer. Les coups de pied contre la carrosserie s’enchaînent, et les pierres pénètrent la voiture. Nous sommes en plein cauchemar, dans un autre monde, je me surprends à penser que nous allons mourir. Je sens un choc sur la tête puis nous réussissons à nous dégager de la meute. Je ne sais pas comment. Nous nous arrêtons quelques mètres plus loin, je hurle et pleurs pour que l’on redémarre. Et s’ils étaient toujours là ? [...]

Source via Fdesouce.com

4 commentaires

  1. Posté par Sancenay le

    la terreur ? la routine pour les continuateurs de la révolution.

  2. Posté par Le pragmatique le

    C’est la guerre, distribution générale de tubes rocket pour aller au Resto en famille puisque Cazevide n’arrive pas à faire régner l’ordre; républicain de mes deux.

  3. Posté par MF le

    Pas assez d’effectifs de police! Trop occupés à surveiller les mosquées….et non seulement! Nous sommes gouvernés par les complices de la multiplication de ces populations d’asociaux. Et notre gouvernement veux nous désarmer et pire, nous mêler à ces populations afin « d’éviter les ghettos »!
    Il n’y aura rien de mis en place. La seule chose est d’exiger le droit a la légitime défense ainsi que celui d’abattre sans somations ce genre de nuisibles.

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