«Là où nous sommes règne la charia»
Les premières répliques du séisme migratoire qui secoue actuellement l’Europe se font sentir. Et on peine à y croire. Des réfugiés fuient aujourd’hui l’Allemagne, pour échapper aux mêmes persécutions que celles qui les avaient poussés à quitter leur pays d’origine.
En Bavière, en Saxe ou dans le Brandebourg, les témoignages s’accumulent. De nombreux réfugiés chrétiens en provenance de Syrie, d’Irak ou du Kurdistan subissent intimidations et agressions de la part de réfugiés musulmans. Dans plusieurs centres d’accueil mis en place par les autorités locales, la charia s’applique et les chrétiens – minoritaires – sont victimes de brimades.
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Est-ce qu’ils fuient vraiment la Guerre?
Si c’est pour venir la faire ici, ils n’ont qu’à rester chez eux.
Aucun respect, ils se battent entre eux.
Pas besoin de fouteur de merde pareil.
Ils doivent s’intégrer, sinon Dehors et retour à la Case Départ.
La Charia n’est pas permise ici et ne le sera jamais. C’est une Honte à l’Intégrité Humaine.
Les » décideurs » européens, Mme Merkel en tête n’ ont absolument pas pris la mesure des conséquences de leurs décisions . Irresponsabilité ? Cynisme? Bêtise? Les trois!
Et ils persistent et signent!!! Des jours sombres avancent vers nous, et ils avancent vite! Ça ne les dérange pas d’ infliger ce désastre à leurs peuples!! Pensent ils en réchapper? Grave erreur!
Un « point de détail » de la mondialisation, qui comme tout autre est insupportable et doit cesser sans délai.
Il est temps de défendre nos racines judéo-chrétiennes . Que font nos autorités ? C’est une honte !!!!!!
Oui, je suis d’accord avec vous, Vautrin, il faudrait … il faut! _ ne parlons plus au conditionnel car c’est urgent _ il faut faire preuve d’autorité vis à vis de cette faune sauvage présente en nombre sur notre continent. Mais imaginez seulement un instant si la décision est prise d’expulser ceux qui remplissent les camps de « réfugiés » (mais ce sont des camps d’immigrants en réalité). Cela risque d’être très compliqué de les mettre dehors sans faire des étincelles, c’est à dire sans qu’il y ait de rebellion et de morts. On peut aisément prévoir que cette vermine quitte les camps et se disperse en ville et fasse régner la terreur parmi la population!!! Mais plus on attend et plus ce sera difficile de revenir en arrière. Avec ceux qui sont déjà là, la situation est difficilement surmontable. Or, le problème est que non seulement l’Europe n’est pas décidée à fermer ses frontières mais en plus le flux continu d’arrivants en Europe est totalement incessant… Dans quelques semaines ou quelques mois, va t’on continuer à nourrir et loger ces envahisseurs? Si on les garde enfermés dans ces camps, ces envahisseurs finiront par vouloir en sortir à un moment ou l’ autre. On peut imaginer le pire! Sans parler du coût du « pensionnat offert » sans limitation a priori dans le temps. Sortir de cette impasse sera très compliquée, quelque soit la décision prise in fine. A moins qu’en haut lieu on soit suffisamment lâche pour avoir déjà décidé de laisser pourrir la situation. Difficile de rester optimiste dans ces conditions.
N’était-ce pas prévisible ? L’invasion a transporté sur notre sol européen les guerres raciales et religieuses du tiers-monde. Si nous n’imposons pas rapidement une politique musclée de fermeture des frontières et d’expulsion, le chaos ne pourra que s’accentuer.