Le problème des migrants sans abri éclate au grand jour

Le campement qui s’est formé dans le jardin du Sleep In de Renens révèle une réalité qui sort des écrans radars.

«J’ai fait une demande d’asile, mais elle a été refusée. Après trois mois dans un abri PCi à Lausanne, ils m’ont dit qu’ils viendraient me chercher pour m’expulser. Alors je suis parti.» Emmanuel* vient du Nigeria et fait partie des quelque 50 à 70 migrants, principalement africains, qui occupent un campement sauvage au Sleep In de Renens.

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3 commentaires

  1. Posté par annik le

    Avec notre gouvernement de gauche il fallait s’y attendre. Attendons des jours plus froids et Tosato demandera aux citoyens d’ouvrir leurs garages pour loger ces envahisseurs. Oh, j’ai oublié: ces pseudo- requérants exigent des logements avec internet, Ipad et Iphone.

  2. Posté par SilvanaC le

    Et si je vais faire du camping sauvage…. quel genre de réaction les autorités auraient-elles? 🙁

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