La norme antiraciste a 20 ans… mais pas encore toutes ses dents !

 

L’influent lobby islamophile, dont Martine Brunschwig Graf est l’une des figures de proue en Suisse, accentue actuellement sa pression sur le Conseil fédéral pour que celui-ci adopte après les élections d’octobre de nouveaux outils juridiques permettant un renforcement sans précédent du terrorisme intellectuel islamobéat. Plus l’islam démontrera son incompatibilité fondamentale avec notre société démocratique et le respect des droits humains, plus la classe bienpensante au pouvoir cherchera à nous l’imposer en étouffant toute critique à son égard.

Nous avons reçu le compte rendu d’une conférence qui commémorait le 18 mars à Genève les vingt ans de la norme pénale contre le racisme en Suisse (article 261 bis du Code pénal). Les intervenants étaient :

- Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme (CFR),

MBG

- Philippe Nordmann, ancien président de la commission juridique de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) en Suisse,

- Tarek Naguib, collaborateur scientifique de la ZHAW-School of Management and Law, chargé des études genre et diversité.

 

L’ « islamophobie » serait le racisme le plus préoccupant

 

D’après les conférenciers, le racisme demeurerait endémique en Suisse. Très présent dans les entreprises, institutionnalisé au sein même de l’Etat, enraciné au plus profond de nos consciences, il n’aurait pu être éradiqué par le 261 bis à l’efficacité limitée. La manifestation aujourd’hui la plus répandue et la plus inacceptable du racisme suisse serait l’islamophobie, laquelle connaitrait un essor inquiétant depuis la votation sur les minarets de 2009. Par « islamophobie », les intervenants entendaient le rejet des musulmans et de leur religion.

Fortes pressions pour liquider les islamolucides

L’opinion unanime des intervenants était que la lutte contre l’islamophobie devrait être de loin la priorité numéro 1 de la lutte antiraciste. Ce combat devrait, selon la grande majorité des personnes présentes, passer impérativement par un durcissement de la norme antiraciste dans le droit pénal ainsi que par son extension au droit civil et au droit administratif.

De nombreuses entités et lobbies de Suisse et d’ailleurs font actuellement pression sur les autorités politiques fédérales pour qu’elles intensifient la lutte contre l’islamophobie: ONU, Conseil de l’Europe, Commission européenne contre le racisme et l’intolérance (ECRI), CFR, LICRA, Juristes démocrates suisses, Centre de compétence des droits humains. D’après Philippe Nordmann, la législation antiraciste française serait le modèle à suivre en matière de lutte contre les « islamophobes ». Parmi les mesures juridiques préconisées figurent notamment :

  • la possibilité pour les associations antiracistes comme la LICRA de se constituer partie civile,
  • les actions collectives,
  • le renversement du fardeau de la preuve : ce ne serait plus aux plaignants d’apporter des preuves d’islamophobie dans le comportement des accusés, mais aux incriminés de démontrer l’absence de celles-ci,
  • l’utilisation de caméras cachées et l’engagement d’agents provocateurs afin de débusquer les islamophobes,
  • la dissolution facilitée des associations islamophobes,
  • la publication dans les grands journaux des condamnations pour islamophobie.

Dans le domaine politique, les discours, interviews, slogans, affiches et tracts devraient être beaucoup plus surveillés et immédiatement interdits quand ils font preuve de discrimination vis-à-vis des musulmans.

Toutes ces mesures juridiques seront soumises au Conseil fédéral et à l’Assemblée peu après les élections d’octobre.

Sans plus attendre, Martine  Brunschwig Graf veut intensifier la lutte contre l’islamophobie dans les écoles. Dès juin, une grande opération d’information et de sensibilisation orchestrée par le Département de l’instruction publique démarrera dans les établissements scolaires genevois pour déconstruire, sous couvert de campagne antiraciste, les soi-disant préjugés vis-à-vis de l’islam et des musulmans.

Islamocrédules suisses manipulés par l’Organisation de la conférence islamique

Nous constatons que l’influence de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), le plus important des lobbies islamiques dont le siège est en Arabie saoudite, est considérable dans toutes les organisations antiracistes de Suisse. En effet, c’est l’OCI qui martèle depuis de nombreuses années que l’islamophobie est une forme de racisme. Et avec succès, puisque ce point de vue s’est imposé en Suisse à la CFR et à la LICRA.

Renforcement du totalitarisme islamophile

 

L’un des intervenants rappelait du bout des lèvres que l’on doit pouvoir critiquer les religions. Cependant, si les mesures recommandées par Martine Brunschwig Graf, Philippe Nordmann, Tarek Naguib et leurs partisans étaient mises en œuvre par le Conseil fédéral, il ne serait plus possible en Suisse de critiquer non seulement les musulmans, mais également l’islam. Car comment fera-t-on la différence ? Est-t-il possible de porter un jugement défavorable sur cette religion sans blâmer les personnes qui s’en réclament pour justifier des comportements et des revendications contestables ? Par ailleurs, rien ne nous garantit que les juges ne pourront considérer l’hostilité au dogme islamique comme un appel à la discrimination de ses adeptes. Tout individu dénigrant l’islam pourrait ainsi être traîné devant les tribunaux et condamné au mieux à une amende, au pire à une peine de prison. Son nom serait mentionné dans les journaux, comme ceux des criminels particulièrement dangereux.

Mais qu’est-ce que l’islamophobie ?

L’axiome de départ des exposés et discussions était que l’islamophobie est assimilable à du racisme antimusulman et donc inadmissible. Le terme est d’ailleurs fabriqué à partir des mots « islam » et « phobie », ce dernier provenant du vocabulaire des aliénistes. Ceux qui ont créé ce mot veulent nous faire accroire que la critique de l’islam est infondée en raison. Il s’agit de psychiatriser notre méfiance pour la discréditer d’emblée.

L’islam n’étant pas une race, les personnes qui le critiquent récusent l’accusation de racisme. Quant au terme d’« islamophobe », elles lui préfèrent « islamolucide » ou « islamocritique ».

 

L’islam mérite-t-il notre respect ?

 

A notre connaissance, à aucun moment de cette conférence, on ne s’est interrogé sur la cause de la montée de la critique de l’islam. Cette cause est tout simplement la prise de conscience progressive d’une partie croissante de la population suisse que, depuis sa naissance au septième siècle en Arabie saoudite, l’idéologie politico-religieuse qu’est l’islam n’a cessé de chercher à assujettir le monde entier par la peur et la violence. Niant le droit à l’autonomie et à l’égalité des individus, l’islam est avant tout un dogme totalitaire qui conduit à la régression et au malheur des peuples qu’il asservit. Imposant une soumission totale aux individus tombés sous sa coupe, il a toujours combattu les avancées des Lumières en matière de liberté religieuse, politique et intellectuelle. L’islam n’est absolument pas compatible avec les principes de notre société démocratique car il ne respecte pas le droit des êtres humains à disposer d’eux-mêmes. Visant à long terme la destruction de notre société libre et ouverte, l’islam ne mérite certainement pas notre respect. Et il ne devrait pas être considéré par l’Etat comme une religion comme une autre, mais plutôt comme une idéologie dont la spécificité liberticide devrait inciter nos autorités à la plus grande vigilance et à la plus grande fermeté.

Débarrassons-nous de la classe bienpensante subjuguée par l’islam !

Pendant treize siècles, les dirigeants européens ont fait preuve de clairvoyance vis-à-vis de l’islam : ils l’ont appréhendé avec lucidité comme un dogme arriéré et radicalement opposé à la liberté, laquelle est à la source de notre civilisation. Et ils l’ont énergiquement et inlassablement combattu et repoussé en Espagne, dans le Sud de la France, en Méditerranée, au Proche-Orient, dans les Balkans et devant les portes de Vienne.

Mais depuis plusieurs décennies, nous sommes gouvernés par une caste bienpensante incapable de percevoir cette menace mortelle pour notre démocratie. Par ignorance, aveuglement et narcissisme, notre élitocratie veut voir, dans son encouragement de l’islam à prospérer en Europe, l’expression valorisante de son ouverture sans limite sur le monde et de son acquiescement inconditionnel à la modernité indépassable du multiculturalisme. Mais notre affligeante oligarchie se rendra-elle compte un jour qu’elle tient le rôle de l’idiote utile dans la tragédie de l’islamisation de l’Europe ?

Les citoyens de Suisse et des autres pays de notre continent doivent impérativement réagir face à cette situation dramatique, la plus grave de notre longue histoire commune. Nous devons empêcher l’alliance du totalitarisme islamophile et de la terreur islamique, unis par la même volonté de nous réduire à l’esclavage mental, d’anéantir aujourd’hui notre liberté d’expression et demain notre mode de vie. Il est grand temps de se mobiliser en utilisant nos droits démocratiques pour dénoncer et chasser du pouvoir la génération politique la plus sotte de l’histoire européenne. Une génération dont l’amour oblatif de l’Autre et l’irénisme inconséquent favorisent chaque jour davantage la subversion islamique de notre civilisation.

Charles Terrade, 3 mai 2015

 

15 commentaires

  1. Posté par G. Vuilliomenet le

    Lu ce matin ce mot de Pascal Bruckner:

    http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/2567-islam-malheureusement-assistons-victoire-posthume.html

    « Je ne suis pas sûr que nous ayons la patience d’attendre quatre siècles pour que l’islam se réforme comme l’a fait le christianisme », juge le romancier sur Les Matins de France Culture.

    Bruckner se refuse à employer le mot « islamophobie » : « Comment la critique d’une religion peut-elle être taxée de racisme ? Il y a là un coup de force sémantique et une dérive. »

    Pour lui, « nous assistons à une victoire posthume de Hitler dans la portion la plus radicale du monde musulman qui a importé sans aucune discrimination tous les préjugés antisémites de l’extrême droite fasciste européenne. »

  2. Posté par Jean-Marie D. le

    @ JeanDa

    L’INTERNATIONALE-INCORRECTE

    Debout ! l’âme du facho
    Incorrects, groupons-nous enfin.
    Debout ! les acharnés de la terre !
    Debout ! les forçats de la vérité !
    Pour vaincre la racaille et l’invasion
    Foule esclavagiste, debout ! debout !
    C’est nous le droit, c’est nous le nombre
    Nous qui n’étions rien, soyons tout

    C’est la lutte finale
    Groupons-nous et demain
    L’Internationale-incorrecte
    Sera le genre humain…

  3. Posté par Pierre H. le

    @Dominique Schwander : « Par conséquent, tant que les bons musulmans ne réformeront pas leur islam-idéologie »

    L’islam n’est pas réformable. Quelque chose qui est toxique dans ses fondements et dès le départ ne peut pas être réformé en bien. Ca n’a aucun sens. Le bouddhisme et la méditation cherchent à vous élever spirituellement et à échapper au cycle de réincarnation afin de vous rendre libre et peut-être la technique méditative peut-être améliorée et réformée, le judaïsme, je ne connais pas trop, le christianisme cherche à vous rendre bon et à sauver votre âme ce qui vous laisse beaucoup d’initiatives. L’islam est un culte somme toute très matérialiste dont le but est d’établir un califat sur cette planète en convertissant les infidèles ou en les tuant s’ils ne se convertissent pas. Leur au-delà farfelu n’est fait que d’alcool et de femmes ce qui montre bien que ce n’est qu’un canular destiné à appâter et à conditionner les guerriers se sacrifiant pour créer ce califat bien terrestre et matérialiste. Si vous ôtez ce califat et cette charia, que reste-t-il à réformer en islam ?

  4. Posté par JeanDa le

    @Jean-Marie D.
    Nous ne sommes pas (encore ?) amis, mais j’ai exactement les mêmes tares que vous !
    … et le pire ? C’est que j’en suis fier !

  5. Posté par Jean-Marie D. le

    Raciste…pas seulement :

    Ma vie devient difficile parce que :

    1°) Je suis né blanc, ce qui fait de moi un raciste.
    2°) Je ne vote pas à gauche, ce qui fait de moi un fasciste.
    3°) Je suis hétéro, ce qui fait de moi un homophobe.
    4°) Je ne suis pas syndiqué, ce qui fait de moi un allié du patronat.
    5°) Je suis de confession chrétienne, ce qui fait de moi un chien d’infidèle.
    6°) Je suis retraité, ce qui fait de moi un vieux con.
    7°) Je réfléchis, sans avaler tout ce que la presse me dicte, ce qui fait de moi un réactionnaire.
    8°) Je tiens à mon identité et à ma culture, ce qui fait de moi un xénophobe.
    9°) J’aimerais vivre en sécurité et voir les délinquants en prison, ce qui fait de moi un gestapiste.
    10°) Je pense que chacun doit être récompensé en fonction de son mérite, ce qui fait de moi un antisocial.
    11°) J’ai été éduqué sévèrement et j’en suis reconnaissant à mes parents, ce qui fait de moi un bourreau d’enfants opposé à leur épanouissement.
    12°) J’estime que la défense d’un pays est l’affaire de tous les citoyens, ce qui fait de moi un militariste.
    13°) J’ai le goût de l’effort et du dépassement de soi, ce qui fait de moi un retardé social.

    Donc voila les 13 motifs pour lesquels je remercie mes amis qui osent encore me fréquenter malgré tous mes défauts…
    A moins qu’ils n’aient les mêmes !

  6. Posté par C. Donal le

    @ Dominique Schwander, votre commentaire mérite une large tribune !

  7. Posté par Dominique Schwander le

    La question prenante et fondamentale que chaque suisse (les angéliques multiculturalistes juifs, chrétiens et athées.. de cette coûteuse et inutiles commission antiraciste), devrait se poser à propos des musulmans est la suivante. Un bon musulman peut-il être un bon Suisse, un bon français, un bon européen, etc ?

    Théologiquement: non parce que son allégeance est au seul Allah.

    Religieusement: non parce que son Allah n’accepte aucune autre religion que la musulmane.

    Idéologiquement: non parce que son Allah n’accepte aucune autre idéologie que l’islam-idéologie.

    Spirituellement: non parce que dans notre culture judéo-chrétienne Dieu est un père bon, qui aime et pardonne alors que Allah est dur, menace, punit, exige de tuer et venge.

    Socialement: non parce que son allégeance à l’Islam lui interdit de se lier d’amitié avec des chrétiens, des juifs, des athées et tout non-musulman.

    Quand au milieu du travail et au milieu scolaire: non parce que son allégeance à l’islam l’empêche de se soumettre à une supérieure de sexe féminin et à des non-musulmans.

    Quand aux lois: non parce que son allégeance est aux cinq piliers de l’islam, au coran, à la « charia », aux « hadiths », au prosélytisme, à la « jihad », à l’infériorité des femmes, etc.

    Politiquement: non parce que le bon musulman doit se soumettre à ses guides spirituels musulmans qui lui enseignent l’extermination des juifs, l’annihilation d’Israël, la destruction du grand Satan que sont les USA, la destruction de toute démocratie directe participative, etc.

    Quand à la vie de famille: non parce que le bon musulman peut posséder quatre épouses dont des fillettes, les battre quand elles lui désobéissent, épouse souvent une cousine du premier degré et que le mariage et les droits des femmes musulmans sont l’opposé du mariage et des droits des femmes occidentaux.

    Intellectuellement: non parce que le bon musulman ne peut pas accepter et se soumettre à nos Constitutions, à nos Lois et aux Droits de l’homme.

    Moralement: non parce que il y a divergence entre nos valeurs judéo-chrétiennes et greco-romaines et notre graduation des erreurs et des péchés et celles de l’islam.

    Verbalement: non parce que le bon musulman pratique l’art oratoire dissimulatoire musulman ou « takiyye ».

    Géographiquement: non parce que son allégeance est à la Mecque, vers laquelle le bon musulman doit se tourner cinq fois par jour et prier.

    Philosophiquement: non parce que islam, Mahomet et coran interdisent la liberté de religion et la liberté d’expression.

    Démocratiquement: non parce que islam et démocratie directe et participative ne peuvent pas coexister. Un gouvernement musulman est soit dictatorial, soit théocratique soit autocratique.

    Quant à la nation: non parce que le bon musulman, lorsqu’il est immigré, tient à être reconnu d’abord comme musulman; il fait partie d’abord de sa nation ou de sa tribu musulmanes qui se veut être ou devenir une nation ou une tribu dans notre nation.

    Etc.

    Par conséquent, tant que les bons musulmans ne réformeront pas leur islam-idéologie, de fond en comble comme nécessaire, nous devons tous nous méfier de tous les bons musulmans, parce que ces Autres ne peuvent évidemment pas être à la fois un bon musulman et un bon citoyen de Suisse, un bon citoyen de France, un bon citoyen d’Espagne, un bon citoyen d’Allemagne, etc. De plus, il est très dangereux pour l’avenir de nos démocraties de donner le droit de vote à ces bons musulmans, d’autant plus que les pays musulmans ne nous donnent pas le droit de vote chez eux. Réciprocité, réciprocité, réciprocité.
       

  8. Posté par Pierre Régnier le

    Parce que je comprends parfaitement qu’on n’ait ni le temps ni l’envie de lire tous les commentaires qui suivent un article, je reproduis ce qu’était celui que j’avais déposé en premier derrière mon propre article dont j’ai donné précédemment le lien :
    Avant de répondre plus précisément à Noël quand j’en aurai le temps, je crois utile d’apporter ici une précision. Ce n’est pas moi qui ai illustré mon article par une photo des militants Mélenchon et Corbière, même si cette illustration – où je vois de la malice provocatrice – ne me gêne pas.
    Ces deux meneurs de la fausse extrême gauche sont selon moi, face à l’islam, aussi stupides et dangereux que la fausse gauche installée au pouvoir à l’Elysée et à Matignon. Dans un article de 2010 où je voyais la gauche complaisante envers l’islam comme une sorte de « gauchisme d’extrême droite » (*) je disais aussi, pour conclure, que le problème n’est plus depuis longtemps un problème d’étiquettes politiques.
    Et le militant socialiste que je suis n’hésite pas à dire que, comme je l’avais fait aux Européennes, j’ai voté dimanche dernier pour des candidats du Front National, le parti qui, à l’heure actuelle, me paraît être celui qui défend le mieux la laïcité républicaine et la souveraineté nationale, lesquelles vont être plus que jamais nécessaires dans le monde qui vient.
    (*) http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ceux-de-la-gauche-qui-ne-veulent-77346

  9. Posté par Pierre Régnier le

    « Et vous, qu’en pensez-vous ? » demande le site à la suite des commentaires.

    J’ai dit ce que j’en pense sur le site Riposte Laïque, mais c’est sur le site Savoir ou se faire avoir que j’en conseille la lecture, car sur ce site la reproduction de l’article est suivie de commentaires :

    http://www.blog.sami-aldeeb.com/2015/03/24/mes-camarades-de-gauche-vont-ils-enfin-sindigner-pour-cette-bonne-raison/

    Pour résumer : je pense que l’assimilation de l’islamophobie à du racisme, à de la xénophobie, à de la haine est une tricherie ODIEUSE.

    Je le pense pour mon pays, la France, mais je le pense aussi, évidemment, pour la Suisse.

    Je l’ai dit à mes camarades de gauche, puisque je suis socialiste depuis toujours, mais je le dis aussi à ceux qui se situent à droite.

  10. Posté par Derek Doppler le

    La CFR, la LICRA et ses affidés œuvrent contre vous.

  11. Posté par C. Donal le

    Et c’est ainsi, de peur de se faire traiter de racistes qu’on sacrifia plus de mille jeunes filles violées à Birmingham, Angleterre.

  12. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Nous avions, dans mon service, engagé trois « réfugiés » africains. Mrs Engombé, Bompetit et « X ». Mous et apathiques, ils se reposaient à tout instant. Je le leur fit remarquer avec beaucoup de tact. Ils me traitèrent de racistes. Ils étaient logés dans un hôtel. Nous avions un jeune Vietnamien, gentil mais pas énergique. Sauf quant il vint apporter, guilleret, son certificat médical. Je lui dit qu’il me paraissait en parfaite santé. Il alla aussitôt trouver le délégué syndical, qui n’attendait que ça! Ce défenseur de la veuve, de l’orphelin persécuté m’a menacé de procès. Il s’en est fallu de peu. Je suis raciste?
    Une autre réfugiée, Adriana Mbyawanga! Jamais je ne l’oublierai! Elle était opulente et se déplaçait avec la majesté d’un paquebot. Toujours bien vêtue, elle portait de jolis chapeaux ornés de fleurs. Elle travaillait remarquablement bien, et avec intelligence. Ses collègues se gaussaient d’elle. Elle a dû regagner son pays. J’en avais gros sur la patate. J’ai rédigé deux belles pages en son honneur, publiées j’ai oublié où.
    Suis-je raciste?

  13. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    L’engagement d’agents provocateurs afin de débusquer les islamophobes? Celui qui se coltinera avec moi aura la surprise de sa vie!

    Pour déconstruire, sous couvert de campagne antiraciste, les soi-disant préjugés vis-à-vis de l’islam et des musulmans. C’est ça cocotte! Et les musulmans n’ont aucun préjugé à l’égard des mécréants? Ah, ce sont les méchants qui coupent les têtes! Pourquoi ne pas les sensibiliser? Eh, va donc chez ta mère-grand par le plus court chemin.

    … Une idéologie dont la spécificité liberticide devrait inciter nos autorités à la plus grande vigilance et à la plus grande fermeté. L’auteur aurait-il les yeux en pépins de courgettes? Nos autorités ont la même mentalité intégriste! Sauf qu’elles n’agissent pas au nom d’Allah! Mais au nom du Bien, dont elles se croient dépositaires éternelles.

    L’islam est avant tout un dogme totalitaire qui conduit à la régression et au malheur des peuples qu’il asservit. Eh quoi? L’islam, les musulmans, font comme Martine et ses pairs! Ils veulent forcent les conversions! Non?

    Voici un bout de temps, depuis des années et même des lustres, qu’au fil des observations je discerne une composante de base dans les totalitarismes: l’homme. Un certain type d’homme auquel n’appartiennent pas les récipiendaires du sermon sur la montagne.

    Ces gens s’agitent dans leurs clubs, leurs salons et leurs coteries. Ce qui les fait se croire vivants. Mais sortez les seulement du bénitier. Il y aura des surprises!

  14. Posté par G. Vuilliomenet le

    J’invite les hommes de droit qui comprennent que des sinistres cherchent à assassiner la Liberté d’expression de voir s’il n’y a pas violation de la Constitution fédérale. Si tel est le cas, il faudrait envisager des poursuites judiciaires pour haute trahison.

    http://www.debriefing.org/21023.html

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