Les historiens « critiques » et/ou marxistes ont la haine du roman patriotique suisse

Uli Windisch
Rédacteur en chef

Mythes, symboles nationaux et  commémorations. Oui il faut commémorer, malgré les « déconstructeurs ». 

Suisse, année 2015 : beaucoup d’anniversaires à commémorer (1315, 1515, 1815, etc ).

Mais pas de « commémorations pour tous » ! pour les bien-pensants

 

 Chaque fois qu’il est question de se référer à une date historique symbolique, de fêter un anniversaire ou de préparer une commémoration, le même scénario médiatico-politique se répète inlassablement.

Les médias invitent systématiquement quelques historiens de gauche, avec, pour faire bonne mesure et paraître objectifs, de temps en temps un historien libéral-radical ; et l’exercice est toujours le même : dire et faire dire à quel point il est illusoire et trompeur de vouloir fêter des batailles ou des événements qui auraient été truqués, idéalisés, mythifiés. Chercher à montrer que l’on tente de bercer le bon peuple d’illusions, de soulever de vaines vanités, de bomber le torse patriotique à mauvais escient.

Peuple suisse réveille-toi, on te trompe ! Viennent dire ces historiens médias compatibles. Et ces historiens marxistes jubilent. Moins le peuple aime cela et plus on le fouette.

Oui, tous les événements historiques rapportés ne sont pas d’une objectivité et neutralité complètes, et ils sont interprétés différemment par exemple selon l’orientation politique des interprétants. On peut donc toujours jouer à plus malin en apportant telle ou telle nuance ou une interprétation non orthodoxe, ou encore procéder à telle ou telle dénonciation, surtout quand celui qui fait référence à ces éléments symboliques est du mauvais bord politique, ici de droite, pire UDC. C’est comme téléphoné.

Tel hebdomadaire convoquera le ban et l’arrière-ban de ces historiens critico-marxistes pour montrer qu’un certain Monsieur  Christoph B. par exemple, se trompe sur toute la ligne et réécrit les événements historiques, symboliques et mythiques comme cela l’arrange.

Il y a pire : ces historiens ne sont pas seulement critiques, ils ne veulent plus qu’on les qualifie de marxistes mais nous le ferons quand même ; certains détestent à ce point leur pays, la Suisse donc, faut-il le préciser, que l’un d’eux s’est même fait stériliser pour être sûr de ne jamais mettre au monde des enfants dans une société aussi horrible que la nôtre. Un enfer, cela va de soi. Authentique !

Cela ne l’a pas empêché de « former » des centaines d’étudiants dans l’université où il enseignait. Vous devinez le résultat. Mais certains de ces étudiants n’ont pas acceptés une telle partialité et ont cherché à se former de manière plus complète par eux-mêmes et en faisant appel à des académiciens moins faisandés idéologiquement.

Ce même historien est régulièrement tiré de sa retraite par notre radio, qui espère à chaque fois une déclaration fracassante, « critique » et qui bien sûr l’obtient sans peine. Qu’est-il venu dire ces derniers jours : plutôt que de fêter la bataille de Marignan de 1515 on devrait commémorer un événement dramatique et meurtrier comme la catastrophe du barrage de Mattmark qui avait fait 88  morts (57 ouvriers italiens et 23 ouvriers suisses). Cela afin d’illustrer la manière dont la Suisse « exploite les travailleurs immigrés ».

Pour de tels esprits, une commémoration de faits historiques ayant un pouvoir dynamisant et revivifiant pour un peuple ne peut être envisagée, tant leur univers est noir et déprimant. Seule la culpabilisation et l’autoflagellation devraient sans doute avoir voix au chapitre et rendre contagieuse leur vision déprimante des hommes et de notre haïssable société.

Il y a un autre aspect qui nous semble encore plus important de souligner : c’est l’image de l’homme en général qui se trouve derrière ces visions dépressives et déprimantes de l’histoire nationale. Cette image est celle d’une vision purement abstraite, rationnelle, matérialiste, logique, vision qui s’oppose totalement à une autre vision qui, elle, tient compte du fait qu’un homme n’est pas qu’une machine rationnelle fonctionnant de manière purement logique, déductive, mathématique, comme un ordinateur.

Dans notre propre vision, l’image de l’homme est une image beaucoup plus large, complète, riche, profonde et multidimensionnelle, tenant compte des dimensions symboliques, mythiques, affectives, émotionnelles, présentes en tout homme et qu’une vision purement rationnelle ignore, voire méprise, alors que ces dimensions jouent un rôle parfois déterminant dans les comportements  humains.

Ici, plutôt que de vouloir « démystifier », rejeter dans l’irrationnel ces dimensions  qui peuvent jouer un rôle capital, on cherche à comprendre et à tenir compte de la signification et de la portée anthropologique de ces univers et dimensions symboliques, mythiques et affectifs.

Pour ne pas prendre que le seul exemple du symbole de Guillaume Tell, que nous avons maintes fois évoqué, l’existence réelle et prouvée de ce personnage mythique n’est pas importante ni déterminante, mais bien sa signification symbolique, mythique et affective. Tell est et reste le symbole de la liberté et de la lutte éternelle, sacrificielle, totale  pour cette liberté. A ce titre, il est même devenu un symbole mondial, repris même par des pays avec lesquels il n’a aucun rapport « concret ».

En Suisse pourtant il est clair que bien des Suisses ont lutté concrètement et personnellement pour la liberté, au prix de leur vie souvent.

Donc Tell symbolise (entre autres !) cette lutte éternelle et partout présente pour la liberté. Il est ainsi devenu un symbole bien au-delà de la  Suisse, tant son exploit dans le récit mythique est fort, puissant, parlant et immédiatement significatif et saisissable pour tout un chacun.

Ce n’est pas un hasard non plus s’il a été repris dans tous les domaines de la vie quotidienne : théâtre, cinéma, pub, politique, etc.

Les enfants aussi apprennent certaines valeurs essentielles n’ont pas de manière abstraite, rationnelle et mathématique mais en lisant ou en écoutant par exemple de belles histoires et de magnifiques contes !

Bien des réalités essentielles n’entrent pas en nous comme une démonstration logique ou mathématique. Cela les esprits étroits des historiens matérialistes, marxistes, rationalistes, « critiques » (comme si tout le monde n’avait pas un esprit critique) ne veulent pas le voir.

D’où le fait que l’on cherche parmi eux à jeter par dessus bord tout ce qui est symbolique, mythique et affectif et à aller jusqu’à proposer un hymne national sans parole et bien sûr sans pathos ni élan affectif et émotions.

« Du passé faisons table rase ». Oui mais à quel prix ? On sait pourtant où peuvent mener ces opérations de « purification symbolique, mythique, affective » au nom d’une rationalité nouvelle, pure, radieuse, débarrassée de toutes les scories non rationnelles et prônée par un certain marxisme et autre  « matérialisme scientifique ».

On ne parle pas assez de ce à quoi peut mener une vision totalement et uniquement  rationnelle, logique, abstraite, désincarnée et desséchée de l’homme.

Derrière la volonté d’éradiquer certaines dimensions constitutives de l’homme, intrinsèquement présentes en lui, on appauvrit dangereusement à la fois l’homme et une société méritant le qualificatif d’humaine.

C’est cela qu’il faut rappeler aux habituels historiens conviés par les médias au rituel de la moquerie et de la « déconstruction » symbolique, mythique et affective de l’histoire et des faits marquants de l’histoire de nos sociétés.

Les hommes ne sont pas des aveuglés, des individus bernés, sous l’emprise d’une « fausse conscience », comme le pensent les marxistes et dont l’image de l’homme est en réalité tellement pauvre qu’elle en devient inquiétante.

L’homme est ce qu’il est et non ce que des idéologues voudraient qu’il soit ou voudraient en faire. En plus ces idéologues sont hautains, prétentieux et se croient supérieurs et plus « conscients » que le commun des mortels. C’est aussi cela que certains journalistes se font un plaisir de nous servir comme seul plat du jour au menu des commémorations à venir.

Commémorons donc indépendamment de ces historiens et journalistes, au nom d’une image à la hauteur de ce qu’est réellement l’homme et une société consciente de l’ensemble des dimensions qui nous constituent.

Chaque date historique marquante comporte, au-delà des dernières précisions empiriques qui sont régulièrement apportées et à juste titre, des significations symboliques, mythiques, affectives et émotives que toute société devrait rappeler afin de redonner, périodiquement et rituellement, à l’ensemble d’un peuple l’énergie, la force et la volonté de poursuivre une œuvre créée par nos ancêtres, souvent au prix de leur vie. Cela nos Tellentöter rituels et autres « déconstructeurs » de mythes, de symboles et de commémoration ne peuvent l’entrevoir étant donné leur image de l’homme si pauvre, desséchée, triste et déprimante et qu’avec l’aide des médias ils veulent nous imposer mais que nous refusons énergiquement et avec fierté.

Reste à trouver les esprits suffisamment cultivés, ayant une image de l’homme et des sociétés réellement multidimensionnelle, et étant suffisamment courageux et déterminés pour initier ce travail. Ils existent d’ailleurs déjà et en nombre. Encore faut-il les faire parler et les mettre en valeur, à côté des historiens « critiques » et autres esprits étroits,  prétentieux, moqueurs et omniprésents.

Uli Windisch, 14 avril 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

12 commentaires

  1. Posté par Christian Favre le

    @Marie-France Oberson
    Vous avez raison de souligner que lorsque le pays est attaqué, la division gauche droite laisse souvent place au patriotisme. Pas toujours en France, par exemple lors de la guerre franco-prusse de 1870, la division gauche-droite en France lui a été fatale.. En ce qui concerne le colonialisme cela me paraît plus compliqué, il n’y a qu’à voir ce qu’était l’URSS.
    Pour en rester à l’histoire, je crois que l’on est d’accord et l’exemple en France avec le rôle de Jeanne d’Arc est éloquent, l’idole des patriotes démolie par les historiens de gauche. A propos sait-on que Jeanne d’Arc est également admirée en—Angleterre ? Eh oui, biens des Anglais la remercie de les avoir aidé à rester, pour ce qui concerne le continent, bien isolés sur leur île

  2. Posté par Marie-France Oberson le

    @Christian Favre «  ce phénomène est particulier à la France et à la Suisse.(…)à gauche anti patriotique et à droite, patriotique.(…)le patriotisme des socialistes suisses au cours de la Seconde Guerre mondiale a été une exception et un pilier de l’unité du pays. Dommage qu’aujourd’hui les socialistes ne l’aient pas appris. »
    …………………………….
    Je ne sais pas trop pour la Suisse, mais en ce qui concerne la France, la gauche sous la 3è République était patriote, même si elle était assise entre deux chaises : celle de son patriotisme et celle de son internationalisme.
    Il est d’ailleurs assez curieux d’observer que la gauche d’aujourd’hui reproche à une certaine droite actuelle son « nationalisme » alors que cette droite ne fait que reprendre certains de ses discours de l’époque de Jules Ferry,Gambetta .. C’est d’ailleurs le « nationalisme » de cette gauche radicale-socialiste qui promut le colonialisme. Les « Hussards de la République » transmettaient aux élèves l’amour du pays avec des trémolos dans la voix… Les socialo d’aujourd’hui ont oublié leur passé, voire le renient..

  3. Posté par Christian Favre le

    L’Histoire est un comme un héritage avec une famille déchirée, ce phénomène est particulier à la France et à la Suisse. La famille, en Histoire est de gauche et de droite, à gauche anti patriotique et à droite, patriotique. L’antipatriotisme de gauche * provient de la doctrine communiste et même socialiste avec une famille prolétarienne sans frontières, c’est l’Internationale. C’est une guerre idéologique sans fin où l’Histoire est toujours perdante car seuls une faible minorité d’historiens sera l’élue des médias radio/TV, alors qu’à côté une majorité d’historiens travaillent uniquement pour s’informer…entre eux. Mais les nuls sont les politiciens qui, malgré cette évidence, ne veulent rien voir, rien entendre.
    Voici un exemple concret. Dans le journal 24heures on a lu ici
    http://www.24heures.ch/suisse/La-Second … y/14367371
    cette remarque de l’historien sensé connaître cette histoire:
    « Bien que la Suisse se contentât surtout d’un rôle de spectatrice… »
    or l’engagement du Conseil fédéral et particulièrement de Pilet Golaz au niveau humanitaire a été gigantesque au cours de la Seconde Guerre mondiale et cela la TV s’est bien gardée de le montrer
    http://pages.livresdeguerre.net/pages/s … nts&su=311

    * le patriotisme des socialistes suisses au cours de la Seconde Guerre mondiale a été une exception et un pilier de l’unité du pays. Dommage qu’aujourd’hui les socialistes ne l’aient pas appris.

  4. Posté par Erkangilliers le

    Il est tout de même, chez ces marxistes, UN roman national dont il est interdit, sous peine de sanctions judiciaires, de douter de la véracité.
    Je n’ai évidemment pas le droit de dire lequel.

  5. Posté par Marie-France Oberson le

    A propos « du passé faisons table rase » et de ce que j’écrivais le 15 avril « effacer dans la mémoire des peuples le souvenir des grands hommes politiques ou militaires , des grands faits « pour construire un nouvel Empire sans frontière, la preuve en est la nouvelle monnaie de singe de cet empire: plus aucun personnage célèbre qui a marqué l’histoire des pays membres de cet Empire, plus aucun monument faisant référence à tel ou tel pays , mais des monuments inexistants , des ponts imaginaires qui ne vont nulle part ; plus rien qui puisse rappeler aux peuples leur passé respectif .Ici , en Suisse, le peuple n’a pas encore fait le pas et certains « historiens », certains politiciens et autres penseurs qui veulent notre bien malgré nous , le déplorent et s’efforcent par tous les moyens même les plus vils de nous faire entrer dans cet Empire qui n’a plus de passé..Je le répète, c’est la méthode Big Brother et c’est plus qu’inquiétant !

  6. Posté par Stephan le

    J’ai été absolument scandalisé par l’article de Thomas Maissen publié dans ce miteux Hebdomadaire romand socialo communiste, essayer de détruire une à une les références de l’histoire Suisse.
    Par exemple 1291: sois disant que les personnes n’auraient pas fait l’effort pour aller au Grutli, car le voyage aurait été trop ‘pénible’. La bonne blague il se dit savoir la vérité, mais y était-il?
    A l’époque les Suisse était de solides hommes, la plupart fermier, certains mercenaires ou les deux à la fois. De nos jours, certes, ce serait plus fatiguant, surtout quand on es assisté par l’état et que de faire 1 km à pied c’est déjà trop !

  7. Posté par Nicolas le

    Keep cool UW. D’où vient qu’un boiteux ne nous irrite pas et un esprit boiteux nous irrite ? À cause qu’un boiteux reconnaît que nous allons droit et qu’un esprit boiteux dit que c’est nous qui boitons. Sans cela nous en aurions pitié et non colère. Blaise Pascal

  8. Posté par Christian Favre le

    La question de la diffusion de l’histoire d’un pays n’a qu’indirectement à voir avec l’engagement politique ou idéologique des historiens .Il y aura toujours des historiens de droite et des historiens de gauche et des historiens faisant passer leur idéologie avant la véritable recherche (attention au mot vérité…). Mais il y a aussi une majorité d’historiens et de chercheurs (pas forcément historiens: témoins, journalistes, politologues etc) qui écrivent des quantités de livres et d’articles. La question est ensuite la diffusion de leur savoir auprès du grand public et c’est là que se situe le problème. Il n’existe aucune institution de l’État pour transmettre ce savoir. Si je prends le cas que je connais le mieux, celui de l’histoire de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale, on s’aperçoit que déjà dans les années 90 existaient 2 rapports intéressants, plus des dizaines de livres. J’en ai lu une soixantaine mais avec ceux non traduits ce nombre est beaucoup plus élevé. Donc ce que les politiciens devraient envisager, c’est de trouver une institution capable de relayer et de transmettre au public le savoir de nombreux chercheurs y compris ceux n’ayant aucun engagement politique.
    Je trouve triste par exemple qu’un travail de mémoire très intéressant traitant des liens entre la Résistance française et les SR suisses ne sera jamais connu du grand public, et ce n’est qu’un exemple. Et ce serait au sein même de la profession d’historien de prendre conscience de ce problème. La diffusion s’améliorerait aussi considérablement si l’on exigeait plus de connaissances en histoire du pays chez les journalistes.

  9. Posté par G. Vuilliomenet le

    Une liste de ces historiens, véritables rats dans un central téléphone, serait la bienvenue.

  10. Posté par Menoux Claude le

    Chez les dirigeants du PS et du PDC le vrai patriote n’existe pas !!

    Les preuves..

    Tiré de l’ouvrage le « Vatican contre l’Europe » Edmond Paris, p.348
     
    Au XVII siècle, le Général des Jésuites J. Nickel écrivait : « Oublions notre patrie ….. La Compagnie de Jésus ne peut subsister si l’esprit national n’est pas entièrement déraciné »
     
    Léon Trotski
    Le prolétaire n’a pas de patrie

     Christiane Brunner, Ancienne Présidente du parti socialiste suisse
     En conclusion d’un débat sur la SF1, question posée aux participants en fin d’émission, qu’est ce pour vous le patriotisme ?
     Réponse de Mme Brunner : Notre patriotisme n’a pas de frontière !
     C’est aussi ce que veulent l’internationale socialiste  et la DC (PDC)

     Rappelons q’un congrès du parti socialiste, sous la Présidence
    de Mme Brunner, se termine par le chant de l’Internationale avec
    le point levé !
     « Du passé faisons table rase » évoque une chanson révolutionnaire de sinistre mémoire.

    Période de la commune à Paris

    La Mistoufe, journal communiste à Marseille fin 19 ème siècle
    Epigraphe : L’Anarchie est l’avenir de l’humanité. Notre partie est la terre entière.

    L’internationale socialiste et l’internationale démocrate chrétienne sont la main dans la main. D’où un nouvel emblème la croix et le marteau !
    Louis Powel,Figaro Magazin

     

  11. Posté par Marie-France Oberson le

    C’est comme ça que se construisent tous les Empires totalitaires et universalistes : effacer dans la mémoire des peuples le souvenir des grands hommes politiques ou militaires , des grands faits d’armes,- mythiques ou réels-qui ont « fait ».. leur pays respectif, ,voire semer le doute sur la réalité de ces faits pour mieux adhérer à une nouvelle Histoire celle du nouvel Empire…écrite par Big Brother
    Staline n’a pas fait autre chose avec les peuples des républiques soviétiques pour renforcer l’Union soviétique…
    70 ans après , on remet ça…pour construire l’UE et « s’ouvrir au monde »
    Souvenez-vous de Chirac allant commémorer la « victoire » de Waterloo chez les Anglais et boycottant les diverses commémorations populaires du 200è anniversaire de la bataille d’Austerlitz!

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