Bâle ne veut pas payer pour la mosquée, les musulmans iront à l’église

L'on apprend sur la RTS, à l'issue d'une interview de Tariq Ramadan ce matin (dès 16:37), que les autorités bâloises ont refusé net de payer la réfection de la mosquée locale. Autorités qui ont encore poliment décliné l'invitation à trouver un lieu de remplacement aux fidèles de ladite mosquée, lesquels se rendront finalement à l'église catholique Saint-Joseph à l'initiative du curé local.

 

Si l'on se félicite tout d'abord de cette première rencontre oecuménique entre l'islam et la séparation de l'Eglise et de l'Etat - rencontre certainement nécessaire, depuis le temps -, l'on espère toutefois que le curé Ruedi Beck se souviendra que, dans l'Eglise, la première des charités est avant tout la vérité et qu'il profitera un peu de l'occasion pour parler de Dieu à ses nouveaux paroissiens.

Lanterne du carnaval de BâleTariq Ramadan, à qui on ne la fait plus, marche sur des oeufs et parle d'égalité de traitement, dans la perspective d'une reconnaissance officielle de la confession musulmane déjà très avancée à Bâle. Chaque mot est dûment pesé, mesuré, les musulmans sont citoyens suisses, l'islam est une religion suisse... Les musulmans bâlois doivent néanmoins tout faire pour tendre à l'autonomie financière, etc.

Il a cependant une formulation aux accents quelque peu inquiétants, sans vouloir forcément en rajouter:

"Il faut saluer cette belle histoire, en l'occurrence de ce prêtre qui ouvre ses portes et qui veut essayer de trouver des solutions de pacification."

Ne rentrons pas en matière sur l'éventualité d'une réciprocité qui n'existera jamais. Dans la mentalité traditionnelle musulmane il est parfaitement naturel que les "kafirs" et autres "dhimmis" soient au service des "croyants", c'est l'ordre naturel des choses. Non, ce qui frappe, c'est la charge conditionnelle du terme "pacification" associée au fait de répondre ou non aux demandes des fidèles musulmans. Si le fait d'accéder à la requête d'une communauté encore extrêmement minoritaire de prendre en charge les frais de rénovation de son lieu de culte et de lui trouver, à titre gracieux, un hébergement provisoire constitue une "solution de pacification", en quoi peut bien constituer l'inverse ? La réaction du curé de Bâle a-t-elle instauré une alternative de paix là où il y avait un risque de guerre ? Ne sommes-nous là que pour satisfaire aux désirs de nos concitoyens musulmans, le fait que nous manifestions une volonté propre, notre volonté propre, revient-il à s'exposer à l'éventualité d'une guerre communautaire ?

 

 

Illustration: une lanterne du carnaval de Bâle.

8 commentaires

  1. Posté par Migy Bernard le

    04 05 2014 // Toujours cette tragique illusion de la réciprocité. Ici, à Bâle, une église prêtée aux musulmans. Que de naïveté Monsieur le curé Ruedi Beck ! Question à Tarik Ramadan : A quand une mosquée mise à la disposition d’une autre religion en terre d’islam ? Vous n’êtes pas obligé Monsieur Ramadan de répondre de suite… Cela mérite réflexion ! Quand au prêtre sous influence, je lui conseille de lire le Saint Coran… – Il y trouvera certainement quelques raisons d’une juste méfiance ! Bonne lecture Monsieur l’abbé. Vous doutez, faites un voyage en Arabie Saoudite, cette grande démocratie… Ici, point de partage, juste la soumission au Coran. Bonne lecture et saine méditation. Après le nazisme, le stalinisme et autres communismes, puis-je espérer échapper à un nouveau totalitarisme ? Le relativisme culturel porte en lui un danger majeure, en effet, toutes les idéologies ne sont pas porteuses de valeurs démocratiques. C’est ainsi. La liberté religieuse, oui, à la condition de conserver notre libre arbitre – ce bien le plus précieux. Croire, ou ne pas croire est du ressort du citoyen et ne regarde que lui ! Ne pas céder aux intimidations et tout ira pour le mieux.
    Pour mémoire, avec ce rappel tout de sagesse romaine : « Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit  »  
    Ainsi, nous préserverons la paix civile ! Bonne journée.

  2. Posté par Dominique Schwander le

    L’islam n’est pas une religion; du reste le mot islam signifie soumission. L’islam ne correspond pas du tout à notre définition européenne de la notion de religion.

    En effet:
    Une religion est un choix personnel.
    Aucune religion ne tue ceux qui la quitte.
    Une religion n’ordonne jamais de tuer, de soumettre ou que l’Etat taxe les citoyens qui ne choisissent pas d’en être membres.
    Une religion fait preuve de tolérance et de respect des droits fondamentaux de l’homme.
    Contrairement aux vraies religions, il est fort difficile de trouver les notions de paix et d’amour dans les écritures « saintes » de l’islam.
    Le mot amour ne figure jamais dans le coran. La haine, qui y est citée si souvent et qui est toujours un état émotionnel intense, hostile, calculé, froid, systématique et très particulier, ne lui laisse aucune place.
    Pour les chrétiens, les bouddhistes et autres, Dieu est bienveillant et pardonne. Pour les musulmans, Allah est tout le contraire. Il est menaçant et conquérant.
    Le christianisme, tout comme le bouddhisme, est est avant tout une religion personnelle, avec des doctrines mystiques et un amour de l’état contemplatif. L’islam, tout comme le communisme et le nazisme, a une finalité pratique, sociale, matérielle, dont le seul but est d’étendre sa domination sur le monde.
    Pour les chrétiens, vont en enfer ceux qui font des péchés d’ordre moral. Au contraire, l’enfer musulman est avant tout une prison politique, puisque 94 % de ceux qui y vont le sont pour avoir été en désaccord intellectuel avec Mahomet et seulement 6 % pour avoir tué, volé ou commis un autre péché contre la morale.
    Mettre en question la religion, catholique par exemple, c’est normal et accepté; depuis l’inquisition nous avons eu la réforme en Europe. Ainsi l’historicité de Jésus a été débattue depuis deux siècles en Europe et aux États-Unis sans qu’un seul de ceux qui niaient son existence ait été menacé de mort. Au contraire, questionner l’islam pour un musulman s’est se condamner à mort, puis aller en enfer.

    Les cinq piliers ritualistes musulmans pour éviter d’aller en enfer et s’ouvrir les portes du paradis (il s’agit plutôt de bonnes manières musulmanes que de pratiques religieuses pratiquées généralement par les musulmans modérés) sont les suivants:

    1. Réciter les prières, mais des prières prescrites, cela aux moments prescrits.
    2. Charité, mais pour les musulmans exclusivement. On se demande pourquoi le chrétien Clonney donne ses revenus publicitaires de Nestlé au Darfour!
    3. Pèlerinage à la Mecque ou Mekke en Arabie Saoudite
    4. Jeûne
    5. Et surtout, déclarer Mahomet comme le seul et unique prophète.

    L’islam est donc principalement une anti-religion; ceci rapproche l’islam du communisme, du nazisme et d’autres idéologies totalitaires. Ce qui est important pour l’islam, c’est que le peuple obéisse à l’Etat, tout en pratiquant accessoirement les cinq ordres ritualistes rappelés ci-dessus, pour lui donner un semblant de religion. Le nazisme allemand avait aussi ses rituels « religieux ». Au contraire d’une religion, l’islam est ainsi premièrement un système politique et légal qui discrimine les non-musulmans et les femmes et est hostile à toute autre religion et à l’athéisme. Il s’agit bien d’une stratégie et d’une doctrine politique de conquête, visant une domination. C’est une idéologie dysfonctionnelle totalitaire comme le nazisme, le communisme, le castrochavisme etc. De plus l’islam pratique la charia, une loi qui est aussi illégale dans notre culture que ne l’étaient certaines lois des nazis. Accepter la charia, même que très très partiellement, c’est sacrifier nos valeurs occidentales démocratiques et nos droits de l’homme tels que définis en 1948.

  3. Posté par STUDENT PATRICE le

    Je ne comprends pas ce prêtre! faut-il qu’il soit aveugle pour ne pas encore avoir compris qu’il n’y aura jamais d’entente avec cette religion, il est vrai que dans le royaume des aveugles les « bornes » sont rois!. Les musulmans nous prêteraient ils leurs mosquées si nous étions en panne d’églises?. J’en doute.

  4. Posté par Alain Jean-Mairet le

    De même qu’une lobotomisation apparente cache souvent une simple ironie, des déclarations apparemment raisonnables cachent souvent une réalité extrêmement différente. Et comme c’est justement le cas du jihad, de nos jours, je pense utile de présenter ici quelques exemples.

    Depuis plusieurs décennies, il est commun de dire (et de croire) que le jihad est uniquement défensif et ne constitue qu’un dernier recours, voir essentiellement un effort personnel vers la vertu. Que le prophète Mahomet aurait entamé sa carrière par des prêches pacifiques (à La Mecque) et n’aurait recouru à la force que très tard (à Médine), acculé par des harcèlements continuels. Que la dawa, l’appel à l’islam, est la tout première, voire la seule mission des musulmans hors d’islam. Or tout cela est contraire aux faits.

    La première sourate révélée (selon la classification de l’université-mosquée Al-Azahr, le centre mondial du sunnisme), porte le numéro 96. On peut déjà y lire des menaces de lâcher les chiens de l’enfer sur ceux qui s’opposent à l’islam (dernier verset). La deuxième sourate révélée (68), traite déjà les sceptiques de quantité de noms d’oiseaux («menteur», «grand jureur, méprisable, grand diffamateur, grand colporteur de médisance, grand empêcheur du bien, transgresseur, grand pécheur, au coeur dur, et en plus de cela bâtard», «criminels») et annonce déjà des calamités, des horreurs et des châtiments. Et la troisième sourate révélée (73) parle déjà d’aller «faire la guerre dans la voie de dieu» («yuqatiloona fee sabeeli Allahi», verset 20).

    Il est vrai que, selon la fable, les musulmans n’ont fait la guerre qu’une douzaine d’années après le début de la révélation et que dieu leur aurait permis cela, au départ, dans un contexte de «défense». Mais l’agression verbale, la menace, est présente dès le tout début de la révélation; selon la fable, ce sont les musulmans qui ont fait couler le sang les premiers et qui ont tué les premiers; et selon le coran, il est légitime de tuer pour défendre simplement la religion, le culte: le livre saint des musulmans déclare en effet (par deux fois) que « la fitna est plus grave que le meurtre » (2.191 et 2.217). La fitna est un trouble causé à la religion, une simple déstabilisation du culte. Enfin, au verset 2.217, le coran autorise même les musulmans à faire la guerre pendant une trêve.

    Il est exact que le jihad doit en principe être précédé de l’appel à l’islam, la dawa. Dans la philosophie musulmane, il s’agit ainsi de donner une chance aux non-croyants de montrer qu’ils sont tout de même fidèles à la vraie religion. En effet, la doxa musulmane avance que tous les êtres naissent musulmans (théorie de la fitra) et que s’ils ne sont pas officiellement musulmans, c’est qu’ils ont été convertis à autre chose, le plus souvent par leurs parents. Il suffit donc de leur rappeler la parole de dieu, puisée dans le coran, pour qu’ils la reconnaissent comme leur vraie foi. Ceux qui s’y refusent prouvent ainsi qu’ils sont des ennemis de dieu et de la religion, et les musulmans ont dès lors le devoir (collectif) de leur faire la guerre.

    Mais au temps du prophète, dès qu’il a eu le pouvoir de faire la guerre, la dawa était très expéditive. Les biographies et les hadiths la décrivent comme une simple série de propositions: se convertir et faire la guerre avec les musulmans, se convertir sans faire la guerre (et donc sans avoir droit aux butins), ou se soumettre en conservant sa religion (du livre). Ceux qui refusaient les trois propositions étaient licites. Les musulmans devaient alors les attaquer, faire un grand massacre, impressionnant, attacher solidement les survivants devant le spectacle (pour les briser psychologiquement), puis faire d’eux ce qui leur semblait bon, de la simple libération à l’exécution de masse en passant par la réduction en esclavage (le choix systématique du prophète pour les femmes) ou la conversion forcée.

    De plus, assez tôt dans l’histoire de l’islam, plusieurs savants ont estimé que la dawa n’était plus nécessaire, car l’islam était connu de tous. D’autre part, la fable du prophète indique clairement que Mahomet lançaient volontiers des attaques surprise, de nuit ou tôt le matin, c’est-à-dire sans faire l’appel à l’islam préalablement. Pendant les périodes de grandeur de l’islam, la dawa concrète, sur le terrain, a donc été réduite à peau de chagrin (et s’est d’autant plus étendue sur le plan littéraire, avec des apologies dythirambiques).

    Aujourd’hui, comme les musulmans n’ont plus vraiment les moyens de faire la guerre à la manière du prophète (sauf dans certaines régions qui font l’actualité), les lettrés forcent sur l’idée de la dawa et développent de longs mensonges savants tendant à suggérer que l’islam est paix et que ses conquêtes sont purement philosophiques (voir une collection en français par ex. sur maison-islam.com). Mais les incitatifs qui émanent des textes fondateurs (coran, biographies, traditions) et des consensus des plus grands savants de l’islam classique (fiqh) continuent de répandre la conception du jihad originale. Et de nos jours, les musulmans ont la possibilité de consulter ces textes, en de nombreuses langues. Or s’ils sont croyants, ils croiront y trouver la parole de dieu et un modèle à suivre (en la personne de Mahomet). Il faut donc s’attendre à ce qu’ils y puisent, d’une manière générale, le même message qu’à l’origine, qu’ils en tirent les mêmes conclusions et qu’ils prennent les apologies modernes pour ce qu’elles sont — des mensonges de circonstance.

  5. Posté par Piette Brigitte le

    Jean Gowrié, Alain Jean-Mairet et Alain Favre, merci à vous trois d’être aussi lucide, beaucoup ne se rendent pas compte de la terrible et inimaginable guerre qui nous attends. On pourrait croire que la Rédaction à été lobotomisé volontairement.

  6. Posté par Jean Gowrié le

    Je reprends rapidement le commentaire d’Alain Favre pour dire que j’y souscrit complètement, sauf sur un point : celui du « type qui est parvenu à connaître un peu et assez de notre complexité pour abuser de nos bontés qu’il prend pour des faiblesses ». En effet, non seulement je ne crois pas du tout qu’il faille des qualité extraordinaires ou des études approfondies pour ce faire, mais qu’au contraire cela est à la porté du premier venu. Notre vieil Occident moribond est, contrairement à ce que l’on croit, une terre en friche. Et, à l’instar de n’importe quelle terre en friche, elle ne demande qu’à se faire exploiter. Tariq Ramadan n’a pas du tout besoin de marcher sur des œufs. Il peut foncer sans même réfléchir aux conséquences. Vous savez, voir l’indulgence, voire la protection, dont jouit cette secte violente après plus de deux décennies d’attentats, de meurtres, d’égorgements, de têtes coupées et de massacres en masse, ne peut signifier qu’une seule chose : on est déjà morts.

  7. Posté par Alain Jean-Mairet le

    Dans la théorie originale du jihad, en tout cas, notre simple refus de nous convertir ou de nous soumettre (en « qualité » de dhimmi) autorise les musulmans à nous faire la guerre, en effet. Et aucune déclaration de guerre officielle n’est requise.

    [La Rédaction: c’est fou ce qu’on peut-être mauvais. On est des salauds tout de même, quand donc cesserons-nous tant d’intolérance !]

  8. Posté par Alain Favre le

    Tariq Ramadan, pacificateur ???? Y fo argent, sinon la paix sociale fera boum, et plus la peine d’appeler la dépanneuse Simoun. Mais pourquoi faire appel à Ramadan à chaque fois qu’un fait impliquant les foulards et les barbus sort de la kasbah ? c’est pourtant simple :

    Les Islamistes ont UN intellectuel , un Jésuite musulman , ils ne veulent pas le lâcher !
    Pensez , ils ont mis trois générations chez les « Frères Musulmans » pour fabriquer un type qui arrive à aligner trois mots sans s’embrouiller dans la syntaxe et qui maîtrise quelques points de rhétorique avec un vernis culturel de grand oral , ça n’a pas de prix …

    Ils seraient passés par le Séminaire , c’eut été plus rapide …
    Je suis vachement impressionné .

    Ceci dit le perfide ophidien ne fait de l’effet , hors de son milieu où effectivement il a tout de Bionic-Man , l’homme qui valait trois milliards , que sur quelques kouffars précuits , soumis et hypnotisés d’avance et ne passe pour un interlocuteur valable qu’auprès du genre de public que recrutait Hare Krishna il y a trente ans .

    Une telle réussite , qui revient presque à être parvenu à construire une Trabant dans une usine de vélos alors qu’il n’y a même pas d’usine de vélos , suscite , par contre , un enthousiasme sans freins , une admiration sans borne , dans le monde musulman . Les louanges tombent et il faut avouer qu’elles sont savoureuses , c’est je cite , « un grand savon de l’ Islam » …

    Au fond quel hommage involontaire envers notre Civilisation que ce véritable culte rendu à un tricycle au Salon de l’Auto et quel aveu indicible que cette fascination des foules incultes pour un type qui est parvenu à connaître un peu et assez de notre complexité pour abuser de nos bontés qu’il prend pour des faiblesses .

    Tarik Ramadan c’est une sorte de judoka hargneux au physique d’ Iznogoud qui tente d’appliquer quelques prises maladroites à un Sumo débonnaire .

    Mais viendra un temps où nous comprendrons au pied du mur qu’il n’ y a pas d’aimable partie de carte possible avec quelqu’un qui s’applique les règles du poker menteur et vous réserve celles de la manille coinchée.

    Pile tu perds , face je gagne .

Et vous, qu'en pensez vous ?

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