Christine Bussat, fondatrice de la Marche blanche, répond aux récentes attaques de la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga (et ici) contre l'initiative "Pour que les pédophiles ne travaillent plus avec des enfants". Ca dépote !
"Entre violer l'Etat de droit et violer un enfant, je ne sais pas ce qu'il faut choisir."
Le Conseil fédéral n'a pas le droit de mener campagne, "ça entame la confiance que l'on peut avoir dans le Conseil fédéral."
"On ne met pas un alcoolique derrière un bar, pourtant, l'alcoolique, il ne va pas faire de mal à une bouteille. On ne met pas un pédophile dans une école !"
C'est clair.
Tolérance zéro avec ces gauchistes liberticides et conseillers fédéraux militants. Les votes de défiance ont de beaux jours en perspective.
Après le 9 février, je pensais que le CF avait enfin compris que l’expérience consistait à ne pas renouveler deux fois les mêmes erreurs; que pouik.
A Caius Maximus: vous écrivez: « elle a tort », vous parlez de qui ? S.Soomaruga ou Mme Bussat ? Mme Sommaruga ne se comporte pas comme une Conseillère Fédérale au-dessus de la mêlée, mais une pro-active socialiste. Je ne l’ai pas encore entendu parler des souffrances des victims, souffrances qui peuvent durer toute une vie. Et si c’est un member de la famille qui commet un tel acte, le mal est d’autant plus profond.
Elle a tort sur un point: ceux qui sont contre cette initiative défendent les pédophiles, ils sont le lobby au service des pédophiles, point barre.